Des premières fois....

mercredi 15 novembre 2006
par  Dan
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Début des années 50, je suis chez ma cousine en vacances à la campagne, j’ai 11 ans, elle a tout juste un an de moins que moi. L’été continental est chaud dans la Meuse et nous sommes souvent à l’ombre d’un arbre, d’une grange, généralement seuls tous les deux, matin et après-midi.

Ma cousine Annie m’a fait visiter tout ce qui est accessible, la maison, les jardins et leurs baraques, la ferme en face et toutes ses dépendances, que de cachettes pour se chercher, se retrouver, chahuter et aussi se faire des confidences.

Bien sur la question des différences entre fille et garçon est venue naturellement dans la conversation et par un accord tacite réciproque chacun a accepté de dévoiler son intimité à l’autre…

Cela s’est fait en douceur, et nous avons découvert, comparé, regardé, caressé toutes ces parties du corps qui s’éveillaient à l’érotisme sans le savoir. Annie me voyait bander sous ces yeux et pour tâter en douceur ce membre sa main devenait une caresse qui lubrifiait le gland sous ses yeux….

Elle écartait ses jambes et je caressais d’un doigt tout cet ensemble qui me semblait compliqué mais dans lequel une excroissance semblait être plus sensible. Elle me le confirmait et souhaitait que j’insiste à cet endroit, la faisant mouiller plus abondamment que moi à vrai dire. J’ai aussi exploré ce qui semblait être ouvert, avec un doigt qui était lubrifié abondamment, et au fil des jours, deux doigts y entraient en finale….

Le corps d’Annie était mince, sa poitrine naissante et ferme, pas de poils sur sa peau au grain blanche au grain très fin. Sa chevelure longue et blonde me caressait la peau lorsqu’elle se penchait sur moi et je frissonnais sous cette caresse légère. Ses petites mains parcouraient mon ventre, jouaient avec cet organe dressé devant ses yeux, elle l’embrassait, le léchait, le décalottait pour découvrir ce qui était en dessous de cette parcelle de peau…..

Annie me caressait aussi avec une plume et appréciait que je lui en fasse autant. C’était devenu le préliminaire qui s’était complété par des baisers sur la bouche de plus en plus doux, long et profonds. Quelquefois elle s’accroupissait ensuite sur moi, son sexe glissant sur le mien en érection contre mon ventre, son va et vient mélangeait nos sécrétions qui parfumaient l’air chaud autour de nous.

J’ai dû jouir quelquefois sans la pénétrer, je ne m’en rappelle pas exactement et mais nous avons fini par nous accoupler, elle jouissant de m’avoir emprisonné, et moi me retirant en finale pour ne pas le faire en elle….

Dans ces moments chacun expliquait à basse voix ce qu’il ressentait à l’autre, l’accompagnant de quelques cris et chuchotements explicites qui enflammaient nos esprits. Les joues en feu, les corps en transpiration, nous rentrions enfin expliquant que nous avions couru comme des fous dans les champs ou après quelques bêtes dans un parc….

Quelques vacances plus tard, devenus adultes, chaque fois que je passais pour des raisons professionnelles dans la Meuse, je faisais en sorte d’être là le matin au moment ou elle partait travailler, je l’emmenais en voiture et nous retrouvions notre intimité dans une étreinte rapide et pas assez fréquente. Le soir nous nous donnions rendez-vous et comme par hasard je la raccompagnais chez ses parents. Puis chacun s’est marié et tout cela est devenu un tendre souvenir que je n’oublie pas.

***

Plus de 10 ans plus tard, une réunion professionnelle me fait connaître une jeune femme, Madeleine, traductrice pour les besoins d’une affaire en cours. Nous faisons peu à peu connaissance et un jour par hasard nous sommes seuls dans mon bureau pour finaliser un document. Ce jour là nous avons déjeuné ensemble, et en fin de journée je lui ai proposé de la raccompagner chez elle à Metz, soit plus d’une heure de route…

J’étais tenté de lui dire que je la trouvais séduisante, et il me semblait qu’elle acceptait facilement d’être seule avec moi, d’ailleurs ne l’avait-elle pas quelquefois provoqué ? C’est dans cet état d’esprit que nous avons pris la route, et notre conversation s’est faite plus personnelle, précise, jusqu’à ce que je lui prenne la main pour souligner sûrement un commentaire à ce moment-là.

Elle accepta ce contact et conserva ma main pendant que je conduisais….mes doigts partiellement posés sur sa cuisse, sa main par-dessus, je n’osais bouger de peur de devoir quitté cette position si agréable et surprenante. A l’arrivée nous nous sommes arrêtés avant qu’elle n’arrive chez ses parents et là nous nous sommes embrassés, caressés avec fougue mais sans aller plus loin. Chacun de nous savait qu’il se laissait aller à ses instincts sans retenue.

Nous nous sommes retrouvés ensuite dans des situations similaires et chacun est allé peu à peu à la découverte du corps de l’autre. Et je fus surpris de découvrir que Madeleine était vierge….elle avait trente ans, un corps superbe, des cheveux blonds, très femme bcbg, intelligente, un caractère d’une grande gentillesse et pourtant seule….Tout a recommencé comme avec ma cousine Annie. Des caresses appuyées sur son clitoris lui ont fait ressentir des émois qu’aucun garçon n’avait eu droit de lui procurer auparavant.

Son sexe était presque lisse, tout juste quelques poils fins et peu fournis, un sexe de jeune fille aux lèvres minces, tout juste entrouvert. Elle mouillait abondamment et cela me facilitait l’exploration de son intimité, avec douceur, juste un doigt, avec d’infinies précautions, puis deux….et elle a joui de cette première pénétration. Sans retenue, elle m’a fait part de ce qu’elle découvrait sous mes caresses.

Elle a dû vaincre sa timidité et j’ai du guidé sa main vers mon corps pour qu’elle apprenne ces caresses que j’attendais. Elle a pour la première fois tenu en main ce qu’elle n’avait jamais connu….Nous sommes allé plus loin les fois suivantes et je lui ai fait découvrir qu’elle pouvait jouir plusieurs fois, bien plus qu’un garçon à vrai dire.

Elle était toujours habillée sexy, porte jarretelles et bas, sous-vêtements noirs en dentelle, jupon noir sous un tailleur strict, jupe courte, rien que du classique bien porté. Sa taille mince se coulait avec sensualité dans mes mains, sa poitrine menue et ferme durcissait sous mes caresses, les tétons proéminents. Elle avait un corps de jeune fille. Je caressais son sexe, l’embrassait et le cunnilingus portait son extase à son paroxysme ; elle vibrait, jouissait et m’appelait pour que je la pénètre, sans retenue, jusqu’à mon explosion en elle….Puis nous recommencions….son ventre agité par des spasmes, son vagin dégoulinant, sa bouche me dévorant de ses baisers goulus ….

Nous nous arrêtions, lorsque fatigués, nos corps réclamaient ces instants ou l’un repose dans les bras de l’autre, ou le rythme du cœur et la respiration se calment, moment ou le temps ne compte plus.

Nous étions deux amants comblés, captifs tous les deux de nos émotions, oubliant le temps et le lieu, tout entier à nos désirs d’étreintes. Madeleine tout comme Annie avait découvert tout un monde, d’autres l’ont fait avec moi, mais jamais avec la même intensité dès les premières caresses, avec la même sensibilité exacerbée, la même puissance érotique, tout est resté gravé dans ma mémoire.


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