Fairy érotique (7)

Chapitres 13 à Fin
samedi 14 août 2004
par  aramis
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13. La rencontre

— Ça valait bien le coup de s’habiller en Peter Pan pour se retrouver aussi vite à poil ! marmonna Hervé. Ils étaient Cécile et lui nus à nouveau, à genoux, entrain d’attendre à un carrefour.
— C’est le rituel pour être emporté par Gelfen, quoique Florence ne semble pas en avoir eu besoin. Mais ce n’est que comme ça que l’on peut la retrouver.
Soudain le vent se mit mugir. Des éclairs déchirèrent le ciel et le tonnerre gronda.
— Je crois qu’ils arrivent, dit Cécile. Souviens-toi, quoiqu’ils me fassent tu ne devras pas intervenir. Ni moi pour toi. N’oublie pas qu’on est censé rechercher l’esclavage.
Deux chevaux noirs surgirent, galopant comme au ralenti, sans toucher le sol. Un homme et une femme les montaient, vêtus de noir, la peau sombre et les cheveux blancs. Ils arrêtèrent leurs montures et mirent pied à terre. La femme tenait dans ses bras un petit chien blanc, en laisse, comme les bourgeoises parisiennes leur fox ou leur pékinois.
— Ce sont donc les deux autres enfants d’Adam ! Dit l’homme. Les palais des elfes de lumières sont donc si ennuyeux que vous vous livrez déjà à nous ?
Il s’approcha de Cécile.
— Toi ! Que cherches-tu ?
— Sire, je veux être une esclave. Je veux que vous disposiez de mon corps, vous être entièrement soumise. Que ma bouche, ma chatte et mon cul vous appartiennent, selon votre bon plaisir.
Elle n’avait pas à se forcer pour réciter un tel discours. Cécile, très active dans sa sexualité, rêvait quelquefois d’être une poupée sexuelle livrée à son maître, sans volonté propre. La situation présente la faisait frémir et mouiller en secret.
— Tu parles trop ! s’écria Gelfen en lui introduisant son membre dans la bouche.
Elle se mit à le sucer fébrilement.
— Te pompe-t-elle bien, mon frère ? demanda Vorzia.
— Un peu vite à mon goût. Cette putain est trop avide de ma queue. Elle ne s’applique pas.
Il brandit un fouet qui cingla le dos et le cul de Cécile. Sans pouvoir crier, elle ralentit son mouvement. Elle avait mal et était vexée, elle qu’on félicitait d’habitude pour son habileté à faire des pipes. La queue lui envahissait la bouche, la main de l’elfe, fermée sur ses cheveux, dirigeait le mouvement. Elle chercha à faire de son mieux. Il la frappa à nouveau.
— Comme ça, oui ! Plus vite, maintenant ! Caresse mes couilles !
Les deux prunes gonflées dans sa main, elle continua le manège. Elle les sentait bouger entre ses doigts, elle prenait de plus en plus de plaisir à ce qu’elle faisait et même au côté humiliant de la situation… LIRE LA SUITE


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