Les débuts d’une soumise 4

mardi 11 octobre 2011
par  domisexy
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Mon mari a voulu profiter de l’absence de notre fille pour m’emmener au restaurant. Mais dans ces cas là je dois toujours être nue sous mes vêtements, aucun sous-vêtement n’est admis. Nous nous sommes installés au fond du restaurant dans un coin tranquille à coté d’une table occupée par deux couples de 50 ans environ, et nous avons commencé à discuter entre nous. Je voyais que nos voisins lorgnaient mon décolleté qui, je dois bien l’avouer, était assez profond et laissait voir une bonne partie de ma poitrine, ma jupe était déboutonnée jusqu’à la limite de mon ventre.
Mon mari a remarqué leurs regards et s’est mis à me parler plus fort, pour que nos voisins ne perdent rien de notre conversation. Il m’a demandé si j’avais aimé notre dernière soirée sexe ou son ami m’avait baisée avec lui après qu’ils m’aient exhibée dans Colmar. La conversation de nos voisins n’existait quasiment plus au fur et à mesure que la notre avançait. Les 2 hommes mais aussi leurs femmes écoutaient du mieux qu’ils pouvaient. Cela m’a beaucoup excitée, et je répondais de plus en plus précisément à mon Maître en n’évitant aucun détail.

Je lui ai raconté que j’avais beaucoup aimé le soir ou il m’a exhibée dans une rue, adossée à un mur. Il avait retroussé ma jupe au dessus de mon ventre et fouillait de ses doigts habilles mon sexe trempé d’excitation. Un groupe de touristes se dirigeait vers nous. J’ai voulue me rajuster mais il a glissé encore plus profondément sa main en moi et m’a ordonné de les regarder dans les yeux et de le laisser faire. Les promeneurs nous ont bien sur regardés et ils ont ralenti le pas, surpris par le spectacle. Certains m’ont traitée de salope et de pute, d’autres n’ont rien dis. Un couple m’a regardé et je crois avoir décelée de l’envie dans leur regard. J’ai aussi du lui expliquer ce que j’avais ressenti pendant que j’étais exhibée. Je lui ai dis que j’étais honteuse, troublée et excitée à la fois d’être vue pendant que sa main explorait mon ventre sans ménagement au point de me faire gémir dans un mélange de plaisir et de douleurs devant ces inconnus. Je lui ai dis que j’avais quand même aimé cela et que j’étais prête à recommencer si lui le voulait.

Nos voisins n’avaient pas perdus une miette de mes confidences et me regardaient d’un air réprobateur mais aussi lubrique. Comme c’étaient un buffet nos voisins et nous même devions nous lever pour nous servir. Mon mari m’a demandé de reculer ma chaise de la table pour qu’ils puissent mieux voir mon ventre à leur passage. Il m’a aussi ordonné de bien me pencher lorsque j’irai au buffet pour que tous les clients aient une vue plongeante sur mes seins. Ils avaient forcément entendu mon mari me le demander, car nous entendions leurs remarques et leur conversation ne tournait plus que sur nous et ma tenue.

Lorsqu’ils se sont levés pour aller se servir ils n’ont pas oublié de jeter un regard appuyé sur mes cuisses offertes et mon décolleté audacieux. Nous avons attendus qu’ils s’asseyent pour nous servir à notre tour. Je me suis levée en me tournant vers eux pour leurs offrir la vue de ma jupe ouverte sur ma fente imberbe et un aperçu de mes seins, libres de toute entrave dans leur chemisier au décolleté généreux. Pendant mon passage au buffet j’ai veillé à bien me pencher pour offrir un joli spectacle aux autres clients, pour obéir à mon Maître mais aussi pour moi : Sentir les regards des autres sur mon corps, allumer le désir en eux et les troubler me plaît énormément.

Lorsque nous sommes revenus nous assoir la table nos voisins attendait visiblement que je me rasseye. Je n’ai pas eue le cœur de les décevoir et leurs ai encore offert la vue de ma jupe remontant bien au-delà des limites de la décence sous le regard satisfait de mon Maitre.

Nous avons continué à discuter et mon mari m’a demandé si j’étais excitée. Je lui ai répondue par l’affirmative en disant : « je suis très excitée que vous m’exhibiez ainsi, mes seins sont tout durs et les mamelons sont dressés. »

« Ouvre ton chemisier que je voie »

J’ai alors du ouvrir les pans de mon vêtement sous les regards de mon Maître mais aussi des voisins qui n’en perdaient pas une miette. J’écartais les pans du chemisier pour offrir la vue de mes seins

« Ecarte plus »

Je m’exécute, les pans de mon chemisier sont maintenant totalement écartés, toute la salle peut me voir offrir ma poitrine aux regards de mon mari.

« Tu mouilles ? »

« Oui. »

« Mets tes doigts dans ta chatte et montre moi. »

Je rabat les pans de mon vêtement et glisse mes doigts dans mon sexe trempé, je remonte ma main à regret et la tends à mon Maître qui constate qu’ils sont tout mouillés.

« Tu mouilles comme une vrai salope qui veut se faire baiser, tu veux te faire baiser ? »

« Oui, j’en ai envie »

« Tu vas appeler Yves, mon pote et lui demander s’il veut bien te baiser, tu lui diras ou nous sommes, comment tu es habillée et dans quel état tu es ! »

Après un court un instant d’hésitation je prends le téléphone portable qu’il me tend, à peine l’ai-je à l’oreille qu’Yves décroche : « Oui »

« C’est domi, l’esclave de Jean, je voudrais savoir si vous voulez bien me baiser, je suis au restaurant avec mon Maître, juste habillée d’une jupe fendue et d’un chemisier très échancré, je suis très excitée, mes seins sont tout dur avec les mamelons qui pointent et je mouille beaucoup. »
« Ma salope y a urgence alors, c’est tout à fait dans mes cordes, viens à la caserne, je t’attends ! »

« Alors, qu’est ce qu’il a dit »

« Il m’attends à la caserne »

Les voisins n’avaient rien perdu de la conversation et en restaient bouche bée. Maître m’expliqua alors que son copain était pompier et qu’il devait sans doute être de garde mais que cela tombait bien, un pompier pour m’éteindre le cul, quoi de mieux ?




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Commentaires

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lundi 23 mai 2016 à 18h10 - par  Nina

Je mouille comme une chienne , que j’ai envie d’être a votre place qu’elle chanceuuse ! Etre traité de soumise c’est mon reve

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mardi 11 octobre 2011 à 17h14 - par  Le Mentor

Une bien belle sortie au restaurant ;-)
Peut-être pas aussi évidente que ça à vivre en réalité !
Une histoire bien écrite.