Le salon de beauté

vendredi 1er novembre 2013
par  Fatum
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1° Partie

Caroline avait été fortement surprise de ce que venait de lui raconter son amie Thérèse. Elles se connaissaient depuis de longues années, et leur amitié avait pris de nouvelles dimensions lorsque à peu près en même temps, elles avaient toutes deux perdu leur époux. Le mari de Caroline était un baron très fortuné, décédé d’une rupture d’anévrisme. Toutes deux sans enfants, elles vivaient de manière somptueuse, mais l’année de veuvage qu’elles venaient de vivre les menait à la dépression. Elles venaient toutes deux d’avoir trente-deux ans, et ne parvenaient pas à se résoudre à voir leur vie sexuelle prendre ainsi brutalement fin. Elles avaient tenté entre elles des relations homosexuelles, mais en avaient été fortement déçues. Aussi, lorsque Thérèse lui dit un jour avoir trouvé une solution à ce problème, Caroline la pressa de questions, et finit par faire avouer son amie l’expérience qu’elle venait de vivre. Ses yeux brillaient en en parlant, et elle semblait avoir retrouvé une nouvelle jeunesse. Finalement, elle parvint à soutirer à Thérèse un vague renseignement
« Va au salon de coiffure Estelle, et demande à la patronne le massage « Mystère ». Tu n’auras qu’à laisser faire, et je te promets que quelques heures plus tard, ton corps revivra littéralement. »
Intriguée, mais un peu méfiante, Caroline ne résista pas à la curiosité. Elle se rendit à l’adresse indiquée, et y découvrit un immeuble de trois étages, avec au rez-de-chaussée le salon de coiffure. Elle était venue en taxi, suivant les conseils de son amie qui lui avait conseillé de reprendre également un taxi pour son retour « Tu risques d’être trop fatiguée pour conduire normalement au moment de rentrer chez toi. »
Le salon où elle entra ressemblait à un quelconque salon de coiffure. Trois clientes occupaient les fauteuils, et trois jeunes apprenties étaient occupées à les coiffer. Une dame d’une trentaine d’années surveillait le tout. Caroline prit place sur une chaise, et attendit patiemment son tour. Quand elle fut installée, elle demanda un simple brushing. La patronne s’inquiéta de cette nouvelle cliente, et quand elle la questionna, Caroline lui dit avoir été envoyée là par son amie Thérèse qui lui avait parlé d’un fameux massage. Entendant cela, la patronne gratifia sa cliente d’un beau sourire et lui dit
« Lucette vous prendra en mains dès que votre brushing sera terminé, dans quelques minutes » et elle alla donner un coup de sonnette.
Une jeune fille, habillée de manière assez excentrique, en tenue de soubrette, pénétra dans le salon pour prendre ses ordres, et la patronne lui dit
« Tu prendras Madame en charge, elle désire le massage Mystère. Soigne-la particulièrement. Elle pourrait devenir une cliente assidue, comme son amie Thérèse. »
Caroline s’étonna d’apprendre que son amie Thérèse venait régulièrement dans cet établissement, ce qu’elle lui avait soigneusement caché. Mais le brushing était terminé. Lucette vint près d’elle et poliment lui demanda de bien vouloir la suivre. Toutes deux prirent un ascenseur qui les conduisit au premier étage. Celui-ci semblait vide. Mais la salle de massage où Lucette la fit entrer était étrange. La table paraissait normale, mais dans un coin de la salle se trouvait une grande banquette recouverte d’une fourrure à gros poils. Lucette dit alors
« Si Madame veut bien se déshabiller, et mettre ses vêtements dans la salle de bains qui se trouve ici. »
La salle de bains, avec une immense baignoire, était luxueuse. Caroline y entra et commença à se déshabiller. Elle le faisait sans gêne, car elle se savait encore fort belle. En pleine maturité, elle n’avait rien à envier à de plus jeunes femmes : ses seins étaient toujours fermes, et son ventre plat. Elle avait de beaux cheveux naturellement blonds, des yeux verts, un nez mutin et de jolies fossettes. Ses hanches étaient parfaites, et ses jambes attiraient toujours les regards des hommes. Elle avait gardé son slip et son soutien-gorge. Quand elle se retourna, elle constata avec stupeur que Lucette s’était totalement mise nue, et Caroline fut émue par la juvénilité de son corps. Elle portait un anneau d’or à chaque mamelon, et son sexe était totalement rasé. Elle parut s’amuser de l’air étonné de Caroline et se contenta de lui dire
« Si Madame veut se coucher sur le ventre, je vais d’abord lui masser le dos. »
Caroline obéit et s’installa comme on le lui demandait. Lucette lui dégrafa son soutien, lui retira son slip et versa sur le dos et les fesses de sa patiente une huile parfumée. Elle commença ensuite son massage, de manière tout à fait classique, et Caroline se demanda alors ce que son amie avait bien pu trouver là d’aussi fantastique. Mais elle sentit alors que les mains de Lucette descendaient vers ses fesses et brusquement elle se sentit recevoir une claque vigoureuse. Elle tenta de se retourner, mais la jeune masseuse la maintint couchée. Et stupéfaite Caroline entendit la jeune fille s’en prendre à elle
« Alors, salope, tu viens chercher ici ce que tu ne trouves pas ailleurs. Rassure-toi, tu ne seras pas déçue. Mais laisse-moi faire, et présente moi ton cul. Écarte tes jolies fesses, il y a entre elles un gentil petit trou qui semble attendre ma visite. »
Excitée par la verdeur de ce langage, Caroline obéit encore. Et à sa profonde stupéfaction, elle sentit la langue de la jeune masseuse se glisser entre les deux globes de chair, et forcer l’accès de son anus. Caroline ne put résister à la caresse, et se mit à mouiller, s’attirant de nouveaux commentaires
« Alors, tu mouilles déjà, si vite. Que sera-ce tantôt, quand d’autres choses te pénétreront là. Mais retourne-toi, que je m’occupe de ta chatte. Elle est encore poilue, mais cela ne me dérange pas. En fait, c’est ton petit bouton qui m’intéresse. Et je te garantis que quand je l’aurai dans ma bouche, je te ferai miauler de plaisir. »
Caroline se retourna, et immédiatement Lucette se mit à l’œuvre. Elle fit se tordre de plaisir Caroline, qui coup sur coup, connut deux orgasmes. Mais plus rien ne comptait désormais que son plaisir, et tirant la tête de Lucette vers la sienne, elle se mit à l’embrasser comme une amie de toujours. Leur étreinte fut passionnée. Mais au bout d’un moment, Lucette se retira et lui donna l’ordre
« Je t’ai léché le cul, c’est maintenant à toi de me rendre la pareille. Et sois tranquille, il est toujours propre. Et on ne peut pas en dire autant du tien. »
Caroline digéra l’affront, et fit le nécessaire pour se faire pardonner. Elle parvint à faire jouir Lucette, dont l’orgasme dura longtemps.
Quand elle eut récupéré, elle se tourna vers sa patiente
« Passons maintenant aux choses sérieuses. Je suppose que tu sais ce qui t’attend, et que toi tu attends avec impatience. Il y a à cet étage plusieurs beaux mâles destinés à satisfaire nos clientes. Et parmi eux, Roger et Charles, les plus jolies pointures de l’établissement. Ils vont t’enfiler de tous les côtés, et parfois en même temps. Tu étais venue ici dans l’espoir de jouir, une chose qu’apparemment tu ne connais plus depuis quelque temps. Et tu vas être récompensée, ils vont t’en faire voir de toutes les couleurs. Et comme d’habitude, je compte bien en profiter. J’adore les petites fêtes à quatre, une queue dans ma bouche, une autre dans le cul et ta langue dans ma chatte. Ce sera super. Et je leur demanderai de te prendre à deux en même temps, l’un par derrière et l’autre par devant. Mais ce sera pour un peu plus tard, car il faut que je te prépare. Je dois d’abord te faire un lavement, puis te placer pendant une heure un gode dans le cul, pour élargir ton petit trou. Je n’ai pas envie que l’un d’entre eux te déchire. Mais rassure-toi, pendant ce temps-là, je pourrai continuer à te procurer du plaisir, puisque ta chatte sera inoccupée. »
Caroline subit sans protester le lavement, et quand elle se fut vidée, elle dut se recoucher à plat ventre sur la table. Lucette lui graissa l’anus, et quand ce fut fait, elle vint présenter à Caroline un gode fait de plastic noir.
« Voilà ton nouvel ami. Je suppose que tu en as déjà un à la maison, sinon je te signale que ma patronne en vend, et elle en possède de nombreux modèles et pointures. »
Lucette commença à enfoncer le gode dans l’anus, et le fit sans difficulté
« Eh bien ma chérie, je suis convaincue que je ne me suis pas trompée. Ce cul reçoit souvent une visite, et ce n’est sûrement pas de la queue d’un homme. Reste ainsi couchée, je reviendrai dans un moment en compagnie de ceux que tu attends avec impatience. »
Et Lucette, en grondant du doigt Caroline, sortit de la petite salle.
Caroline se retrouvait seule, mais était maintenant totalement relâchée et heureuse. Dans sa tête, elle se félicitait d’avoir réussi à soustraire à Thérèse les renseignements qui lui avaient permis de découvrir cet établissement. Et d’autant plus joyeuse qu’elle allait enfin découvrir une double pénétration. La vie sexuelle avec son époux n’avait pas toujours été une fête, mais une routine perpétuelle, sans le moindre grain de fantaisie. Pendant ces moments de réflexion, elle avait glissé une main sur son sexe, qu’elle caressait doucement. Elle fut ainsi surprise par Lucette qui rentrait avec deux jeunes garçons, vêtus seulement d’un short, et se tourna vers eux pour leur dire
« Je ne vous ai pas menti. Regardez cette salope, elle n’a aucune patience. Vous pourrez y aller à fond, elle aimera ça. »
Caroline regarda les arrivants : ils étaient grands et costauds, souriant à l’idée de ce qui les attendait, et regardaient leur future proie avec des yeux de loups affamés. Elle se sentit mouiller. Lucette s’en aperçut et dit au plus costaud des deux jeunes
« Avant de vous servir d’elle, je voudrais que tu lui donnes une bonne fessée ? Je sais qu’elle aimera ça, et lui échauffer le cul ne pourra être que bénéfique pour celui d’entre vous qui s’en servira. Alors, Roger, mets toi au boulot. »
Elle ne dut pas le répéter deux fois. Le garçon se saisit de Caroline, alla s’installer sur une chaise et la coucha sur ses genoux. Caroline, honteuse et joyeuse à la fois, ne tenta même pas de résister. Une première volée de coups vigoureux s’abattit sur ses fesses, et elle sentit immédiatement sous elle la queue du garçon se tendre dans son short. Elle s’en amusa, et supporta vaillamment la suite de l’épreuve. Après une vingtaine de coups, Roger la laissa se relever. Lucette vint inspecter l’arrière train de la jeune femme :
« Cela suffira ! » et se tournant vers Charles « Et maintenant le chevalet. »
Il prit Caroline par la main pour la conduire devant l’engin. Elle ne put empêcher un mouvement de recul, mais le garçon la tenait solidement, et la fit se coucher sur le petit meuble, une jambe de chaque côté, et il attacha mains et jambes aux quatre pieds du chevalet. Lucette contrôla l’installation. Au milieu de la fourrure il y avait une grosse corde qu’elle plaça exactement dans la fente du sexe, serrée contre le périnée et le clitoris. Elle était destinée à augmenter les sensations de Caroline lorsque Charles aurait entrepris de la posséder. Pour terminer, Lucette lui graissa une dernière fois l’anus, et dit à Charles :
« Elle est prête à te recevoir : regarde comme elle prend bien tout ce qui se glisse en elle. » et plongeant son médius dans l’anus, elle lui fit exécuter quelques rapides mouvements de va-et-vient, pénétrant totalement sa cible.
Charles n’hésita pas. Il se plaça derrière Caroline et d’un coup brutal se glissa en elle. Caroline, qui n’avait jamais été prise ainsi, poussa un cri. Mais sans en tenir compte, Charles continua à s’enfoncer en elle. Le premier sphincter forcé, il s’attaqua au second. Caroline continua ses plaintes, mais quand le second sphincter eut cédé le passage, ses cris se transformèrent en gémissements. Les sensations qu’elle éprouvait maintenant la déconcertaient, et elle se rendait compte qu’il lui serait sans doute possible de jouir lorsqu’elle était prise ainsi. Et à sa grande honte, elle se désola lorsqu’elle sentit Charles éjaculer en elle. Mais il se retira de suite. Lucette vint alors détacher Caroline et la taquina gentiment :
« Alors, j’espère que tu as apprécié. Et attends de sentir Roger te prendre par là. Sa pointure est supérieure à celle de son ami. Mais pour lui, la route est maintenant ouverte. Il va d’abord te prendre en levrette, pour te pénétrer bien à fond, et t’accorder l’orgasme que mérite ton courage. »
Elle fit passer Caroline dans une chambre située à côté de la salle de massage. Il n’y avait là qu’un seul lit, avec des miroirs au plafond et sur chaque mur. Elle indiqua le lit à Caroline
« Installe-toi, pendant que je prépare Roger. »
Caroline obéit, et constata que Lucette s’était mise à genoux devant le garçon et se chargeait de lui procurer une érection. Elle y arriva facilement, et Roger put venir se placer derrière sa cible. La pénétration fut rapide et aisée, tant Caroline mouillait. Elle adorait cette position, et entendait bien en profiter. Elle en profita tellement que très vite, elle connut un premier orgasme. Le sexe de Roger était impressionnant, et semblait même écarter les parois du vagin de Caroline. Elle se sentait pleine comme jamais elle ne l’avait été, et en était heureuse.
Elle croyait en avoir fini, mais immédiatement, Charles succéda à son ami. Caroline apprécia la manière dont il la prit, posément, sans trop se hâter. Visiblement, il cherchait à procurer du plaisir à sa partenaire, et il y parvint sans mal, finissant par la faire crier de plaisir. Lorsqu’il voulut se retirer, elle l’en empêcha en criant
« Encore, continue, fais-moi encore jouir. »
Charles accéda à sa demande, et continua de la baiser. Et quand il se fut retiré, elle s’étira comme une chatte et se retourna pour l’embrasser. Il lui restait une épreuve à subir, et Caroline la craignait. Elle avait au cours de sa première sodomie constaté que la grosse corde placée sous elle avait été pour beaucoup dans son excitation, mais elle se demandait se qui allait se passer quand ce serait Roger qui l’enculerait. Lucette l’avait avertie : Roger était mieux pourvu que son ami Charles. Son sexe était notamment plus gros, et il eut plus de mal à la pénétrer. Mais courageusement, elle serra les dents. Et elle en fut récompensée quand pour la première fois de sa vie, elle connut un orgasme anal.
Roger et Charles sortis, Lucette la détacha et l’amena sur le lit. Elle se coucha à côté d’elle et lui dit
« A mon tour de jouir maintenant. Nous avons plus d’une heure devant nous, et j’entends bien en profiter. » .... LIRE LA SUITE

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