Perdu entre l’Europe et l’Asie, vivait un Royaume connu pour sa prospérité et appelé Françoïse, « prononcez Franso-ïse », du nom de sa Reine. Il ne s’était pas construit sans effort, bien loin de là, mais le pouvoir, la force, l’intelligence et l’autorité de la Reine lui assuraient une stabilité peu commune dans ces territoires hostiles.
La Reine Amazone avait étudié dans les meilleures écoles, formée au combat au même titre qu’un homme, elle excellait dans la stratégie militaire ce qui lui avait valu non seulement d’assurer la paix intérieure de son royaume, mais aussi de conquérir des terres lorsque l’ennemi proche devenait menaçant.
Sons sens aigu du commerce lui permettait également de mener des négociations habiles avec des peuples importants afin d’éviter des guerres inutiles.
Elle était Reine, respectée de ses pires ennemis, mais l’une de ses qualités les plus redoutables était sans conteste sa rare beauté.
Elle était d’une telle beauté, resplendissante, d’une telle classe et d’un tel charisme qu’elle déstabilisait aussi bien les hommes que les femmes.
Elle avait par ailleurs instauré une loi faite dans le seul but de Respecter la Femme et de la défendre dans tous les cas de la vie courante tant et si bien que l’homme qui manquait de respect envers elle, se voyait directement juger pour ces faits et risquait de payer cher ses manquements.
C’est assurément cette prospérité et le respect de la Femme qui attiraient bon nombre de couples venus tenter leur chance dans ce royaume des amazones.
Parmi ces lois, plusieurs étaient assez particulières : l’une d’elles obligeait le couple à vénérer la Reine autant de fois qu’elle le souhaiterait.
Cette cérémonie était on ne peut plus étrange et quelque peu humiliante si l’on considère que le couple devait se présenter habillé en tenue de cérémonie, d’une propreté exemplaire et devait ensuite se déshabiller sur ordre de la Reine. Il devait surtout se présenter nu, complètement épilé sous l’œil critique de la Reine.
S’ensuivait alors un rituel que le couple devait connaître par cœur.
Chacun devait baiser les pieds de la Reine, frotter son sexe dessus, sur les jambes, et même les cuisses en suppliant la Reine de bien vouloir leur accorder dans sa plus grande clémence le droit de jouir.
Cette jouissance devait invoquer auprès des Déesses, des moissons abondantes et une prospérité pour le Royaume de Françoïse
Cet exercice révélait à chaque fois l’excitation de l’homme qui ne pouvant retenir une fière érection devant une telle beauté, arborait ainsi devant sa propre épouse tout le désir que provoquait cette majestueuse Reine.
L’épouse, jalouse, voire cruellement jalouse même si elle avait du mal à l’accepter ne voulant pas le révéler, comprenait à quel point était impossible de ne pas céder à une telle tentation.
Toutes les femmes n’étaient pas attirées par leurs semblables, mais plusieurs pour ne pas dire toutes se prenaient au jeu et succombaient au charisme de la divine Amazone.
Certains hommes avaient bien du mal à retenir leur orgasme tant la situation pouvait durer longtemps et le frottement aidant, certains gémissaient de plaisir sachant qu’il était formellement interdit de jouir sans l’autorisation de la Reine sous peine d’offense.
La Femme obligée de frotter son sexe le long du haut du pied, le long du tibia, finissait inévitablement par trahir ses sentiments.
La Reine qui ne désavouait pas ses penchants pour les deux sexes appréciait que la Jeune femme humidifie plus abondamment la peau de ses petons.
Elle finissait par faire un choix en désignant soit l’homme ou la femme, ou même le couple comme amants de sa nuit.
Elle aimait les femmes, les très belles femmes, et lorsqu’elle en choisissait une, elle donnait son mouchoir au conjoint masculin afin qu’il se soulage dedans en hurlant toute sa dévotion pour sa Reine.
Étrangement, cela décuplait le plaisir de l’épouse qui reconnaissait en sa Reine tout le pouvoir qu’elle dégageait.
La Reine appelait alors ses gardes Amazones afin de conduire le mari dans une chambre où il était l’objet de toutes les attentions d’Amazones guerrières.
L’homme y passait une nuit torride mais difficile, car il devait satisfaire plusieurs Amazones et leurs envies les plus folles.
Il arrivait très souvent que l’homme soit attaché afin que celles-ci puissent mieux profiter du mâle mis à leur disposition.
La Reine avait alors toute la nuit pour éduquer et pervertir les plus ingénues et les plus prudes des femmes.
Mais la Reine aimait beaucoup les hommes et choisissait souvent le mari comme amant de sa nuit pour assouvir ses fantasmes les plus fous. LIRE LA SUITE