Conte érotique de Noël (2)

lundi 26 décembre 2005
par  aramis
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Marie-Noëlle me désigna un grand tas de peluches de toutes sortes, dans un coin.
— Tiens : là, on va être bien !
C’était vrai : débarrassés de nos manteaux, nous nous roulions dans cet amoncellement moelleux et duveteux, sur des ours, des lapins, des écureuils, bruns, roses, bleus… (Et dire que mon père ne m’avait jamais donné, dans ma plus tendre enfance, d’autres doudous qu’un petit martinet de cuir, dont je suçais les lanières en m’endormant… « Les peluches, ça fait des tarlouzes ! », disait-il)
Pendant que nos langues se mêlaient, j’avais plongé mes mains dans son bustier et pétrissais ses seins gonflés… Ses soupirs m’enhardissaient… Je n’étais peut être pas le looser que je croyais être, surtout qu’elle susurrait des mots flatteurs pour mon physique
— Hummm… Comme j’aime ta poitrine velue… Tes bras musclés… Tes fesses bien fermes… Et ta bite… Ho ! Passe par ma cheminée, elle est en feu ! … Amène-moi tes cadeaux ! … Une grande poupée !… Un Action Man !… Un joystick pour ma console !
Elle avait dirigé ma tige raidie juste à l’entrée de sa crevasse et je m’y enfonçai d’un coup… Mon Dieu, comme c’était chaud à l’intérieur ! J’y coulissais avec ardeur, et ses hanches venaient à ma rencontre. Je ne savais plus où donner de la bouche… sur la sienne, dans son cou, sur ses tétons roses qui émergeaient du bustier malmené… Ses mains passaient sur mes fesses, s’y agrippaient et me poussaient davantage à chaque fois que je butais au fond. Entre deux glapissements elle m’encourageait avec des « Bourre-moi » des « mets-la-moi bien fort ! » et autres propos qui, s’ils étaient connus du public, lui vaudraient d’être interdite d’approche de toute famille honnête, elle, la fille du soi-disant plus grand ami des enfants ! Et moi qui, avant, rêvais de balades au clair de lune avec elle, sa main dans la mienne… Mais enfin, je ne me plaignais pas non plus !
Bientôt nos souffles et nos cris devinrent synchrones, ses seins maintenant libérés remuaient au rythme de mes coups de reins et son visage, à travers ses cheveux blonds en folie, devenait extatique…
Quelque chose de chaud et gluant se répandit sur mon épaule.
Je tournais la tête : un liquide blanchâtre coulait le long de mon bras ! Et quand je cherchais d’où cela pouvait bien provenir, je vis un petit homme, au visage rond, vêtu de vert et coiffé d’un bonnet à pompon, qui se tenait tout près de la pile de peluches où nous nous ébattions. Il ne devait pas mesurer un mètre. Un lutin ! Un employé du vieux barbu ! Il nous regardait, l’air confus, ses chausses aux chevilles, avec à la main l’organe, encore bien volumineux, qui m’avait aspergé de sa semence. Avant même de trouver quelque chose à dire, je m’aperçus qu’il n’était pas seul, loin de là ! Dissimulés plus ou moins derrière les piles de cartons et de jouets qui encombraient l’atelier, une bonne vingtaine de ses congénères, en habits rouges, bleus, vert, se livraient à la même activité masturbatoire en ne perdant pas une miette de notre copulation, que j’interrompis sur-le-champ. Celui qui m’avait atteint était plus proche et plus rapide que les autres, tout simplement… LIRE LA SUITE


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