Le hall d’entrée

Par VieilAmi
mardi 8 septembre 2009
par  Collectif, VieilAmi
popularité : 1%
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Une fois sa transe totalement dissipée, Jo décida de regagner la maison pour faire part de sa découverte à sa collègue, la très en chaire Miss Rosa. Miss Rosa n’est pas connue pour garder les secrets et au contraire est toujours prompte au moindre commérage. C’est une collègue que Jo a toujours très apprécié, il faut dire qu’elle n’a jamais refusé la moindre de ses avances et qu’avec elle tout paraît tellement si simple. Toujours de bonne humeur, jamais contrariée, le cœur léger, prête à tout pour faire plaisir. C’est aussi pour cela qu’Adrien l’appréciait au moins autant que sa femme, ce même si l’épreuve du temps avait bien enrobé Miss Rosa et qu’Adrien avait montré ces dernières années moins d’empressement à la chevaucher. Sous ses airs bonhomme, Rosa ne refusait jamais d’assouvir la moindre perversion de son patron, à croire qu’elle ne connaissait aucun tabou, aucune limite. C’était quelque chose que Jo n’avait jamais vraiment compris. En effet, il avait conquis le cœur de nombreuses femmes plus ou moins disposées à la débauche, mais jamais aucune d’entre elle n’avait su montré autant de Naturel que Rosa dans l’accomplissement des jeux auxquels ils les initiaient. Même les femmes les plus libérées et expérimentées, si l’on poussait le fantasme toujours plus loin parvenaient un jour à une limite qu’elles ne pouvaient pas franchir. Rosa, non, jamais… elle était toujours prête, ce n’était pas tant qu’elle n’avait pas de morale, non, simplement elle ne voyait le mal nulle part. Par conséquent, si elle n’éprouvait parfois pas de plaisir particulier à telle ou telle pratique sexuelle, le principal était que son partenaire, lui, puisse en retirer beaucoup de jouissance. C’était aussi simple que cela, elle ne se sentait jamais exploitée, avilie, humiliée ou même souillée par les jeux de ses partenaires hommes ou femmes. Elle donnait de son corps voilà tout et il n’y avait rien d’autre à expliquer, pourvu que les autres en tirent bénéfice.

Jo trouva Miss Rosa dans la cuisine, en train de nettoyer la vaisselle salie par Madame Danielle.

— Et bien si tu étais resté tout à l’heure, Jo, tu aurais assisté à un sacré spectacle ! Je crois que Maître Torti n’est pas prêt de la lâcher notre petite Dame. Il avait vraiment l’air accro derrière ses airs de dominateur. Et Madame Danielle, était vraiment toute chamboulée. Toujours en train de dire non à tout, mais toujours en train de s’exécuter pour la piètre excuse de respecter les volontés de son défunt mari.

— vous êtes bien toutes les mêmes, va !

— pt’être bien, mais vraiment j’ai eu droit à une belle tranche d’exhib. Pendant que je lui cuisinais un petit remontant, il l’a faite s’asseoir sur une chaise qu’il avait placé sur le seuil de l’entrée, il lui a demandé d’écarter les jambes bien en plein et de se caresser le clito, puis il lui a ordonné de travailler la pointe de ses seins, ça a duré un bon moment ! Pour se laisser faire comme ça elle devait être vraiment chauffée à blanc. En tout cas, ces petits gémissements ne laissaient aucun doute sur le plaisir qu’elle prenait à faire ça devant Maître Torti et moi. Elle donnait vraiment l’impression d’apprécier ! Lorsque j’ai eu rempli son assiette, il lui a demandé de se lever, a placé l’assiette sous sa petite chatte bien épilée et lui a demandé de laisser écouler le sperme qu’il avait déposé au fond de sa caverne !!!!! Tout ça sous mes yeux ! Et elle, elle faisait la moue à chaque fois mais ne traînait pas pour s’exécuter. Elle a bien sur tout mangé mais avec une dignité vraiment très bourgeoise !

— Effectivement, je crois que j’aurais aimé être là ! mais bon j’ai fait une toute autre découverte ! Frédéric… tu sais qu’on ne l’a pas vu souvent flirté avec des filles, tout le temps fourré avec sa jumelle, ils passaient tous les deux le plus clair de leur temps avec une bande de garçon quand ils n’étaient pas à l’école. Je crois comprendre un peu mieux les choses aujourd’hui. Lors de ma méditation quotidienne, j’ai eu une vision, je l’ai vu embrasser un garçon tout à l’heure, un baiser plutôt chaste, mais un vrai baiser d’amoureux ! J’ai eu la sensation que c’était pour lui une première fois, j’ai ressenti en lui beaucoup d’appréhension, ainsi qu’une grande excitation, je crois qu’il est encore puceau de ce côté là

— Il va donc falloir que j’aie une conversation sérieuse avec Frédéric, après tout si je ne prends pas soin des enfants, c’est pas leur bourgeoise de mère qui va les accompagner dans la difficile découverte de la sexualité !

— tu as raison, je suis suffisamment bien placé pour dire qu’il n’est pas facile d’accepter son homosexualité ! Même moi ! Pourtant je peux te dire que je l’ai fait de nombreuses fois avec des hommes, et bien même moi j’ai du mal à me dire que j’aime les plaisirs homosexuels… je préfère me dire que j’aime le sexe voilà tout, le sexe sous toutes ses formes

— qu’est ce que vous pouvez être compliqué vous les hommes ! » à ces mots Miss Rosa se mit à éclater d’un rire chaleureux, plein de bonne humeur. Jo quitta la cuisine pour vaquer à ses occupations.

Miss Rosa, connaissait bien Frédéric, c’était un garçon fragile, sa sœur jumelle avait été la première à naître et avait toujours joué le rôle de leader dans le duo qu’ils formaient tous deux depuis les premières minutes de leur vie. Elle était en quelque sorte le jumeau dominant sur lequel Frédéric se reposait constamment. C’était elle qui prenait les décisions, qui avait toujours choisi leurs jeux. Rosa les avait même entendu se disputer quelques fois au sujet des rares flirts de Frédéric. Un jour, Frédéric, dans un moment de déprime, avait confié à Rosa qu’il n’avait jamais couché avec personne et qu’à chaque fois qu’il trouvait une fille sympa, sa sœur lui expliquait que ce n’étaient que des connes superficielles qui n’étaient pas faites pour lui. Tant et si bien que sous son influence, les flirts de Frédéric ne duraient jamais plus de quelques jours. C’est peu de temps après cet aveu d’impuissance que Rosa décida d’initier son bien aimé Frédéric aux plaisirs de la chair. Frédéric s’était prêté à tous ces jeux, mais elle voyait bien qu’il lui manquait quelque chose. Jusqu’à présent elle avait toujours pensé que la relation particulière que Frédéric entretenait avec sa sœur était la source du problème. Elle s’apercevait aujourd’hui, que ce qui lui manquait c’était des hommes, et rien d’autre. LIRE LA SUITE

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Commentaires

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mardi 8 septembre 2009 à 15h14 - par  Rêves de femme

A la demande de l’écrivain du chap 2 et pour lui faire ce plaisir, je veux bien rédiger le chap 3. En revanche, je vous demanderai un peu de temps avant de connaître les personnages intervenant et le cadre du chap suivant ...
EDIT :
Lieu => Salon
Personnages => Miss Rosa, Maître Torti, Frédéric et sa jumelle Sonia.
Mademoiselle

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