Chantage et soumission 3

dimanche 8 janvier 2012
par  elisabetha
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Une dizaine de jours s’écoulent et j’avais encore sur le corps et sur le sexe les stigmates des coups de fouet de Justine mon ex-femme bafouée. Mon geôlier, Julien, Prince des gardiens, m’informe, après, une fois n’est pas coutume, avoir déversé avidement les jets de son sperme dans mon accueillant anus que j’allais avoir de la visite vers dix heures et qu’il serait préférable, pour moi, après ma toilette que je m’engode le plus profondément possible avant l’arrivée de cette personne. Je lui réponds que ses conseils m’ont toujours été profitable malgré parfois mon indocilité et que j’apprécierai qu’il m’aide, après ma toilette, à assouplir mon anus avec une grande quantité de vaseline. Puis, à y introduire le plus gros godemiché de la maison que mes petites fesses commence à avoir bien apprivoisé. Sa perversion naturelle le pousse à accepter ma demande joyeusement en me disant :
« Tu es vraiment une bonne petite chienne ! Ton prochain départ va me faire de la peine car mon braquemart s’était habitué à ta belle bouche pulpeuse et ta rondelle jamais satisfaite ! Mais ce sont les choses de la vie, il faut toujours s’adapter à son destin »
Je tente d’en savoir un peu plus sur mon prochain départ mais Julien reste de marbre très appliqué à fouiller mon intérieur comme un maitre expert en gynécologie. Il me laisse dans une position très inconfortable car cette pénétration intensive et continue excite ma queue comprimé par la ceinture de chasteté mais aussi et surtout par les traces du fouet qui malgré des soins adéquates et intensifs n’ont pas totalement disparues. Je dois bien rester une bonne heure avant d’entendre entrer quelqu’un dans l’appartement. Ses pas approchant font de nouveau tenter une érection à ma queue dépitée et asservie. Un doux parfum suave et fleuri vient titiller mes narines, et sans que je m’y attende un coup de fouet cinglant vient frapper mes fesses écartelées. Surpris par la brutalité du coup, je laisse échapper un cri de douleur Une voix tonitruante se fait entendre :
« Petite salope, je ne veux rien entendre ! Tu es devenu une garce et les garces doivent souffrir en silence ! »
Je ne laisse finir sa phrase à cette audacieuse inconnue et l’implore plaintivement :
« Pardonner moi ! Maîtresse, c’est vrai je suis une petite pute, mais j’ai encore beaucoup d’imperfection pour mériter ce titre, alors de grâce, pardon !
Sans doute surprise par cette réaction spontanée et pleine d’abaissement, la nouvelle arrivante change de ton et me dit :
« D’accord, pour cette fois, Servitorine, mais nous avons pas mal de temps à passer ensemble et je te voudrais totalement en accord avec mes principes qui, a la lecture de ton dossier, me semblait acquit. » Elle constate avec ses mains l’enfoncement du gode dans mon derrière et dis : « Très bien, cela commence à devenir intéressant ! » Elle prend une chaise et s’assoit derrière moi au pied du lit, et poursuit : « Servitorine, je vais commencer par le début, je me présente, je suis Divine Natalia et j’ai pour ordre de te conduire à son Altesse Erika. Tes anciens maîtres t’ont vendu à cette sublimissime autorité pour une année entière. Je viens donc te chercher pour te conduire dans son palais ou tu feras partie de son cheptel personnel et attitré. C’est une opportunité unique, pour une prostituée d’avoir pour tutelle une telle Providence ! Alors je vais t’apprendre à être fière de pouvoir assumer tes penchants en travaillant, en œuvrant, en t’oubliant pour enjoliver de ta totale dévotion la beauté incommensurable d’Altesse Erika. » Elle s’arrête net, puis avec beaucoup d’émotion dans sa voix reprends : « Bientôt tu comprendras ! Mais pour l’heure, préparons notre voyage car j’ai moi aussi un devoir impérieux de te conduire à elle dans les conditions optimales pour que tu sois immédiatement soumis à son diktat sensuel et enivrant ! » De nouveau elle stoppe, me caresse le corps avec les lanières du fouet, puis poursuit : « Elle saura me récompenser généreusement si je mène à bien cette tâche de dressage de ton auguste personne qui d’un homme respectable tenaillé par des désirs pervers devra devenir une petite chienne perverse tiraillé par des ambitions de respect ! » Elle soupire et continue de plus belle : « Alors maintenant les dés sont jetés, plus le temps de faire machine arrière ! Nos destins se sont croisés et devront s’accomplir coute que coute ! Car autant Altesse Erika pourrait me récompenser pour l’accomplissement de ma mission autant elle pourrait me châtier en cas d’échec ! Donc nous sommes dans l’obligation de collaborer, toi en tant que soumis apprenant a en oublier son corps pour devenir l’objet de toute les convoitises, et moi en tant que dominatrice, devant te dresser, te donner l’éducation nécessaire à la réalisation des projets d’esclave d’Altesse Erika a ton égard ! » Après un long silence synonyme d’une décision unanime et sans appel, elle me dit : « Voilà, ton ancienne Maîtresse Déborah m’a transmis la lettre de ton directeur nous informant de son acceptation à te donner une année sabbatique qui débutera à partir du premier novembre 2008 jusqu’au 31 octobre 2009. Il nous dit également que tu pourras éventuellement à la date de terme de l’année écoulé, faire une demande de prolongation de six mois supplémentaire. » Elle précise en riant : « Alors tu vois, si tu ne respectes pas bien tes engagements, tu pourras faire du rabe ! Cependant je te conseille dans ta demande d’asservissement que tu lui remettras, en temps et en heure, de lui proposer de toi-même une rallonge de trois mois car elle saura t’en être reconnaissant » Ensuite elle reprend ses explications, moi toujours dans ma position incongrue, et elle derrière moi, au pied du lit tantôt assise, tantôt debout : « Autre bonne nouvelle, le médecin, ton incontournable Maître Pedro a donné l’autorisation pour que tu puisses finir ton arrêt maladie à l’étranger, donc nous allons pas attendre la fin du mois pour te faire commencer tes nouvelles fonctions, mais nous allons partir dès que possible ! Aujourd’hui nous sommes le mardi 20 octobre et je compte t’emmener avec moi dès demain soir ! Cette après-midi, je vais me charger d’embellir un peu plus ta garde- robe de soubrette docile et aussi d’investir dans une tenue androgyne que tu pourras porter en public pendant le long périple qui va nous conduire chez Altesse Erika. Car à partir de cet instant tu appartiens désormais entièrement, corps et âme, à notre divine souveraine. » Elle dit encore : « Si tu es fan des précisions je peux te prouver le règlement par Altesse Erika de la facture à Maître Pedro et à Maîtresse Déborah ? » Je réponds dépité et laconiquement « Cela me servirait à quoi, je suis déjà ruiné à cause d’eux ». Ma totale désolation devant ce flot d’information continue qui m’affirmait chaque instant que j’allais devenir de façon inéluctable pendant au moins un an une putain sans frein m’avait fait oublié de prononcer un instant la formule obligatoire d’asservissement et en l’occurrence : Divine Natalia. La sanction fut immédiate deux nouveau coups de fouets viennent claquer sur mon postérieur endoloris à peine remis du châtiment de Justine. Par contre je parviens à étouffer mes cris de douleurs. Elle dit : « Espèce de salope, et le respect ? Heureusement que tu as su être digne dans l’acceptation des coups de fouets cette fois-ci, sinon tu aurais passé un sale quart d’heure ! Mais si cela peut te consoler je te rappelle un proverbe bien connu : « Plaie d’argent n’est pas mortelle ! » Et une nouvelle fois je me confonds en un interminable pardon, ce qui parvient à la calmer. Elle reprend : « Servitorine, je te trouve très ingrat vis-à-vis de tes anciens maîtres car ils ont pris la précaution que tu conserves ton emploi au sorti de ta mission de soumission ! Et un travail de nos jours c’est sacré ! » Devant cette argument massue arrivant comme un boulet de canon je ne pouvais une fois de plus que m’humilié et demandé pardon. Après un nouveau temps d’arrêt, elle continue ses explications : « Donc tu appartiens corps et âme à Altesse Erika et en vertu des pouvoirs qu’elle m’a conféré je t’affuble de ton patronyme d’esclave officiel : Elisabetha, la chienne tourangelle. Donc Servitorine est morte et enterré et vive Elisabetha ! Pour te montrer que je ne suis pas ingrate, nous allons boire un verre de champagne pour fêter ton nouveau statut. » Je l’entends dans mon dos déboucher une bouteille et remplir un verre. Elle s’approche de mon visage en me disant : « Elisabetha, je vais t’autoriser une fois à me regarder dans les yeux pour solennellement consacrer cette évènement et ton entrée officielle sous l’inestimable protection d’Altesse Erika. » Elle approche de ma bouche la coupe de champagne, après m’avoir fait trempé les lèvres, elle pose la coupe et prend ses deux mains pour m’enserrer le visage et m’obliger à fixer son regard, et là, yeux dans les yeux elle me dit : « Esclave Elisabetha, à partir d’aujourd’hui, tu es considéré propriété intégrale D’Altesse Erika et ce jusqu’au 31 octobre 2009 donc par délégation et ce, jusqu’à que je te livre en main propre à Altesse Erika, tu me dois obéissance et servitude absolue. Par conséquent, nous allons convenir d’un pacte sacré que tu devras valider sans concession et sans hésitation, d’accord ? » Je réponds en contemplant avec joie, malgré ma position toujours très inconfortable, le jolie visage asiatique de ma nouvelle maîtresse provisoire : « Oui Divine Natalia ». Heureuse de l’effet qu’elle me procure, elle me caresse le visage, reprend la coupe de champagne en boit une bonne gorgée, se lève, viens délivrer le godemiché de mon anus, m’enlève les menottes, me libère complétement de toute entrave. Elle me dit : « Je te précise pour éviter de donner à ces instants fraternelles toute intention malsaine que je suis ceinture noir de plusieurs art martiaux et que ces instants de plus grande décontraction, reçoit les comme un gage de ma confiance en toi ! Alors extirpe de ton cerveau toute idée de rébellion éventuelle, pour apprécier ces quelques grammes de liberté ou je t’autorise à visage découvert à contempler mon corps d’essence supérieur. » J’étais subjugué par cette façon de faire et je ne me lassais pas de regarder ma splendide tortionnaire dans ses belles bottes en cuir marron, ses bas à résilles, sa jupe en cuir marron rappelant la couleur de ses bottes et un chemisier d’une blancheur éclatante au décolleté affriolant qui faisait ressortir, superbement sa chevelure d’un brun sans nuance : j’avais en face moi une véritable amazone. Me voyant totalement sous son charme et inoffensif. Elle finit la coupe de champagne, s’en sert une autre et me dit : « Viens t’agenouiller devant moi, passe ta tête sous ma jupe et je t’autorise en ce jour de fête qui célèbre la mise en veille de ta masculinité au profit d’une féminité suprême, sensuelle et sans limite, de me lécher assidument mon sexe. » LIRE LA SUITE

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Bonne année 2012 a tous, AVEC beaucoup de délicieuses sensations de soumission. Servilement.
Elisabetha1860@yahoo.fr

Les récits suivants de cet auteur sont signées sous le nom de Elisabetha




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Commentaires

mardi 10 janvier 2012 à 20h22

Cher maître je comprend cette appréciation mais la compacité rend la situation plus oppressante, merci de votre commentaire elisabetha

Logo de Maitre AngeM78
mardi 10 janvier 2012 à 18h03 - par  Maitre AngeM78

Ce texte est trop compact.
Il faudrait diviser les paragraphes pour que sa lecture soit plus agréable.

Maitre AngeM78