Retour à Diola
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Carla fronce les sourcils, commande :
– Suis-moi dans la salle de bain.
Je me garde de dire quoi que ce soit, son ton me fait comprendre que si je réplique, elle est capable de me corriger illico.
Elle prend un tabouret, s’y assoit, après avoir ouvert une boîte métallique dont je n’ai pas le temps de voir le contenu, m’ordonne en gantant ses mains de latex :
– À plat ventre sur mes cuisses !
Je proteste :
– Ah non ! Pas une nouvelle fessée…
Carla désigne ma bite qui commence à durcir malgré moi :
– Je vois que tu en as envie, mais non. Par contre, si tu me fais attendre…
Je me précipite vers ses cuisses en cuir, m’y allonge. Elle tape entre mes cuisses :
– Écarte ! Reste bien décontracté.
Un de ses doigts enduit mon anneau de gel. Je me crispe malgré tout, m’enquiers :
– Que vas-tu faire ?
– Te mettre un suppositoire et un bouchon. Tu conserveras le tout dix minutes…
Je vais pour prendre appui par terre et me relever, mais deux fortes claques sur mon cul tempèrent mon geste.
– … Reste en position. Je veux m’assurer que ton intestin est bien vidé.
– Je te l’ai dit.
– Alors tu n’as rien à craindre.
Clara écarte mes fesses d’une main, l’autre pose le suppositoire. Elle pousse et mes chairs s’écartent pour le laisser entrer. Je dis :
– Doucement, il est gros.
– Pas plus que mon pouce.
Mon anus cède la place à la fusée, laquelle semble pénétrer profondément en moi une fois que doigt est ressorti.
Carla ne perd pas de temps, pose le sommet du bouchon et lui fait prendre place en moi. Le hiatus terminal permet un maintien nécessaire.
Une claque sur mes fesses et :
– Relève-toi ! Interdit de toucher au bouchon avant dix minutes, sinon je t’attache les mains.
Je me remets sur pieds. Très vite, je sens une envie de déféquer m’envahir. Carla m’a entraîné sur la terrasse. Je vois l’océan, où l’eau est calme, car nous sommes dans une crique où un grand filet, là-bas à l’unique passage marin, évite aux poissons de passer côté baignade.
Alors que Carla m’explique quelles activités nous allons pouvoir faire pendant la quinzaine ; l’envie grandit en moi d’aller me vider aux toilettes. Du coup, je piétine sur place. Cette attitude énerve ma compagne :
– As-tu fini ?
– Je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps.
Elle consulte son chronomètre :
– Encore quatre minutes.
– Ah non !
Carla me bascule à plat ventre sur la rambarde, me cloue d’une main aux reins.
– Pas de fessée ! Non !... Aaaaaaaye !
C’est pire : sa main libre fait jouer le bouchon et cela augmente mon envie. Je le crie :
Arrrrrrrête !... Pas… Ça !... Pitiiiiiiié !
J’essaye de repousser son action en appuyant mes mains sur la rambarde et provoquer un recul libérateur. Mais la force de Carla m’en empêche. Elle cesse sa manipulation, m’aide à me remettre stable sur mes jambes et me remorque par un bras vers la salle douche-toilettes, dit :
– Prépare-toi, j’enlève le bouchon.
Après un nouveau jeu, elle le retire… LIRE LA SUITE
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