L’éducation de Kate
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La soirée d’hier s’est passée très tranquillement devant une émission de télévision qui doit plaire à Maud, mais que je trouve stupide et comme mon avis ne lui importe pas du tout…
Elle, bien assise sur le canapé, Audrey et moi, assises, le cul par terre, les plantes des pieds jointes pour maintenir nos cuisses écartées. Disponibles toutes les deux à ses caresses et à ses exigences.
Coucher à 22 heures, puis le noir complet. Sur ma paillasse et attachée par le pied, j’ai eu droit à une couverture, rugueuse, mais une couverture chaude quand même. Comme ça, j’ai pu faire une nuit complète sans cauchemar ni rêve aucuns.
Quand Audrey me réveille à six heures le lendemain matin, je suis reposée, encore moulue des épreuves de la veille, mais reposée quand même. Prête à continuer une éducation qui devient de plus en plus difficile pour moi. Non pas que les actions soient compliquées en soi, mais c’est qu’elles heurtent de plus en plus mon éducation bourgeoise et mes principes d’antan qui ne sont pas toujours faciles à dépasser dans certaines situations. Avant une action, Audrey m’avertit toujours pour que je sache ce que je peux éventuellement refuser en tant que soumise avec Thomas, mais que je dois subir sans protester en tant qu’esclave de Madame. Malgré ces avertissements, je ne peux souvent m’empêcher d’hésiter et parfois même de tenter de refuser et à coup sûr mes reculades et mes hésitations provoquent des punitions qui s’enchaînent les unes aux autres. Il me faut apprendre à les encaisser sans presque broncher et maintenant, j’arrive à les encaisser sans crier, juste quelques longs gémissements quand les coups sont trop appuyés.
Nouveauté du début de cette semaine, plus de rasage exigé de ma minette. Si bien que les poils qui repoussent bien drus, commencent à se faire sentir en piquant constamment mon entrejambe, très irrité à la longue. Audrey ne m’a pas donné d’explications.
Juste bonne à obéir, c’est tout. Alors, pourquoi m’expliquer, hein ?
Le même rythme tous les matins, exercices physiques, puis exercices pratiques encore et encore.
À midi, pause déjeuner. Puis repos en attendant le retour de Maud.
Chaque après-midi, selon son humeur, Audrey et moi avons droit à bien des moments très difficiles ou seulement amusants, bien que limites, enfin amusants pour Maud. Toujours indécents et humiliants pour nous deux, surtout pour moi qui suis sa cible préférée. Pas encore habituée aux exigences de Madame, à l’extérieur, j’ai beaucoup de mal à me plier à ses demandes.
Plutôt que de raconter toujours les mêmes choses, je vais seulement décrire quelques après-midis. LIRE LA SUITE
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