Les aventures de Gina

Le Valet
vendredi 17 avril 2020
par  kingliart
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Episode 1 - Le Valet

Je dis à Gina de rester dans la chambre pendant que j’allais faire une ou deux courses. Dans la chambre d’hôtel il y avait un porte-manteau en bois, de ceux qu’on appelle des « valets », pour y poser sa veste et son pantalon sans les froisser. Je prie Gina de se mettre torse nue face au valet. Je commence méthodiquement à la lier au valet.

D’abord, je lui attache les poignets des deux côtés des « épaules » du valet. Puis, j’attache sa cheville droite en maintenant les cordes assez lâches et à une distance égale à la longueur de ses pieds, droite et à gauche du repose pied du valet.
 
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Ensuite, je lui attache la cheville gauche de manière identique. En utilisant beaucoup de corde, je consolide les attaches devenues ainsi immobiles. Gina commence à s’inquiéter.

Je fais de même avec ses genoux en cherchant à maintenir les deux genoux à distance égale. Je passe une autre corde au dessus des genoux ; cela exerce une forte pression à la fois sur les genoux et sur l’intérieur des cuisses. Son corps est ainsi devenu totalement solidaire du valet. Elle pourrait se déplacer, évidemment, en soulevant le valet par exemple pour se rapprocher du lit. D’ailleurs, en lui mettant un bâillon rond dans la bouche ce qui l’empêche d’exprimer clairement son opposition, je lui recommande de le faire.

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A mon retour, elle est effectivement sur le lit, sur le dos, en larmes. Le valet est au-dessus d’elle et je ris en la voyant ainsi :
— Tu me fais des infidélités avec les meubles maintenant ?

Elle avait essayé de se remettre debout mais s’était retrouvée couchée sur le dos, le « valet » sur elle, ses bras et ses jambes en l’ai, comme une tortue renversée, incapable de se redresser. Son souffle est court, angoissé.

Je la console en la caressant. Elle finit alors par respirer normalement. Ses épaules froides, le corps raide, je la rassure et le relève sans la détacher, et la place debout au milieu de la pièce, toujours étroitement « tenue » par le valet. Ses yeux m’implorent de la libérer. Son bâillon l’mpêche de s’exprimer.

Je lui réchauffe les épaules par des frottements. Elle ferme les yeux d’aise et se laisse masser et réchauffer, en gémissant de plaisir derrière son bâillon. Une fois calmée, je lui retire son bâillon et elle garde la bouche ouverte car elle avait les mâchoires ankylosées. J’en profite pour l’embrasser et je m’écarte pour mettre mes doigts dans sa bouche, que je lui fait sucer et je m’amuse en faisant rentrer et sortir lentement mes doigts. Au début elle tente de repousser mon intrusion, mais comme j’insiste elle se laisse faire puis, de nouveau, se met à protester.

Je lui annonce alors que ce soir je n’allais pas la libérer puisque je n’obtenais pas ce que je voulais d’elle..... Elle me regarde, effarée :
— Mais tu ne peut pas me garder ainsi, toute la nuit…. » Je réponds que cela dépendrait de mon sommeil, de mon envie plus tard de la détacher.

Elle se remet à pleurnicher et à me supplier de ne pas le faire. Je lui réponds que cela n’allait pas arranger ses affaires de pleurnicher ainsi, que j’allais lui remettre le bâillon. Voulait-elle passer toute la nuit avec le bâillon en place ? Elle se tait, résignée.

— Un valet sert à cela, lui dis-je en posant ma veste sur ses épaules. Puis je pose mon pantalon soigneusement devant elle, sur la barre contre son ventre.
— Je pense que tu vas faire le possible pour soigner mes affaires que je n’aimerai pas porter froissées demain matin.

Affolée par la perspective d’une nuit debout et immobile, elle se met à pleurer de nouveau. Je l’embrasse, lui caresse ses lèvres, immédiatement après je passe ma main entre les cuisses :
— J’aime bien toucher ton sexe après avoir caressé tes lèvres et ta bouche... et puis, ça te rappelle que tes orifices sont bien à ma disposition. … N’est-ce pas ?
Elle secoue sa tête.
— Et pour se soir, je ne te mettrais pas de bâillon : juste un peu de bande collante, dis-je en collant ses lèvres impuissantes.

Je me déshabille et en éteignant la lumière, je l’entends protester au travers de son bâillon en plastique et je la vois, le corps tendu, les yeux angoissés, me supplier de son regard…

Je m’endors alors que je n’ai qu’une seule envie, la prendre près de moi.


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Commentaires

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lundi 22 janvier 2024 à 08h14 - par  Henic

Serait-ce la seule aventure de Gina ?
Il n’en apparaît en tout cas pas d’autre dans la zone abonnés. C’est dommage : cette idée de valet était pour le moins originale, à défaut d’être confortable pour la pauvre Gina...