Il n’y pas forcément le sexe

mercredi 2 mai 2007
par  Aenean
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Un pays étranger, pas très loin.

La vie d’un expatrié, seul, est simple : boulot, courses, tâches ménagères, un peu de sport, les virées avec les collègues. Les déplacements, encore les déplacements...
Entre deux avions, un rapide passage au bureau, le temps de dire bonjour aux collègues restant sur place, de s’informer des derniers potins de la comète, de régler quelques formalités administratives.

C’est drôle, les absences permettent de remarquer les nouvelles têtes ! Un des responsables de la société me présente Olga, une jeune stagiaire envoyée par son école en stage chez nous pour voir ce qu’est la vie en entreprise. Elle n’est pas dans mon service mais elle y viendra, devant faire le tour pour voir les différents aspects d’une boite comme la nôtre.

Olga a environ 22 ans, j’en ai un peu plus, je suis un « vieux » pour elle. Ses cheveux mi-longs, châtain chair, ses beaux yeux bleus m’attirent. Son corps encore juvénile ne m’est pas indifférent non plus.
Nous sympathisons, nous croisons à la cantine, prenant plaisir à déjeuner côte à côte, avec mes collègues. Nos regards se trouvent, le mien plonge sur sa frêle poitrine que je devine libre sous son chemisier.

Les jours passent. Je décide d’organiser une petite fête chez moi, dans mon appartement. Elle est invitée et se propose gentiment de venir m’aider à tout préparer.

***

Samedi vers 14h.

Olga arrive, toute pimpante, toute belle dans sa tenue de soirée : une petite jupe noire, un chemisier blanc, des chaussures presque plates, bas ou collant ? Je penche pour le second.

Elle ne peut décemment pas préparer un repas, habillée comme ça ! Dans mes affaires, je trouve quelques fringues plus adaptées : un survêtement (trop grand pour elle), un polo. Je l’envoie se changer, seule. Elle me revient, belle comme un cœur, à croquer. Décidément, il est des filles à qui tout va, même un survêtement trop grand. Le chauffage souffle, nous nous activons, nos rigolons.

Nous préparons entre autre des fraises qu’il faut couper en quatre, pour les faire mariner dans un alcool. Pleine de bonne volonté, Olga s’atèle à cette tâche, assise à la table de la kitchenette. Je suis heureux. Sa présence me réconforte, rempli cet appartement de célibataire. Ce qui devait arriver arriva : une fraise lui échappe des doigts pour atterrir sur le carrelage, non sans avoir fait un crochet sur sa poitrine, sur mon polo. Elle me regarde, embêtée. Je me force à lui lancer à mon tour un regard froid (alors que j’ai une énorme envie de rire, bel exercice, je vous le conseille !). Je lui demande si maintenant elle sait pourquoi je voulais qu’elle se change avant de me donner un coup de main, que je savais très bien qu’elle ne saurait travailler proprement ? Voilà, un polo tout propre, sali en moins d’une heure... Je lui dis que cette erreur lui en coûtera plus tard mais que dans l’immédiat, je dois éviter que la situation ne s’aggrave. Je m’approche d’elle, une éponge à la main. Je glisse une main sous son vêtement, caressant sa poitrine au passage. LIRE LA SUITE





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