Brigitte Chap 4

mercredi 14 novembre 2007
par  Lord Byron
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La semaine suivante puisque nous avions décidé de nous retrouver une fois par semaine le jeudi après midi de 14 heures à 18 heures après le déjeuner et avant que le propriétaire de l’appartement ne rentre. La semaine suivante, donc, je décidai d’arriver avec un peu d’avance et de me préparer… enfin me mettre quasiment nu ne gardant que mon slip et maintenant une érection déjà fort honorable du simple fait de penser à ma Brigitte.

Sonnette … je regarde, c’est bien elle, j’ouvre et je la vois apparaître avec un manteau long. Elle entre et le retire et je constate avec stupeur et colère qu’elle porte un chemisier délicatement ouvert et laissant apercevoir une poitrine nue mais surtout … un pantalon blanc moulant. Je lui fais sèchement la remarque ; elle me répond que, dessous, elle est sexe nu, sans culotte. Je lui fais part de ma déception et j’en rajoute un peu en disant que nous nous sommes trompés l’un sur l’autre et que peut être vaut-il mieux cesser cette relation. Je suis tendu tout entier en espérant que sa réaction ne sera pas celle que je redoute le plus, à savoir se montrer d’accord. Elle répond

— Pardonne-moi mon chéri je ne pensais pas te blesser

— Je ne suis pas blessé, je suis déçu, terriblement déçu

— Que faire pour que tu me pardonnes ? (je suis son regard, elle constate que je ne bande plus beaucoup ; ma déception est donc éclatante)

— Comprends bien, ta vie d’esclave si tu l’acceptes consiste à rechercher en permanence mon plaisir même et surtout s’il doit t’en coûter ; c’est à ce prix que tu deviendras celle que je veux

— J’ai une idée, dit-elle

— …

— Je vais aller me changer pour toi

— Tu ferais cela ?

— Oui, laisse-moi une demi-heure

— Je suis d’accord à une condition. Tu m’obéis sans discuter à partir de cet instant… ; à tout ce que je te demanderai

— … oui, dit-elle timide

— TOUT ! ma voix est devenue sèche

— .

— Alors ?

— Oui mon chéri mais …

Schlak schlak, deux gifles

— Aïe, pourquoi ?

— Le mais est de trop. Au moindre problème réel, il te reste les mots de sécurité

— Bien mon chéri, je suis à toi

Elle approche et me caresse la queue à travers le slip sûrement pour que j’oublie sa désobéissance. Je ne lui permets pas d’aller au-delà et lui demande de descendre le pantalon. Elle obéit avec une lueur de désir dans les yeux. Elle est effectivement nue dessous et ostensiblement excitée ! Je vérifie que son cul a été lavé et je constate qu’en plus il a été lubrifié (oh la coquine !). Elle a également mis des bas dim up noirs … joli !

J’ouvre une petite valise que j’ai amenée et que j’ai posée sur l’un des fauteuils. Elle contient des bracelets, des colliers, un martinet, une cravache, plusieurs godes, plusieurs séries de boules et deux Plugs voire trois si on compte l’énorme cône. On peut y voir également des pinces terminées de chaînettes, des poids et des aiguilles courtes et longues et bien d’autres choses encore. Elle regarde ébahie, inquiète, apeurée …

— Oh tu vas utiliser tout cela ?

— Tu connais ?

— Non pas tout mais j’imagine...

— Ce sera pire que ce que tu imagines

Je me munis d’un collier de cuir noir de quatre cm de large et équipé de quatre anneaux placés à quatre vingt dix degrés les uns des autres ; je lui passe autour du cou serré mais modérément… bien visible

Je la conduis devant un miroir en pied à l’intérieur d’une porte d’armoire. Elle est obscène et magnifiquement désirable avec son pantalon sur les chevilles, sa chatte libre de tout tissu et son collier qui orne maintenant son cou en rehaussant le chemisier. Obscène et magnifiquement désirable ; je rebande ; elle le voit et son regard trahit sa satisfaction. Je lui ordonne de se pencher en avant face au miroir et de s’ouvrir le cul. Elle n’hésite pas un instant ; vu de derrière le spectacle est saisissant et je dois me contrôler pour ne pas l’enculer sur-le-champ. J’ai d’autres projets : je lui tends un plug rigide en plastique transparent dont la base mesure 2 cm de diamètre et le renflement atteint plus de 4.

— Encule toi salope

Je me positionne derrière elle et je lui demande de me regarder dans les yeux à travers le miroir ; elle le fait et je suis terriblement excité. Je me demande qui est le maître du jeu. Elle me regarde bien dans les yeux et s’encule d’un mouvement lent mais constant jusqu’à la base du plug. De ma position, je vois le visage dans le miroir et le plug enculeur devant moi ; elle a grimacé au moment du passage le plus large mais ne s’est pas arrêtée.

— Recommence salope sors le et rentre-le

Cet ordre sera répété et exécuté quatre fois avec des gémissements de plus en plus caractéristiques… la chienne s’encule avec un certain plaisir et finit par le dire avec ces mots crus qui l’excitent tant « ouii je me défonce le cul oh oui j’adire maintenant… »

— Arrêtes salope, si tu jouis je te bousille et je te mets dehors dans cet état

— Oh non s’il te plait … voilà, je me calme … je suis frustrée, je vais devenir dingue

— Redresse toi et remets ton pantalon

— Oui Chéri, comme tu voudras

— Assieds toi sur cette chaise, bien droite

— Oh c’est dur j’ai un peu mal … mais j’aime puisque tu me le demandes

— Appuie plus fort

— Oui … aïïïe…hummm c’est bon

— Maintenant vas te changer je t’attends

— Avec mon petit cul garni ? Je vais pouvoir conduire ? Et ce collier ? Oh que je ne rencontre personne de connu !

— C’est toi qui as mérité cette punition

— …oui (inaudible)

— Bien, à tout à l’heure, ne t’éternise pas, je pourrais être parti…pour de bon

— Je reviens vite

Elle cherche à m’embrasser, je la repousse et je la gifle. Elle enfile son manteau et part rapidement visiblement déçue. Encore un pallier …va-t-elle revenir ? J’attends mais je suis impatient. Environ trente minutes plus tard, la sonnette retentit ; je regarde à travers l’œilleton et je la vois manteau ouvert jupe ultra courte blanche qu’elle relève légèrement ; elle sait que je regarde et ses yeux me supplient d’ouvrir… ce que je fais après une minute qui doit lui paraître une éternité.

— Entre salope et retire la manteau

Elle le fait rapidement avec un soupçon de provocation sexuelle ; je lui enseigne alors la position de contrôle : debout, cuisses écartées au maximum, à la limite de l’équilibre, mains derrière la nuque… comme elle est belle ainsi ; elle appelle la douleur et le plaisir.

— Si tu veux que je te garde, tu vas devoir payer ton insubordination

— Pas trop mal Monsieur s’il vous plait (ce qualificatif lui est venu spontanément… magnifique !)

— C’est moi qui décide ; une question : as tu joui en conduisant ?

— Oui Monsieur, deux fois, je n’ai pas pu me retenir ; je me traitais de salope dans la voiture

— Tu aurais pu me le cacher

— Oh non, vous l’auriez su

— J’aime ta sincérité, cependant je vais te punir durement ; allez cambre toi et présente tes mamelles sans quitter la position

Elle est toujours cuisses écartées et mains derrière la nuque, elle penche la tête en arrière et fait saillir ses gros seins sous le tissu du chemisier que j’ouvre délicatement pour les exhiber. Je prends ses gros bouts dressés entre mes ongles et je les pince puis les tord. Elle crie un peu et se tend mais ne bouge pas. J’insiste…elle gémit…elle commence à aimer. Puis je lâche ses mamelles et prends le martinet ; ses yeux me supplient, elle a peur. LIRE LA SUITE

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