Petite histoire de moi

vendredi 15 décembre 2006
par  Rainier
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Je l’aime mon petit cul, j’en prends soin, je le bichonne avec amour, je l’épile, je lui mets des crèmes adoucissantes, je le masse, je le fortifie en faisant du sport. J’aime quand il est rond et ferme, et j’aime aussi quand mon trou à merde et bien détendu, souple. Alors j’ai trouvé un truc sympa, le matin, après m’être vidée, je prends toujours ma douche avant d’aller chier, comme ça je peux me remplir en m’enfilant le pommeau de douche dans le fondement, et ainsi je me retrouve avec un nettoyage maximum. Ensuite je vais dans ma chambre, du moins celle que je partage avec mon frère, mais il est à l’école le matin quand je me lève. Ensuite je m’enfile mon plug. J’ai vu la forme que cela avait dans un magasine de cul, je me le suis fabriqué moi—même avec du bois, ce n’est pas le premier, ils deviennent de plus en plus gros. Depuis 4 ans que je m’ouvre vous pensez bien que je me suis appliquée à augmenter le diamètre. A l’heure actuelle il doit faire dans les 5cm de diamètre et environ 10cm de long, et il va bientôt falloir que je m’en fabrique un autre. Une fois mon trou culier bien bouché, je mets ma tenue de sport et justement, je vais vous parler de sport.

J’aime courir, ça me fait du bien. Depuis environ deux mois j’ai décidé de changer et d’itinéraire et de tenue. Et je peux vous dire que vu mon statu j’ai fait fort, jugez par vous—même : mini short moulant et très court avec un débardeur très moulant. Et pour mon nouvel itinéraire j’ai choisi le bord du canal, je me chauffe en passant par la route pour rejoindre l’écluse, puis, je traverse le canal et je commence à courir à partir de la caserne de pompier. Et je peux vous dire que les mecs se retournent sur mon passage. Et oui, vous avez bien deviné, je suis une jeune salope de 18ans, grande, élancée, cheveux longs, entièrement épilée.

Nous sommes dans les années 1978, fin juin, il fait très beau le matin en ce moment et c’est un régal de courir. En moyenne, je cours environ 1h, je me fous complètement du kilométrage, mais je peux vous dire que je suis bien cassée quand je rentre. Et je vais vous expliquer pourquoi, car je ne suis pas cassée uniquement par la course, car, il fallait que je m’y attende, dans une tenue pareille il finit par arriver ce que je cherchais.

« Tu n’es qu’une sale vicieuse Alicia », au diable ma conscience, le principal est de se faire du bien. Voilà donc la suite.

A force de courir chaque matin dans cette tenue il fallait que je m’attende à ce que je me fasse aborder un jour. Et c’est ce qui arriva, vous vous en doutiez.

— Bonjour

— Salut

— Je te vois courir tous les matins et je te trouve vraiment canon, et comme tu passes tous les matins devant la caserne( de pompier) je me suis dit qu’il fallait que je te rencontre.

Je m’arrête, me tourne, le regarde de la tête aux pieds. Hummm ! Pas mal du tout, je pense qu’il doit avoir dans les 35ans, grand, bien foutu. je lui réponds :

— Oui, et alors ?

Il faut dire que je suis un peu sèche en paroles.

Il semble un peu déstabilisé par ma réponse, je reprends la parole :

— Je veux dire, tu veux quoi, savoir quoi ? Si je baise, si je suce ? Je vais simplement te dire une chose, j’adore me faire enculer, alors si tu as un moment on va dans un coin, je te suce, tu m’encules bien à fond, je te nettoie la queue et si ça t’a plu on remet ça tous les matins.

Il faut vous dire que je ne me suis jamais gênée pour dire ce que je pensais. Il est rester comme un pantin à ma regarder comme si j’étais un animal étrange descendu d’une autre planète. Et vlan ! Une baffe bien claquée (oui, je sais, c’est de la violence gratuite, mais si ça me plaît que l’on me chauffe les sens avec des baffes), je l’ai regardé avec des yeux étonnés puis j’ai baissé la tête, humblement. Sans me laisser le temps de réagir, n’y même de redresser la tête, le fumier en profite pour m’attraper par les cheveux.

— Aie, tu me fais mal.

— Ta gueule salope, si tu veux que je te baise j’ai décidé de prendre quelques libertés car tu m’as l’air d’être une rebelle qu’il faut mater, donc, tu me suis et tu t’écrases.

Sur ce il me traîne vers un sentier sur le coté du chemin. On fait une vingtaine de mètres et là, il me met à genoux, baise son short, sort sa queue et me l’enfile dans la bouche. Hum ! Que c’est bon quand un mec me traite comme une femelle soumise !

Le goût de sa bite est un mélange de sueur et de pisse, un goût que j’aime énormément, oh oui que je la prends, je la lèche, l’avale, l’enfourne à fond de gorge. C’est très agréable. Et voilà qu’il me tient la tête et qu’il commence un va et vient qui me plait, j’aime ça, un mec qui me domine et qui sait ce qu’il veut. Je m’applique à lécher cette queue qui enfle dans ma bouche, il gémit, il apprécie mon initiative, ça me plaît, je commence à mouiller. C’est fou l’effet qu’une bite me fait, je suis folle. J’ai des frissons qui se manifestent, comme si j’avais froid, mais je commence à connaître ce phénomène en moi, c’est le désir qui se manifeste, le désir de me prendre ce sexe dans mon petit cul adoré, qu’il soit bien plein. J’ai toujours apprécié qu’un mec me tienne la tête et qu’il se serve de ma bouche comme d’un trou à jus, c’est super agréable d’être obligée de respirer par le nez pour que la queue du mec soit bien vissée dans ma gueule de salope. Du moins, moi je trouve ça excitant.

Tiens, je ne l’avais pas entendu arrivé celui—là, il a du nous voir prendre le sentier, et voilà, une autre queue, il me la met sous le nez, hum ! Il pue la pisse, j’ai très envie de le goûter mais l’autre me tient fermement la tête.

— Tout à l’heure la chienne quand je serai vissé dans ton fion.

Qu’il est vulgaire ce mec, je sens que l’on va devenir de très bons amis. Je sens mon côté maso qui commence à sortir. Ça me plait, enfin un vrai mâle. LIRE LA SUITE



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