14 - Les transformations de la pièce 69

14 - Une bouche de poupée
dimanche 9 mars 2014
par  kingliart
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// Histoire de modification d’une soumise en objet sexuel. Le lecteur attentif remarquera que les situations décrites dans ce récit ne correspondent pas à la réalité. Dans la réalité, la soumission est entièrement consensuelle et doit le demeurer même quand lorsque les soumis(e)s acceptent de se faire humilier, torturer, modifier, marquer, enchaîner.... //

Quelques jours après l’inspection par son maître, elle fut de nouveau conduite chez le dentiste qui lui expliqua que son maître avait bien aimé sa nouvelle bouche mais que cela ne suffisait pas. Il faudrait aussi lui modifier les lèvres pour qu’elles soient plus épaisses. Un chirurgien ami se chargea d’aider le dentiste dans cette modification. Les lèvres furent gonflées artificiellement et de manière démesurée. Le dentiste lui avait injecté un liquide épais qui pulpait ses lèvres. Au repos, sa bouche en permanence légèrement ouverte qui formait un « O » comme surprise, qui lui donnait un air de stupide poupée.
Quelques jours après cette petite intervention, un homme demanda à utiliser 69 pour son plaisir. Il prit un malin plaisir à jouer avec la bouche de 69 : il l’attacha sur une table, la tête renversée en arrière. Ainsi entravée sans pouvoir bouger, allongée sur le dos, elle pouvait juste lever un peu sa tête ou l’abaisser vers l’arrière. Elle n’était alors qu’une bouche, ouverte pour laisser passer le sexe de l’homme qui s’enfonçait avec régularité entre ces lèvres charnues. Il tirait sur la chaîne au cou de cette soumise si désirable pour soulever la tête et rendre sa pénétration plus aisée. Et lentement, inexorablement il s’enfonçait dans sa gorge mais 69 ressentait son réflexe de vomissement et le corps était alors parcouru par un spasme violent. L’homme relâchait la chaîne, la tête retombait vers l’arrière extrayant le sexe suffisamment pour lui permettre de reprendre une respiration et aussitôt il reprenait la chaîne et plutôt que de la pénétrer, faisait en sorte de se glisser en elle en relevant simplement la tête par la chaîne. Elle était molle et écrasée par le sexe qui lui transperçait la gorge en se glissant sur les lèvres devenues humides. L’homme avait demandé qu’elle puisse le voir et lui avait enlevé sa cagoule : elle avait les yeux largement ouverts, rouges et humides des larmes provoquées par les hoquets. Il jouissait de la voir écarquiller des yeux sous la pression du sexe dans sa gorge, il souriait en la voyant s’étouffer et presque vomir sous la pression de son sexe gonflé de plaisir. Il continuait lentement et de manière régulière à la pénétrer sans bouger lui-même, juste en tirant sur la chaîne accrochée au cou de 69, lui faisant subir le mouvement de va et vient. Puis il la pénétrait profitant de l’épaisseur des lèvres qui se glissaient autour du membre, en formant un anneau de chair molle et humide.
Ce changement des lèvres en entraîna une seconde modification, plus étrange encore. En effet, le mécanisme qui lui ouvrait la bouche n’était accessible que si 69 ouvrait la bouche ou en tirant les lèvres vers l’arrière pour accéder aux molaires. Pour rendre l’accès de la clé au mécanisme, un trou fut pratiqué dans sa joue. La chaire fut maintenue ouverte par un petit œillet de couleur chair, presque invisible, au travers duquel passait la clé pour atteindre le mécanisme. L’effet visuel était impressionnant et on décida de recommander à son amant de fixer la clé de manière permanente et renforcer ainsi l’aspect de poupée mécanique. Pour le moment, les soignants, le dentiste et Guy furent les premiers à essayer la bouche pulpeuse devenue un nouvel orifice. L’avis de Guy fut que la fellation était forte mais qu’il fallait laisser un peu de temps à 69 pour qu’elle apprenne à bien sucer avec cette bouche devenue épaisse qu’elle devenait un nouvel appendice !
Guy se fit aussi un devoir de lui réinstaller le gode qui lui travaillait en permanence le cul. 69 avait redouté ce moment et jusqu’ici elle avait été heureusement privée de ce gode horrible pendant les séances chez le dentiste. Maintenant qu’elle était rendue muette par cet attirail (voir le chapitre 11), elle se sentait amoindrie et le mécanisme qui lui contrôlait la bouche la rendait disponible pour toutes les indignités des personnes dans la demeure. A plusieurs reprises, Guy s’amusait dans la journée à venir l’ennuyer en lui ouvrant ou fermant les mâchoires à son gré et en se moquant d’elle, comme s’il s’agissait d’un jeu : « Alors maintenant on ne veut plus ouvrir le bec ? Et hop, un petit coup de clé. Et on ne veut pas le fermer ? Et hop un autre petit coup de clé… » Le fait d’avoir cette clé pendue à son collier devant elle, au bout d’une jolie chaîne, tel un un bijou, facilitait ce petit jeu. Le dentiste lui avait précisé qu’ils avaient opté pour la présence de cette clé car elle rappelait celle des jouets mécaniques, … « Je me demande si je ne proposerais pas à ton amant de tatouer le mode d’emploi sur ta joue quelque chose comme ’Utilisez la clé pendue au collier de la poupée pour serrer ou desserrer les mâchoires’. Avec ton code barre. Hahaha ! ».
Comme à son habitude, presque tous les matins, Guy lui demandait de lui prendre sa verge dans la bouche et de montrer si elle savait encore utiliser sa langue, malgré ses nouveaux perçages. Elle faisait de son mieux avec lui : elle le redoutait maintenant autant qu’un inconnu. Satisfait, il la laissait continuer sa toilette, son lavement, sa nourriture. Autant de tâches longues et humiliantes mais qui lui occupaient l’esprit en permanence et cela lui évitait de sentir d’autres douleurs, ou de se projeter dans l’avenir. Elle pensait à son anus douloureux et les tâches les plus futiles lui plaisaient car cela lui faisait oublier sa bouche, son cul, son sexe… . Son sexe, … non, elle-même ne pensait plus qu’à « son con », ou encore « le trou primaire » toujours inviolable car fermé par une ceinture de chasteté. Elle en vint à penser que son état d’excitation sexuelle permanente était certainement du à une drogue ce que lui confirma son maître bien plus tard. Une spécialité de cette maison de fou : garder les soumises en état d’excitation pour pouvoir les baiser à tout moment sans attendre…
La rudesse des traitements l’avait obligée à se soumettre docilement à ces fellations et à apprendre à resserrer les lèvres (plutôt que la bouche) avec prestance autour du sexe qui la travaillait. Elle devenait experte à tendre ses lèvres pour bien emboucher les verges. Elle apprit aussi à ses dépends que tous profiteraient bien plus souvent de cette bouche étrangement contrôlée. Son état d’ouverture permanent, la facilité de son contrôle, était une invitation à se faire maltraiter, à être utilisée pour ce qu’elle semblait conçue : satisfaire les désirs des maîtres, leur faire plaisir, les faire jouir, et être obéissante et se laisser humilier sans jamais refuser. Et de plus, pour comble de son humiliation, elle ne pouvait s’empêcher de baver quand les mors ou les bâillons lui occupaient la bouche en immobilisant sa langue. Elle n’eu d’ailleurs pendant tout son dressage aucun répit : en permanence on l’utilisait pour la baiser par la bouche ou pour se faire sucer profitant de ses lèvres humides.
Très satisfait le dentiste expliqua à 69 que puisqu’elle supportait si bien les modifications il allait essayer « quelque chose de nouveau ». On l’obligea à prendre en bouche les membres de plusieurs hommes qui devaient donner des explications sur sa façon de faire. 69 s’appliquait croyant qu’une punition allait être son dû à chaque fois car on interrogeait chacun de ceux qui l’utilisèrent souvent devant elle par une question rituelle : « Alors, vous a-t-elle donné entière satisfaction ? ». Mais ce ne fut pas le cas. Même lorsque les hommes qui la baisaient, croyant bien faire, se déclaraient insatisfaits, on ne la punissait pas et on ne la frappait pas. Au contraire, le dentiste ou Monsieur Duchateau venait la caresser pour la consoler. En réalité le dentiste mettait au point une nouvelle modification : son idée était de resserrer le fourreau que formaient les lèvres de sorte à ce qu’une fois le membre masculin dans la bouche, il ressente le frottement des lèvres plus fortement… en somme une sensation proche de celle au moment de baiser le vagin de la soumise. Pour souligner les lèvres déjà fortement épaissies, il cousit des petites baleines dans l’intérieur de sa bouche sous la lèvre du bas et au-dessus de la lèvre du haut. Elles projetaient les lèvres vers l’avant, dans une tension permanente de la peau autour des lèvres. « Des lèvres qui pigeonnent comme les seins ! Une merveille ! ».
69 eut beaucoup de mal à s’habituer à cette tension anormale : elle ressentait comme un étirement permanent autour de sa bouche. Ces baleines étaient recouvertes d’un matériau très souple qui une fois mouillé par sa salive, fournissait une sensation semblable à celle de la muqueuse. Ainsi, le sexe qui traverserait la bouche de 69 se frotterait agréablement dans la bouche tendue en avant, comme un fourreau humide.
Après avoir testé plusieurs fois encore l’efficacité de ces modifications, on procéda à l’ablation de la luette au fond de sa gorge pour réduire son réflexe de vomissement lorsque qu’un membre cherchait à en profiter. Lors des exercices avec des godes de caoutchouc ou lors des fellations qu’elle pratiquait de plus en plus souvent, les lèvres recouvraient le pénis en formant un fourreau de chair extrêmement doux à son usager qui pouvait ainsi profiter aussi de la gorge profonde !
Son apparence était très profondément modifiée avec cette bouche ridiculement épaisse et voyante comme une poupée gonflable mais bien vivante. « Comme vous voyez », entendit-elle, lors d’une démonstration publique où elle fut placée au milieu d’un groupe d’hommes appelés tous à violer la bouche de cette merveille, « au repos, la bouche de notre soumise 69 ressemble à une poupée qui nous envoie un baiser imaginaire, les lèvres tendues en avant. Si vous la regardez bien en face, la bouche fermée, ses lèvres rappellent son orifice anal ! Cette jolie poupée honore de cette façon son nouveau nom : n’est-ce pas petite 69 ? Comme ça, elle voit que sa bouche n’est plus qu’un organe sexuel. Nous avions aussi pensé à dévier l’insertion des aliments mais en fait cela serait trop compliqué et le risque semblait trop élevé. En tout cas, elle ne peut plus proférer de paroles intelligibles bien que sa corde vocale intacte permet de l’entendre grogner, crier, murmurer comme … une poupée parlante ».
Elle dut apprendre à manier avec dextérité sa langue et ses lèvres devenues exclusivement des outils de fellation. Et comme cela ne suffisait jamais à la soif insatiable de ses bourreaux, elle était abondamment punie car on lui reprochait toujours de ne pas montrer suffisamment d’entrain ou d’habilité dans l’usage de son « troisième organe sexuel » comme l’appelait le dentiste.LIRE LA SUITE

Le texte intégral illustré de nombreuses photos est à télécharger ICI





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