Avec mon beau-père

mardi 10 novembre 2020
par  Géronimo
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Je m’appelle Natacha, j’ai 30 ans et je suis sacrément bien foutue. Je suis directrice du marketing dans une grosse boîte de pub, je suis mariée depuis 8 ans a Emmanuel, lui par contre a bien changé, il est gros et toujours mal sapé, c’est un geek support en informatique, il ne rêve que d’écrans.
Bien sûr, il ne me baise presque plus, mais je n’ai pas pris d’amant. Je n’ai pas le temps à consacrer à de telles futilités. Mon poste est l’objet de toutes les convoitises d’hommes qui tout en me souriant souhaiteraient me baiser et prendre ma place, mais je bosse trop bien pour ça.
Pourtant certains mâles me donnent une forte envie de me faire prendre, couchée sur le bureau. En plus, je suis un peu allumeuse, je ne porte que des sous-vêtements sexy, porte-jarretelles, bas et talons, sous des tailleurs de grandes marques dont la veste laisse apparaître une partie de ma gorge abondante, et toujours prise dans des soutiens-gorge adaptés à l’allumage de mâles. Ils peuvent en profiter quand je me penche pour leur parler, mes croisements de jambes laissent de temps deviner la barre sombre de mes bas voire un peu de la chair rose de mes cuisses.
J’ai une vie organisée avec un timing précis. Le matin, je prends une douche, je mets mes sous-vêtements soit une parure soutien-gorge porte-jarretelles string ou mini slip, ou alors guêpière corset très serré qui met ma taille fine en valeur, slip ou string assorti. J’ai des dizaines de sortes de bas et de chaussures de toutes les couleurs.
Mon sexe est définitivement glabre, et j’ai un anneau dans le clitoris, un dans chaque sein, le dernier piercing est un diamant au bout d’une chaîne dans le nombril. Je ne porte que des escarpins ou chaussures à talons hauts.
Une fois mes sous-vêtements choisis, je mets une robe de chambre légère et je vais déjeuner avant de finir de m’habiller pour partir au travail.
Ce matin-là, je me rends donc vers la cuisine pour me sustenter, j’y entends des bruits, ce qui me surprend car mon mari est parti depuis longtemps. Et la mémoire me revient, Boris, le père de mon époux est là pour une nuit entre deux avions venant de je ne sais où et repartant pour ailleurs. Il est divorcé de ma belle-mère depuis quelques années et je ne l’ai pas vu depuis longtemps, mais je me souviens d’un très bel homme, bien conservé malgré sa cinquantaine.
Il est dans la cuisine, en slip, mais pas un slip kangourou ou un caleçon pourri comme en porte mon mari, non c’est un mini slip qui pour ce que je vois laisse une bonne partie des fesses à l’air et le spectacle est émoustillant.
Je reste discrète pour voir si le verso vaut le recto, le devant est minuscule et s’arrête à la base de la verge. Il porte à gauche, et au repos c’est vraiment un beau morceau. Je suis prise d’une terrible envie de baisser ce slip pour attraper cette énorme queue pour le faire bander. LIRE LA SUITE




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Commentaires

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samedi 14 novembre 2020 à 12h50 - par  Sylvain

La définition complète citée par Henic est : « Le comble du Chef d’orchestre : c’est d’introduire un long morceau dans un concours, plus le morceau est long, plus le concert dure. » Même les non musiciens comprendront... du moins espérons-le. Sylvain

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mercredi 11 novembre 2020 à 18h47 - par  Henic

Etait-il nécessaire d’en faire une histoire incestueuse ?
En tout cas, voilà un petit morceau fort émoustillant et rondement mené, si je puis dire.
« Pourvu que le confinement dure » est une idée que je ne partage pas mais qui m’a remémoré une phrase bien connue des amateurs de belle musique : plus le morceau est long et plus le concert dure...

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mardi 10 novembre 2020 à 10h57 - par  Sylvain de Perry

Un EXCELLENT récit elliptique où rien de manque. L’auteur, qui nous avait laissés en plan avec « La dépravation de ma femme » inachevée, revient ici en force. Une lecture plus qu’agréable. Pourvu que le confinement dure... Sylvain.