Virginie espionne pour la CIA

4 Le procès de Virginie
mardi 23 juin 2015
par  BORIS
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Je fus extraite du cachot en début de matinée et remise à deux policiers. Avant d’être transférée au tribunal, je dus me laver, me coiffer et me maquiller puis je fus autorisée à me vêtir en civil. Je portai mon tailleur et ma jupe de femme d’affaires sexy, des chaussures à talons, une petite culotte et un soutien-gorge en lingerie de couleurs noir et rouge.
Arrivée au tribunal dans une voiture de police, bras menottés dans le dos, je fus conduite dans une cage où je fus obligée de rester debout tant elle était petite. J’attendis ainsi le début de mon procès à côté d’autres femmes accusées chacune se trouvant dans une cage similaire à la mienne.
Mon procès débuta vers 10 h du matin. En entrant dans la salle d’audience, escortée par deux gardes, je vis au milieu de la pièce un poteau en bois. Je fus attachée, bras dans le dos, au poteau. Un garde déboutonna mon chemisier jusqu’à la hauteur de mon soutien-gorge et trouva certainement amusant de le désajuster de façon à ce que le mamelon de mon sein droit soit visible. Je restai debout restreinte, un sein partiellement dénudé, pendant toute la durée du procès. La salle du tribunal était pleine de citoyens et touristes étrangers venus assister à l’audience.
Le juge, le procureur et les greffiers entrèrent. Le juge prit la parole :
– Affaire 983 145, Principauté d’Eurabia contre Mlle Jennifer Colemann, originaire de Tampa Floride USA, née le 15 mai 1992.
Catastrophée, j’entendis mon vrai nom, prénom et origine. Ma couverture de call-girl ne me servait plus à rien.
Le juge ordonna que je sois bâillonnée pendant la durée des auditions sous prétexte qu’il fallait protéger la population des propos blasphématoires que j’aurais pu énoncer. Une barre métallique fut immédiatement insérée dans ma bouche et visée autour du poteau métallique m’obligeant à garder la tête droite et empêchant tout mouvement de la nuque.
Le procureur prit la parole pour lire l’acte d’accusation. Je fus accusée des délits suivants :
• Immigration illicite sur le territoire de principauté d’Eurabia et usage de fausse identité
• Importation d’habits et de sexe-toys interdits sur le territoire et ports d’habits indécents
• Pratique du self-bondage et de la masturbation
• Prostitution avec faits aggravants
• Viol de mineur
L’avocat de la partie civile montra au jury le contenu de ma valise : mes strings, mes petites culottes et jupes hyper sexy ainsi que le matériel sado-maso furent exhibés sous l’œil amusé des spectateurs. Une pince à sein fut testée sur le mamelon de mon sein droit.
Puis Amina fut appelée à la barre comme témoin à charge. Elle déclara que j’étais soupçonnée d’espionnage et qu’elle était chargée, dans le cadre d’une mission secrète d’état, d’enquêter dès mon arrivée à Genève. Elle certifia que rien ne put être retenu en matière d’espionnage par contre que plusieurs actes de débauches sexuelles avaient été filmés ou photographiés lors l’enquête. Elle commenta d’abord une vidéo, prise à mon insu, où l’on me voit dans une chambre d’hôtel nue et menottée entrain de pratiquer la masturbation : pratique du self-bondage selon elle. On visionna ensuite plusieurs photos prises lors de la soirée de gala à Genève et par les caméras de surveillance du Hilton. Mes tenues furent jugées indécentes et contraires aux lois que ce soit en robe courte et ultra moulante ou en mini-jupe. Des agrandissements permirent de démontrer que parfois je ne portai pas de sous-vêtements ou que je portai des mini strings fendus laissant apparaître mon sexe ; du coup des circonstances aggravantes furent ajoutées à l’accusation de ports d’habits indécents. Il fut ensuite prouvé qu’un transfert de 200 000 $ avait été effectué sur mon compte privé. Finalement plusieurs photos furent montrées sur grand écran où l’on me voit nue, les seins et le clitoris hyper excités, avec un godemichet attaché autour de ma taille entrain de pénétrer une jeune femme ligotée sur un lit. Amina jura sur l’honneur qu’elle était intervenue suite aux cris et appels à l’aide de la jeune femme au risque de mettre sa mission en échec. Comme il ne fut pas possible de prouver que la victime était mineure, seule l’accusation de viol fut retenue (ce qui m’évita une peine de réclusion à vie).
Je ne puis vous dire exactement ce qui s’est passé dans mon esprit. J’étais partagée entre la honte d’être ligotée sein nu en public et l’excitation amplifiée par mes vieux fantasmes d’adolescence d’être une esclave. LIRE LA SUITE

A venir :
Partie 5 : 4 ans de centre d’éducation pour femmes débauchées
Partie 6 : Transfert aux USA
Partie 7 : 6 ans de pénitencier en Floride




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