Bourgeoise disponible

Chapitre 1 à 4
lundi 2 août 2021
par  DDD
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Chapitre 1 Lingerie rouge

Dans la petite ville de province où j’habite, je passe généralement pour une jolie femme Bourgeoise, élégante, bien dans sa peau ; quarante-six ans, deux filles jumelles de 27 ans, un fils de 24 ans. Sans trop de problèmes d’argent je suis mariée à Jean un homme séduisant, rencontré en Fac. Je ne travaille pas, mais en femme active, je m’occupe de plusieurs associations de bienfaisance, en bénévole évidemment.
Je mène une vie tranquille, auprès d’un mari qui n’a pas hésité pour faire carrière d’accepter à 50 ans un poste de directeur au siège de sa société. Il occupe un grand bureau au sommet d’une tour parisienne. Toujours en voyage, il ne rentre qu’en fin de semaine, généralement le vendredi, lorsque ses affaires le lui permettent. Après 28 ans de vie commune, je le sais fidèle.
Côté sexe, je dois reconnaître que c’était plutôt calme, jusqu’à ce dimanche matin ou après m’avoir baisée pépère, Jean décréta que l’habitude d’amour menaçait notre couple et, que nous devions rompre la monotonie.
Le week-end suivant, Jean rentra à la maison, le regard malicieux, une superbe pochette beige à la main. Ce dimanche-là avant le rituel de baise, il me tendit la pochette. À l’intérieur deux paquets cadeaux : j’ouvris le premier et découvris avec surprise, une fine lingerie rouge un bustier de soie, un string de pute, des porte-jarretelles et de superbes bas noirs. J’éclatai de rire devant ce cadeau osé et je ne sais pas encore pourquoi, je refusai de passer cet accoutrement. Je n’ouvris pas le deuxième paquet et je rangeai la pochette dans un chevet. Jean n’insista pas. Je me couchai sur le lit, j’écartai les cuisses et je me fis baiser comme d’habitude. Ce fut bien sans plus.
J’avais déjà oublié cette histoire, lorsque le matin suivant, seule dans la maison, je jetai un regard machinal par la fenêtre. Je dois dire que notre villa est la plus imposante du lotissement « Beau Regard », et que de la fenêtre de ma chambre j’ai une vue imprenable, sur les jardins des propriétés voisines.
Stupéfaite, je vis ma pétasse de voisine lascivement allongée sur son transat, revêtue d’une fine lingerie rouge, jambes écartées, une main se caressant les seins, l’autre enfoncée dans son slip. Elle était belle à en crever ! Rougissante je battis rapidement en retraite dans la salle de bain. L’eau ruisselante sur mon corps ne parvint pas à effacer de mon esprit l’image de cette femme offerte se masturbant au soleil.
Je passai le reste de la matinée à accomplir quelques tâches domestiques. Je savais ma voisine du genre veuve joyeuse. Elle a malheureusement perdu son mari dans un accident de voiture il y a quelques années, mais jamais je ne l’aurais imaginé adepte des plaisirs solitaires.
Vers le milieu de l’après-midi, l’esprit toujours encombré, je me trouvai devant ma table de chevet, sachant déjà que j’allais franchir l’interdit.
Je saisis la pochette beige et devant ma psyché, j’entrepris de me déshabiller, je commençai à enfiler le léger bustier. Mes seins toujours fermes remplirent facilement les balconnets, le slip cachait fort mal les poils noirs de ma chatte, le porte-jarretelles et les bas appelaient des chaussures à talons hauts que je m’empressai d’aller chercher dans le dressing. Ainsi parée, mon miroir me dévoila une superbe femme dans la plénitude de la quarantaine, désirable un peu putain.
Le deuxième paquet gisait à mes pieds, je l’ouvris, il contenait une cassette vidéo, grise, froide affreusement banale.
La vidéo dans le magnétoscope, catin à moitié nue, je m’assois sur le canapé froid, jambes ouvertes et j’actionnai la télécommande.
Après un rapide épisode neigeux, une superbe femme apparut, mon âge, habillée bon chic bon genre. Les cheveux noirs, la poitrine triomphante elle marchait dans la ville, un paquet à la main.
Cette femme, peut-être moi rentrant à la maison, ne fuyait pas le regard sournois des hommes qu’elle croisait.
Arrivée dans sa demeure, la femme monte dans sa chambre, se déshabille, contemple son corps parfait dans une immense glace. Bientôt habillée d’une superbe lingerie rouge, elle glisse sa cassette dans un magnétoscope, s’assoit sur le canapé et l’œil fiévreux contemple le film X où deux créatures gouinent.
Ses mains descendent le long de ses seins, caressent les bourgeons dressés, sa langue happe les mamelons offerts, ses doigts commencent une course folle sur sa vulve béante, un doigt deux doigts vont et viennent dans un tendre mouvement de piston.
Oubliant toute retenue, mes propres mains s’emparent de mon corps, reproduisant à l’unisson les caresses de cette femme, mes doigts s’engouffrent dans mon sexe humide. Les joues en feu, je me branle, je me pistonne, me lèche les seins. LIRE LA SUITE



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Commentaires

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lundi 9 août 2021 à 09h25 - par  Henic

Je ne partage pas l’enthousiasme de Jacques pour les histoires d’inceste.
Cependant, l’écriture est agréable, le récit léger et enjoué se laisse lire. Malgré le doublement injustifié de consonnes : le sexe masculin a de nombreux synonymes, mais s’écrit « pine » ; j’apprends par ce texte que « bitte » et « bite » existent tous les deux avec le sens de pénis.

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mardi 3 août 2021 à 11h14 - par  Jacques

Quel plaisir ces sagas familiales ! Ce genre d’histoire se perd. Dommage ! Car les occasions de lire de l’érotisme comique sont rares. Que DDD en soit remercié, parce qu’une telle Famille on en rencontre rarement. Avec un espoir : que la suite soit aussi drôle.