2- Ma jeunesse à Rambouillet ( merci MYSTERYOO) suite

dimanche 1er février 2015
par  emmanuelle batelle
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Il est parti saboter la voiture pour que la belle se retrouve coincée.
J’ai vraiment l’air d’une vulgaire putain dans cet accoutrement : jupette écossaise plissée, t-shirt transparent, et mes escarpins à haut talons. Je n’ai gardé que mon slip transparent Eres mauve, le soutient gorge étant finalement trop humide. Mes petits tétons pointent à travers le tissu. Quand je me suis vue dans le miroir de la salle de bain, j’ai remarqué à quel point je pouvais être belle. Je sais l’effet que je fais sur les hommes, mais évidemment dans cette tenue... Cette situation m’excite finalement. Et ce garagiste a l’air si inoffensif... Décidément, mon petit minou n’est pas prêt de s’assécher aujourd’hui !
La jeune fille a choisi sciemment ces vêtements : c’est la tenue que son père et ses frères préfèrent utiliser avec leurs captives. Elle sait exactement ce que je vais subir dans quelques heures. Elle va même y participer. C’est elle la plus perverse de la famille. A cause de sa laideur, elle hait les belles femmes comme moi… et comme sa mère !
J’entre dans le salon et là... toute la famille de gogols est réunie pour m’accueillir : 
le père, vieux cochon ventru, un sourire vicieux aux lèvres, le cadet que j’ai croisé tout à l’heure et qui semble très excité, 2 jeunes adultes mâles que je n’avais pas encore vu. Pourtant l’un des 2 me dit quelque chose... La jeune boudin derrière moi termine la fratrie. Il manque pourtant la mère...
Sans doute occupée ! Ils me dévisagent tous avec des regards lubriques. En fait, ils ne font pas que me dévisager, ils inspectent avec minutie chaque centimètre carré de mon anatomie, s’attardant qui sur mes seins, qui sur mon ventre, qui sur mes jambes, qui sur mes pieds en fonction des goûts et des fantasmes de chacun.
Malgré ce déguisement de catin et ces regards perçants, je garde ma dignité de bourgeoise.
Je toise ces campagnards avec dédain. L’atmosphère est cependant pesante. On entend simplement le tic tac de la vieille horloge. Je romps le silence en disant avec mon air hautain que je veux récupérer mon sac à main que j’ai oublié dans la voiture.
Le vieux m’accompagne, suivi par toute la famille.
Arrivée à la voiture ma Healey, je vois le sac sur le siège passager, là où je l’avais laissé.
Je suis tellement pressée de le récupérer que je me penche directement par dessus la portière, découvrant mon joli petit cul, mon slip ne couvrant pas grand chose. L’excitation des mâles et de la petite femelle monte d’un cran. Ils sont à bout mais n’osent pas encore intervenir. C’est le mâle dominant, le vieux père qui déclenchera la furie et tous le savent. Je comprends l’effet que je leur ai fait involontairement. Ca me plait et j’ai une idée un peu perverse mais ça me plait de jouer avec cette famille de dégénérés. Et puis à côté de ma voiture, je me sens un peu plus en sécurité.
J’explique alors au garagiste la restauration que j’avais envisagé. J’aimerais un devis. J’ouvre le capot, demande d’inspecter le moteur avec lui, pour ne pas avoir de surprises...
Nous nous penchons tous 2 de chaque côté du véhicule. J’ai pris soin de me placer dos aux enfants. Ils ont à nouveau une magnifique vue sur mon petit cul. Je m’amuse à le remuer, 
à écarter mes jambes... De l’autre côté, le garagiste a le doit à un autre spectacle dont il ne perd pas une miette
Je me penche pour ouvrir au maximum le col bien large de mon t-shirt. Le garagiste peut maintenant admirer mes jolies mamelles de bourgeoise. Je remue le buste pour les faire s’agiter. L’effet est immédiat, il bande comme un âne et n’arrive plus à parler.
Mon sexe et mes seins gonflent également. Je suis surprise et électrisée par mon audace, par la scène... Ma chatte suinte... j’ai envie de me caresser... de me toucher...
Mon esprit est embrumé, je n’arrive plus à raisonner, je n’arrive plus à ME raisonner.
Mon cerveau primaire est en train de prendre le dessus sur mon cortex !
Et le désir monte... monte... mooooonte !!! Je ne réagis plus que par réflexes...
Toute mon éducation, mes bonnes manière bourgeoises sont en train de s’envoler et ça m’affole. J’aimerais que ces monstres me prennent là, tout de suite sur le capot de la voiture
comme une vulgaire pute de l’est démontée par un routier dans son camion.
L’aboiement des 2 mâtins de Naples me sort de ma torpeur. Je me reprends, je me ressaisis et finalement je me relève. ça y est, mon éducation reprend le dessus. Je suis à nouveau en territoire connu : Ouf ! Ce n’est pas passé très loin ! Je reprends mon air hautain.
Et je demande au garagiste :
— Pourriez-vous me faire un devis et me dire quand vous pourriez prendre en charge mon véhicule ? J’ai d’ailleurs peur qu’il ne tombe en panne, je préfèrerais que vous veniez l’enlever directement dans mon parking. C’est possible ?
Voici mon numéro de téléphone (avec un frémissement dans le dos, non en plein ventre) , appelez-moi dès que vous pouvez.
Dehors, la pluie s’est arrêtée et il est temps de rentrer. Le nuit commence à tomber.
Mon mari n’est pas là pour la semaine, je suis donc tranquille ce soir mais je préfère quitter ce lieu qui me donne la chaire de poule. J’ai ressenti trop d’émotions pour aujourd’hui. Vous m’apporterez ma robe la prochaine fois et je vous rendrai les vôtres ! Merci pour tout !(et surtout au revoir et à jamais !).
Je remonte dans mon Hailey, met la clé de contact. J’essaye de démarrer mais rien ! NON, pas maintenant, pas ici !!!
Le garagiste accourt et me dit avec sa grosse voix, un sourire en coin :

— Vous z’inquiétez pas ma p’tite dame. Z’êtes dans un garage ici, on va vous réparer ça !
Il appelle son ainé pour l’aider, celui qui me disait quelque chose tout à l’heure. Il s’approche et maintenant je le reconnais… MON DIEU, LA VIDEO !!!
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