3 - Julie

3° et 4° épisode
dimanche 6 avril 2008
par  Frédéric
popularité : 1%
5 votes

Episode 3

Julie monte dans la voiture de la femme, une New beetle décapotable verte toute neuve. La femme démarre et quitte la place de parking à vive allure. Elle arrive au bout de la rue, tourne à droite puis s’engage sur les boulevards, la circulation et dense à cette heure de la soirée et la voiture se faufile entre les autos avec dextérité. Les deux femmes restent silencieuses, Julie pense qu’elle fait peut-être une bêtise, mais les souvenirs de ses jouissances lui reviennent en mémoire. Elle est sortie de ses rêves par la voix autoritaire de la femme qui lui dit.

— Remonte ta robe, je veux voir le haut de tes jambes.

Julie soulève ses fesses et repousse sa robe en arrière, le cuir doux et tiède du siège lui donne une impression de bien être. La voiture avance toujours, Julie regarde les autres autos passer à cote d’elle. Elle sait que personne ne peut voir son sexe et cela la réconforte. Un feu passe au rouge et la voiture stoppe. La femme met sa main entre les cuisses de Julie et remonte jusqu’au sexe. Une voiture s’arrête du coté de Julie et l’homme qui la conduit regarde Julie et sa maîtresse, il leur sourit. Elles ne lui répondent pas et la femme dit. :

— Essarte-toi que je sente bien ton sexe.

Julie obtempère elle sait que l’homme peut voir son intimité et cela l’excite, un doigt glisse entre ses lèvres, pénétrant doucement son sexe humide. Il caresse l’entrée du vagin, Julie ferme les yeux et apprécie le massage. Après un court instant le doigt se retire et la femme dit.

— Tu mouilles déjà, mon doigt et trempée, tiens suce-le.

Elle présente son majeur sous le nez de Julie qui le touche du bout de la langue. Le goût de son sexe ne lui déplaît plus. Le chauffeur qui a compris la situation klaxonne, la femme le regarde et lui sourit et dit à Julie :

— Regarde, tu as un admirateur, sourit-lui.

La femme appuie sur un bouton et la vitre du coté de Julie se baisse, l’homme voyant cela en fait de autant. Julie gênée lui sourit alors l’homme lui dit :

— Je vous trouve très belle Mademoiselle, je suis photographe et je cherche des modèles, prenez ma carte si vous êtes intéressée, et il tend à Julie une carte de visite mais la femme plus prompte la prend avant elle et le remercie. Le feu passe au vert et la voiture du photographe disparaît dans le flot de la circulation. La femme prend le bristol, le met dans son sac puis démarre.

— C’est très bien ma chérie tu commence à devenir une bonne petite soumise, dit la femme

Le reste de la route se fait en silence. Elles arrivent sur une grande place bordée d’arbres centenaires, la femme trouve rapidement une place et se gare. Elles quittent la voiture et commencent à traverser le parc qui se trouve au milieu de la place. Julie sent l’air frais sur son sexe nue, elle trouve cela très agréable et frissonne, encore des sensations nouvelles pour elle qui n’aurait jamais oser se promener nue sous une robe auparavant. Elles marchent cote à cote sur une allée borée d’arbustes, des passants les regardent surtout Julie qui avec sa robe presque transparente ne cache presque rien de son anatomie, à chaque pas Julie sent l’excitation envahir son bas ventre, la femme passe sa main sous la robe en la soulevant, un clochard assit sur un banc voie les longues jambes et le bas des fesses blanches de Julie et les siffle, impassible elles continuent leur marche, la femme soulève un peu plus la robe, dévoilant ainsi les deux fesses rondes de Julie qui par réflexe essaie de rabaisser le tissu.

— Que fais tu Julie ? Enlève tes mains n’oublie pas que tu me dois l’obéissance ? lui dit la femme

Julie lâche la robe.

— Tu n’as pas bien compris quand je t’ai dit au salon que tu étais à moi, alors je vais te punir, suis-moi.

Et elles font demi tour. A une trentaine de mètres elles voient l’homme siffleur toujours assis sur le banc en train de boire au goulot d’une bouteille de rouge. Julie frémit elle vient de comprendre que sa maîtresse va l’exhiber devant lui. En effet une fois à cote du clochard elle lui dit.

— Vous avez aime tout à l’heure ?

— Oui votre amie à un très beau cul ? dit-il en essuyant ses mains sales sur ses pantalons d’une couleur noire de grasse

— Julie remontre tes fesses au monsieur.

Apeurée, elle regarde autour d’elle pour voir si quelqu’un arrive, le parc est désert, puis se retourne et soulève doucement sa robe devant l’inconnu qui satisfait regarde avec intention le cul blanc. La situation excite Julie, la voilà dos à un inconnu qui lui matte son petit trou et sa chatte

— Recule Julie qu’il puisse te toucher.

Elle fait deux pas en arrière et elle sent deux mains rugueuses, sales aux ongles noirs la caresser. Elle frémit. Les doigts parcourent sa croupe passant de temps en temps entrent ses fesses, allant jusqu’à toucher son anus et son sexe, elle serre les jambes pour éviter cette fouille. Alors la femme lui demande de se retourner pour que l’homme puisse mieux voir son sexe, Julie se retourne et montre son sexe imberbe au clodo, un doigt la pénètre, elle se sent humiliée, l’homme excité comme un fou retire son doigt, ouvre sa braguette et sort son sexe durci qui sent une odeur de fauve . Julie s’éloigne incommodée par l’odeur forte, en réajustant sa robe. La femme la regarde et lui dit.

— Rapproche toi et écarte bien tes jambes qu’il puisse bien te retoucher.

Julie récalcitrante se tourne vers elle, pour lui dire non mais la femme lui envoie un regard noir en fronçant les sourcils pour la faire obéir, Julie au bord des larmes obéit. Elle soulève sa robe et se rapproche du clochard, il continue de se masturber d’une main, il passe son autre main derrière la croupe de Julie pour la forcer à se rapprocher plus. Elle est debout entre ses jambes. Julie sent la toile rugueuse du pantalon sale du clodo irriter la peau douce de ses jambes, le gland rouge brique frappe sa cuisse droite, l’odeur donne la nausée à Julie.

Il accélère ces va et vient, les doigts de la main encore sur les fesses recommencent leurs manèges vicieux.les caresses la dégoûte mais elle ne bouge plus, attendant la fin de ce supplice

Après un court moment elle entend l’homme rugir comme une bête et des giclées de liquide chaud se collent sur ses jambes. Julie ouvre les yeux et voie le sperme couler sur sa peau, elle manque de se trouver mal elle qui n’aime pas le sperme même celui de son homme, la voilà couverte de ce liquide odorant et gluant. Elle en a le haut des cuisses recouvert, le liquide blanchâtre descend doucement laissant derrière lui une traînée opaque sur sa peau claire, l’homme comme un fou frotte son sexe sur les cuisses comme pour mieux étaler le sperme, puis une fois le sexe redevenu au repos, il attrape sa bouteille et en boit une longue gorgée, alors la femme dit à Julie.

— Tu as été parfaite mon amour allez viens on s’en va.

Julie ouvre son sac et en sort des mouchoirs en papier, elle s’essuie les jambes pendant que l’homme heureux referme sa braguette et s’allonge sur le banc.

Julie se sent sale et pleure, elle jette le papier plein de liquide gluant le plus loin possible.

La femme la prend par la taille et pose un baiser dans le cou de Julie pour la réconforter et lui dit.

— Tu es adorable c’est comme cela que je te veux.

Julie quelque peu apaisée prend son amie par la taille et lui dit.

— Je n’ai pas aimé être montrée touchée et être souillée par ce monstre aviné.

— Cela fait parti de ton dressage pour devenir une bonne soumise il faudra t’habituer à parfois subir des moments durs ma petite docile, lui répond la femme en la serrant un peu plus.

Elles traversent le parc, puis arpentent une longue rue, Julie tenant toujours son amie par la taille se trouve bien et elle est excitée de se savoir la soumise d’un soir, la femme lâche Julie et pousse une grande porte en bois, elles entrent dans une cour intérieure d’une vielle immeuble, une fontaine d’où jaillit de l’eau claire orne le milieu de la cour ; Julie maintenant un peu en retrait suit sa maîtresse, elles se dirigent vers une autre porte au fond de la cour pavée. La femme l’ouvre et elles entrent dans un grand hall, les personnes déjà présentes se retournent pour voir les deux nouvelles invitées. LIRE LA SUITE

L’intégralité des épisode 3 et 4 est disponible pur les abonnés de RdF
2° épisode ............................................................. SUITE ???
Vous trouverez le suite de ce récit imaginée par FRANKIE ICI

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Commentaires

Logo de Marsajean
dimanche 4 janvier 2015 à 11h46 - par  Marsajean

Bonjour et bonne année à tous,
Les commentaires précédents me font réagir. Voila un texte publié en 2008 et le premier commentaire apparait en 2012, c’est en 2008 que l’auteur aurait du avoir un encouragement à poursuivre son récit.
Je peux comprendre qu’il y a de nouveau lecteur mais, ceux de 2008 aurait pu laisser un petit « J’aime » pour lui faire comprendre que son histoire était appréciée.
Sous mes récits, il y a très peu de commentaires, je ne m’en formalise pas parce que je laisse mon adresse mail et que j’ai parfois des retours.
Les administrateurs du site devraient peut-être penser à mettre une petit bouton « J’aime ».
Cordialement
Jean :)

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dimanche 4 janvier 2015 à 09h44 - par  Rêves de femme

Comme vous, je regrette que, trop souvent et en dépit de mes demandes, les récits restent en plan.

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dimanche 4 janvier 2015 à 08h58 - par  Leonard

Comme le commentaire précédent, c’est dommage que celà finisse en « cul de Sac ».

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mardi 20 novembre 2012 à 13h59 - par  Henic

Dommage qu’il manque la suite : on reste sur sa faim...

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