Histoire de Babette

Chapitre 3 et 4
dimanche 16 mai 2021
par  Esteban
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Elle épilait maintenant son sexe avec précision, ses grandes lèvres dépassaient longuement de sa vulve, elle dormait dans l’écurie, sur la paille, sous le ventre de son cheval, souvent nue. Sa sœur venait lui rendre visite le soir et la regardait sucer de toutes les forces de sa jeune bouche le mandrin démesuré de son étalon. Le cheval bandait de plus en plus au contact de Babette. Elle en était fière. Devenait-elle un peu plus animale de semaine en semaine ?
Francine se rendit en ville, dans un magasin spécialisé, où elle demanda à voir les godes les plus gros existant sur le marché. L’homme du magasin, adipeux et vulgaire, connaissait bien Francine. Il ne cessait de reluquer les cuisses de sa jeune cliente. Francine était assise sur le siège lui faisant face et, comme à son habitude, ne cachait pas grand-chose de ses jambes. Aux premiers articles présentés, elle fit la moue et s’inquiéta de ce que rien de plus gros n’existât. L’homme, que la situation excitait de plus en plus, avait sorti sa queue et, derrière son comptoir, se branlait de la façon la plus visible possible. La jeune fille n’était pas dupe et peu argentée. Elle demanda à voir des modèles de la taille au-dessus en précisant :
− Ce n’est pas pour moi, mais pour ma sœur. Si le prix en est trop élevé, je vous paierai en nature. Ce que vous avez dans la main, quant à moi, me suffit largement.
Faisant le tour du comptoir, elle emboucha la queue du bonhomme et le suça jusqu’à lui tirer tout son jus, avala goulûment les dernières gouttes et retourna s’asseoir sur le fauteuil en croisant encore plus haut les jambes. Conquis, l’homme revint de l’arrière-boutique avec un pieu de latex absolument disproportionné et lui en fit cadeau.
En fin d’après-midi Francine fit venir Babette dans sa chambre et lui présenta l’engin.
− Mets-toi à quatre pattes, ma petite salope de chienne et viens voir ce que j’ai décidé d’offrir à ton gros cul de pouliche.
Babette regarda le vit artificiel démesuré, mais curieusement n’eut pas d’appréhension. Elle sentait ses entrailles prêtes à recevoir cette offrande. Elle savait qu’elle devait en passer par là pour conquérir une animalité complète. Sa seule angoisse était qu’elle devait mouiller assez pour recevoir ce monumental olisbos dans sa chair. Aussi bien dans son sexe que dans son anus. Francine lui ordonna de se déshabiller complètement, de s’accroupir et de lécher le sexe de caoutchouc sur tout le pourtour. La bouche de Babette ne pouvait enfourner l’engin tant sa taille était énorme. Tout en léchant avec amour ce pieu cyclopéen, elle s’était assise sur ses talons, elle avait maintenant les cuisses grandes écartées et les lèvres de son sexe ouvertes et palpitantes. Francine s’en aperçut et glissa sa main droite dans la fente béante.
− Tu es trempée salope ! Ta moule coule son foutre comme une fontaine de place publique. Rien n’est jamais assez gros pour te faire enfiler. Je suis même certaine que tu n’as jamais senti la queue d’un homme ni dans ton ventre ni dans ton cul. Il te faut un âne ou un cerf. Et bien je veux te voir prendre ce gode-là dès maintenant. Prépare tes boyaux de putain de zoo.
Alors, à quatre pattes, Babette se dirigea vers l’écurie. Les cailloux du jardin ne heurtaient plus ni ses genoux ni ses mains. Le discours de sa sœur l’avait rassurée, elle se sentait prête à prendre gros, très gros, plus gros que ce qu’elle pouvait imaginer. Ses chairs ne seraient jamais assez dilatées. Son sexe était trempé d’une mouille abondante qu’il avait sécrétée de lui-même en s’apprêtant à recevoir l’engin tant désiré, son anus était tout autant humide. Elle connaissait bien cette particularité qu’elle avait de mouiller aussi par le derrière quand Saltimbanque ébauchait une érection qu’elle prenait pour elle.
Dans l’écurie Francine fit sortir Saltimbanque dans la cour et s’approcha de Babette, toujours à quatre pattes, l’énorme engin à la main. LIRE LA SUITE


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