La comptable rend des comptes 4

épisode 4
mardi 25 octobre 2011
par  soleil de pierre
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Résumé de l’épisode précédent : comptable dans une petite entreprise j’ai commis des erreurs dans les comptes de la société. Mon patron s’en est aperçu et me fait chanter depuis, me soumettant sexuellement à ses désirs les plus abjects. Vos commentaires sont toujours les bienvenus…

Depuis ce jour mon patron me prend régulièrement, mais il faut bien dire que ça ne change plus grand-chose, après ce qu’il m’a déjà fait subir. C’est juste une étape supplémentaire de mon chemin de soumission, sur lequel j’avance pas à pas sans jamais trouver la force de me rebeller. Au point où j’en suis il pourrait tout aussi bien divulguer les photos en sa possession dès demain et à qui il veut ; je ne sais pas si j’aurais le courage de lui désobéir. Il m’a entraînée dans une spirale d’attente et de jouissance et je ne sais plus dire non. D’ailleurs il n’a pas tardé à me reprendre le peu de mou qu’il avait encore laissé à la corde passée à mon cou.

Jusque là il n’accaparait que mes semaines et le week-end je pouvais reprendre une existence normale. Enfin, normale si l’on peut dire, étant entendu que je passais mes deux jours de repos à tenter d’imaginer ce qu’il me ferait subir dès le lundi matin… et à m’en exciter à l’avance, bien malgré moi. Cette tranquillité s’est interrompue un vendredi après-midi, lorsqu’il m’a convoquée pour fixer de nouvelles règles au jeu dont il était désormais le maître. Partant du principe que j’étais payée tous le mois et donc les week-ends également, et que j’avais commis de très lourdes fautes professionnelles, je devais également rembourser le samedi et le dimanche. CQFD…

Je compris rapidement qu’il avait mis au point un système qui ne me laisserait plus en repos un seul jour. Tout d’abord il me colla des punitions chaque fin de semaine. Des punitions toutes plus stupides et infantilisantes les unes que les autres d’ailleurs. En général il s’agissait de lignes à recopier, et je me souviens encore du premier week-end que j’ai passé à recopier mille fois « je suis une branleuse obéissante qui avale docilement tout le foutre qu’on lui décharge dans la bouche ». Et je devais dater et signer à la fin de chaque ligne ! Je devais rendre ma punition le lundi matin et lui vérifiait ligne par ligne. Il m’avait d’ailleurs prévenue que si je ne m’appliquais pas suffisamment, si j’oubliais un mot ou faisais une faute, ou bien encore si le compte n’y était pas il doublerait la punition, et ce pour le mardi matin naturellement. J’étais assurée d’y passer la nuit et je faisais donc très attention. Mes propres vérifications me prenaient des heures, mais m’ont évité le doublement de la punition plusieurs fois…
D’autres fois c’étaient des perles à enfiler, des boîtes entières de perles de verre minuscules, que je devais assembler en colliers interminables, en respectant un séquencement des couleurs variant constamment. J’y passais mes samedis et mes dimanches, c’était encore pire que les lignes et j’en pleurais d’énervement, en particulier lorsque je m’apercevais que je m’étais trompée et que j’avais enfilé quelques centaines de perles depuis !

Son imagination ne semblait avoir aucune borne. Un week-end il m’a fait couper en deux chaque grain de riz d’un sac de cinq kilos. J’en ai eu des ampoules à cause du frottement du manche du couteau, et depuis je ne peux plus avaler une cuiller de riz.

Mais bien évidemment ma libido était également sollicitée. Le même vendredi il me donna l’adresse compliquée d’un site internet. Après avoir allumé ma web-cam je devais me connecter à chaque fois qu’il m’envoyait un sms sur mon portable. Le sms précisait de quels accessoires j’aurais besoin, et il est arrivé plusieurs fois que je ressorte pour aller me procurer les « jouets » qu’il exigeait. A l’heure convenue la web-cam se mettait en route et je savais qu’à l’autre bout on me regardait, mais je ne savais pas si c’était lui ou bien d’autres gens que je ne connaissais pas. Des collègues à moi, complices du patron également, qui sait ? Des messages s’affichaient sur l’écran, qui me dictaient ce que je devais faire. Généralement il s’agissait de nouvelles séances de masturbation. Face à cet écran je crois m’être caressée dans toutes les positions possibles, et avec toutes les choses imaginables. Je vous épargne le traditionnel concombre, mais aussi des godemichés que j’avais été obligée de me procurer sur internet, et même un plug anal que j’ai du garder enfoncé entre mes fesses plusieurs fois tandis que dos à l’écran et les fesses bien tendues j’agitais mes doigts dans ma fente, frottant mon bouton jusqu’à l’orgasme. Un samedi après midi je me suis pénétrée avec une banane épluchée, je l’ai fait aller à venir en moi jusqu’à la jouissance, puis je l’ai sucée longuement à genoux devant l’écran, pour enfin la manger. Le lendemain je dus enduire les pointes de mes seins d’huile pimentée pour pizza et les froisser longuement pour que l’huile pénètre. Et je mouillais sous la brûlure, évidemment. Je dus déposer une goutte de la même huile entre les lèvres de mon minou, avant de me frotter encore et encore de deux doigts. LIRE LA SUITE



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Commentaires

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mercredi 16 novembre 2022 à 20h14 - par  rose.mimbo@yahoo.com

Certes, le patron est un salaud.
Mais l’histoire, quoique très orientée, est variée et attire le lecteur jusqu’au bout... Bout d’une première partie, en fait, car il y a encore tant de possibles, et la dernière phrase ouvre sur l’un d’eux.

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jeudi 27 octobre 2011 à 17h45 - par  lassy

Toujours aussi bon !!!!!

On attend la suite avec impatience !!!

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