Mari ou Maître ?
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Audrey regarde son ventre gonflé qui la taraude ; Carine caresse la chaire distendue.
— Laissez-moi… aller me… soulager… J’ai… maaaaaaal !
Carine se ne laisse pas impressionner, continue de caresser doucement le ventre. Audrey se rebelle, la repousse.
Carine prend le visage d’Audrey qui piétine entre ses mains, la fixe, les yeux dans les yeux :
— J’ai dit quinze minutes…
Elle relâche la figure, la contourne, emprisonne ses poignets d’une main, attrape une serviette, les lie :
— Comme ça je vais être tranquille.
Audrey en profite pour aller vers le siège des toilettes, s’y assied, tente d’expulser le plug en forçant. Rien à faire. Carine la nargue :
— Je l’ai choisi exprès. Impossible que tu réussisses…
Elle s’approche de la jeune femme qui se met à pleurer tant cette torture la perturbe, passe sa main sous les fesses, agite l’anneau serti à la base.
Audrey hurle, car cela augmente son envie de déféquer :
— Non… Nooooooon !... Je vais… faire !
— Tu vois…
Carine cesse la manœuvre. Elle décide que c’est suffisant vu que douze minutes se sont écoulées. Elle tire d’un coup sec, délie les poignets.
Audrey se libère, croit que tout son ventre va passer par son orifice, mais ce n’est qu’une impression.
Carine reste avec elle pendant toute l’opération…
Vingt minutes après qu’un autre lavement lui a été mis, qu’Audrey a rejeté avec de l’eau parfaitement claire, les deux femmes regagnent la chambre.
Alors qu’Audrey va quitter la pièce, Carine fait :
— Tttt… Tttt…
La jeune femme, main sur la poignée de porte, tourne la tête, voit Carine assise sur la chaise à haut dossier droit qui tapote le cuir de son pantalon avec ses mains :
— … Oublierais-tu la fessée de ce matin repoussée ?
Audrey, dont les joues se crispent, demande :
— Maîtresse, ne peut-on pas attendre avant le dîner que je dois préparer ?
Sans répondre directement, Carine dit :
— Je sais… (Audrey pense qu’elle va échapper à la fessée), Mais je crois que ton derrière mérite mieux. Reviens ici…
Audrey lâche la poignée de porte, rebrousse chemin, s’approche de Carine, se place entre les jambes écartées. Les petites mains fines caressent doucement sa croupe nue. Audrey baisse la tête, croise le regard de sa Maîtresse :
— … ton mari me paie afin que je fesse ton cul, que je t’apprenne à être obéissante…
Les doigts se frayent un passage entre les deux globes, tapotent l’anneau peureusement serré :
— … que je rende ce passage plus accessible. Ça, je sais faire : tu en as déjà eu la preuve.
Les petites mains lâchent le cul, deviennent plus fortes pour basculer Audrey à plat ventre sur les cuisses en cuir.
Un bras ceinture le corps, la petite main caresse le derrière nu afin qu’il ne reste pas crispé. Audrey se détend, apprécie le manège de cette douce dextre. Elle en oublie le motif de sa position. Mais Maîtresse Carine, dont elle a déjà pu connaître les différentes pratiques des mains, va le lui rappeler… LIRE LA SUITE
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