7- Jill, auxiliaire du Maître

Lise est partie et Jill a peur de demander ce qui lui est arrivé. La jeune fille a manifestement été vendue, et Jill se demande combien elle a rapporté. Jill est la seule esclave stagiaire pendant quelques jours, et elle se demande combien de temps son calvaire va continuer. Ils semblent ne jamais manquer de façons de la blesser, la dégrader ou l’utiliser.
« Tu dois apprendre à reconnaître les besoins et les désirs des autres, explique le Maître. Et ensuite, implorer pour les satisfaire.
– Oui, Maître, acquiesce-t-elle, ses yeux méfiants fixés sur la bougie allumée qu’il tient au-dessus d’elle. »
Elle est allongée sur le dos sur une table étroite, les poignets liés sur le côté et les pieds dans des étriers. Il touche son visage du bout des doigts et caresse ses belles lèvres. Elle halète, incertaine de ce qu’il veut. Il penche la bougie et fait couler de la cire chaude sur son mamelon. Jill sanglote. Il l’admoneste doucement :
« Tu n’as pas supplié. »
Il touche à nouveau ses lèvres. Elle gémit :
« S’il vous plaît, Maître… S’il vous plaît… Baisez ma bouche !
– Très bien ! La félicite-t-il. »
Il ouvre sa robe et se place à côté de sa tête. Jill ouvre la bouche et aspire lorsqu’il insère sa bite dans sa gorge. Il se met à baiser son visage, lentement et doucement, et l’aide à positionner sa tête pour que sa gorge soit alignée pour lui. Elle doit apprendre à contrôler sa respiration, et elle est surprise de constater qu’elle peut ingérer toute sa longueur. Son lourd scrotum rebondit contre sa joue et il n’y a rien qu’elle puisse faire avec sa langue pour le faire jouir. Il semble qu’il va durer éternellement. Finalement, il se retire et se caresse avec la main, et il crache sa charge sur tout son visage. Il fait couler de la cire sur son autre mamelon.
« Tu ne m’as pas remercié, dit-il sévèrement.
– Merci, Maître, dit-elle rapidement. »
Dolly se penche sur elle et lape les jets de sperme de son visage, puis l’embrasse.
« Tu ne penses pas que Dolly veut quelque chose ? Demande le Maître. »
Jill déglutit. Il fait couler de la cire chaude sur son ventre. Dolly met sa langue dans la bouche de Jill qui supplie :
« S’il vous plaît… Laissez-moi… Vous lécher. »
Le Maître fait couler de la cire au sommet de sa motte glabre en disant :
« Sois très précise.
– S’il te plaît, Dolly… Puis-je... Te sucer la chatte ? »
Dolly enjambe la tête de Jill et ouvre son sexe imberbe avec ses doigts. Elle s’installe et soupire tandis que Jill commençait à agiter sa langue sur son sexe. Jill ne se soucie pas autant de ce qu’ils font que de devoir leur demander de la maltraiter.

Une autre fois, ils l’emmènent dans la cour d’exercice et lui montrent une assiette de restes de viande froide. Après plusieurs jours de nourriture en conserve pour chiens, les restes ressemblent à un régal. Le Maître ordonne :
« Assieds-toi comme un chien. »
Il lui lance un morceau de viande et elle l’attrape avec sa main. Avant qu’elle ne puisse le mettre dans sa bouche, Blanco attrape son poignet et lui fait lâcher prise. D’un ton sec, le Maître commente :
« Les chiens n’utilisent pas leurs mains. Maintenant, prends-le avec ta bouche. »
Elle doit se baisser et ramasser le déchet avec ses lèvres. Il en lance un autre, et elle le rate, puis le rattrape avec sa bouche. Elle rate la plupart des envois, mais finit par réussir à en attraper quelques-uns. Le Maître demande :
« Qu’est-ce – que tu es ?
– Une… Esclave, Maître.
– Assis !
Elle s’accroupit rapidement sur ses mains et ses genoux.
« Maintenant, qu’est-ce que tu es ?
– Un… Un chien ?
– C’est une meilleure réponse, mais pas assez bonne. »
Elle déglutit.
« Une chienne. »
Il secoue la tête. Elle sait ce qu’il veut.
« Je suis une… salope . »
Il sourit.
« C’est vrai. Une salope. »
Lorsqu’il la ramène à son chenil, il lui tend l’une des grandes pinces crocodiles qu’il a déjà utilisées.
« Je veux que tu mettes ça sur ton mamelon gauche et que tu le laisses là jusqu’à ta prochaine séance d’entraînement. »
Jill lui prend la pince et l’ouvre.
« Je, euh, ne pense pas… y parvenir.
– Puisque tu as été bonne, je vais te donner une chance de plus. Tu sais que si tu désobéis, je te ferai quelque chose de pire que ce que je t’ai demandé de te faire à toi-même. »
Elle acquiesce.
« Oui Maître. »
Se mordant la lèvre, elle ouvre la pince et la tient sur son mamelon gonflé. Lentement, elle la laisse se refermer, et elle laisse échapper un gémissement lorsque les dents acérées s’enfoncent dans son mamelon sensible. Il la laisse seule pendant plusieurs heures. LIRE LA SUITE