Sodomie

mardi 16 novembre 2004
par  Christine Arven
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— A genoux, m’ordonne—t—il du ton brusque qui lui est coutumier, et montre moi ton cul.

Sans un mot, je m’exécute, avec au fond de moi l’appréhension qui m’est devenue familière quand il me demande cela. Je sais ce qui m’attend. L’inspection sévère de mon orifice dont il va apprécier l’élasticité, la béance. L’hospitalité...

— Ecarte tes fesses avec tes mains que je vois bien ton trou.

Les épaules plaquées contre le sol, les reins bien cambrées, je pose mes mains sur mes cuisses et les écarte au maximum. Je ressens profondément en moi l’indécence de ma position, ainsi exposée cul offert à son regard sans complaisance. Je me mords fébrilement les lèvres et ferme les yeux dans l’attente de l’inspection dont je vais faire l’objet.

Impatiemment, il fait tourner un moment ses doigts sur la rondelle fripée de mon anus l’égratignant du bout de l’ongle. Comme par inadvertance. Juste à l’entrée. C’est à peine s’il force. Malgré tout, je me crispe involontairement.

— Mmmm, c’est déjà mieux que la dernière fois. Tu as fait comme je t’ai dit ?

— Oui Maître

— Combien de temps as—tu gardé les plug ?

— Au début 1 heure mais maintenant j’arrive à le garder tout un après—midi.

— Le gros ou le petit ?

— Le petit, Maître. Le gros me fait trop mal.

— Dommage pour toi... Tu vas donc encore avoir mal aujourd’hui... Mais peut—être que tu aimes ça... avoir mal...

— Non Maître. Je n’aime pas

— Mais tu sais que cela va être inévitable

— Je sais Maître.

— Et que cela est de ta faute ?

— Oui Maître

Sans plus de préambule, je sens deux de ses doigts forcer franchement l’entrée et commencer un lent périple en moi. Je retiens mon souffle. Attentive à la douleur qui j’en suis sûre dans un instant va vriller mes reins d’être ainsi pourfendue. Je me sais encore si étroite et il n’a mis aucun gel sur ses doigts. C’est tout juste, si je me remets du traitement qu’il m’a infligé il y a de cela une quinzaine de jours .

Je me souviens avec un frisson rétrospectif de cette première fois où il m’a enculée. De la même façon, il m’avait ordonné de m’accroupir devant lui et de lui présenter mon cul. LIRE LA SUITE


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