MII épisode 9 et 10

vendredi 27 mars 2009
par  lahoule
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EPISODE 9

MII n’a que peu de conscience de son déplacement, les couloirs succèdent aux escaliers. Pendant un moment, ils descendent un escalier en colimaçon très étroit, comme ils descendraient aux oubliettes d’un château. Encore un couloir sombre, puis un arrêt, un bruit de clé dans une serrure. Un, deux trois tours et la domestique laisse passer le maître et son fardeau dans un état semi comateux tellement les jouissances, la fatigue ont été fortes, tellement son corps a reçu de caresses brûlantes et profondes.

— On va la mettre au lit, comme il se doit pour une soumise, entend-elle dans sa demi inconscience.

Le maître pose son fardeau sur le lit, la tourne à plat ventre. Pendant qu’il lui écarte les bras, elle entend la domestique tirer de derrière le lit les sangles qui vont à nouveau lui immobiliser les bras. Elle perçoit tout proche de son oreille le cliquetis des mousquetons qui se clippent pour la retenir prisonnière.

— Je terminerai, tu peux regagner ta cellule !

La domestique quitte la chambre.

— MII, maintenant que tu es à moi, et seul à seule, je vais vérifier au plus profond de toi même ta soumission. Auparavant, c’est d’abord avec le fouet que je veux t’entendre.

Clac, clac, les coups de fouet tombent régulièrement sur ses fesses, projetant MII en avant, se tortillant dans tous les sens pour vainement échapper aux caresses maléfiques. Cependant, ses contorsions, et compte tenu des sexes qui la perforent, la projettent aux tréfonds des plaisirs. Encore, encore des jouissances, mais toujours sans pénétration réelle. Elle en devient complètement folle. Au travers de l’espace laissé libre par le sexe dans sa bouche, elle essaie de crier maladroitement qu’elle veut la queue de son maître, qu’elle veut jouir d’une vraie pénétration. La seule réponse qu’elle reçoit, ce sont les coups de fouet qui lui cuisent les fesses, le dos. Enfin, l’éblouissant supplice s’arrête.

Elle sent les mains de son maître qui lui libèrent la bouche. Elle sent ce sexe complètement mouillé lui passer sur la joue, comme si son maître le faisait intentionnellement. Puis il s’agenouille sur le lit, la prend délicatement par les cheveux et amène sa bouche à sa queue, raide et triomphante.

— Par ce baiser de ta bouche, je vérifie que tu es à moi !

— Ma bouche est dorénavant à vous en toutes circonstances. Maître, laissez-moi sucer votre sexe comme une adorante !

— C’est moi qui décide, moi, tu ne comprends pas ?

Et vlan, il lui claque les fesses de sa main.

MII se délecte de la queue roide qui la pilonne jusqu’au fond du cou. Elle sort, entre, va chercher l’extrémité la plus profonde avant le réflexe vomitif. Elle mouille de sa bouche comme elle mouille de son sexe. Goulue comme la plus goulue qui soit, elle pompe et tente de faire fléchir son maître. Cependant, celui-ci lui bloque le visage et se retire.

— Tu es la plus belle suceuse que l’on peut imaginer, mais tu manques encore d’un certain savoir faire. Ton séjour ici dans le château te sera profitable.

— Merci, Maître, c’est ce que je veux et me donne à vous totalement

— Voyons maintenant comment se porte ton sexe.

Il lui détache le faux sexe de la vulve et commence à le retirer. Il le fait si lentement, en prenant garde de l’exciter davantage, si bien que MII jouit à nouveau, mais cette fois en hurlant de tous ses poumons.

— Merci, Maître, c’est ce que je veux et me donne à vous totalement.

— C’est bien, tu commences à te laisser aller. On va faire de toi une baiseuse incomparable.

— Prenez-moi, Maître !

— Quand comprendras-tu que ce n’est pas toi qui choisis ? dit-il en la claquant encore une fois.

— Je ne peux plus m’en passer ! S’il vous plaît, maître, enfoncez-vous, comme vous me le faites si divinement depuis quelques jours. Je suis à vous, votre soumise, votre esclave de plaisir.

— Demandé comme cela j’y consens ! Il la prend aux hanches, arrache un des deux sexes, et d’un brusque coup des reins, la pénètre au plus profond de sa grotte si humide et coulante.

Le mandrin qui la taraude fait rapidement monter sa jouissance et elle recommence à ânonner son plaisir.

— Baisez-moi ! Plus fort, plus profond, encore, c’est bon, je meurs de plaisir, je jouis comme une folle ! Fouettez-moi, je le mérite parce que je suis une baiseuse. Cela ne s’arrêtera jamais ! Au secours, tenez-moi, je tombe, je tombe.

Et les jouissances s’ajoutent aux jouissances, plus longues, plus fortes, plus folles, qui la laissent sans voix, sans respiration, mais en même temps, elle n’arrête plus de se tortiller, d’aller au devant de la queue qui va chercher au plus profond d’elle ses plaisirs. Comment se fait-il qu’elle ait pu vivre sans cela ?

— Je veux être encore baisée, j’aime couler pour vous, mon maître. Je vous en supplie, n’arrêtez pas de me fendre !

— Tu sais que dorénavant, c’est à moi que tu appartiens, que je peux faire de toi ce que je veux, te retenir ici le temps que je veux, te faire prendre par qui je veux, te soumettre à tous mes caprices, écouter toutes les propositions de mes amies et amis pour te faire ce qui nous plaira d’exiger de toi ?

— Oui maître ! Elle jouit en le prononçant.

Les coups de butoir ne cessent pourtant pas et MII a de plus en plus de peine à savoir où elle en est. Alors que son sexe s’accorde un petit répit, les mouvements de va-et-vient excitent le faux sexe dans son œillet. LIRE LA SUITE

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Commentaires

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dimanche 29 mars 2009 à 11h56 - par  bizber

Voilà un texte qui impressionne par la qualité des détails et par l’érotisme qui se dégage. Vivement la suite
Bizber

vendredi 27 mars 2009 à 11h20

Tout simplement géniale dans le détaiol continué.