Ma femme Ma soumise

vendredi 22 février 2013
par juju48
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Rentrant un soir du travail, je trouvai ma femme nue avec un homme ! Oh surprise, moi qui croyais la combler. Elle ne me vit pas et je me gardai bien de lui dire que je l’avais surprise.

Le lendemain, après mon travail, je passai dans un sex shop où je fis plusieurs emplettes. Je rentrai chez moi et fis comme si de rien n’était. Par contre, le soir, alors que nous étions sur le canapé en train de regarder la télé, je lui dis innocemment :

— Alors hier c’était mieux avec lui qu’avec moi ?

Elle me regarda et ne sut quoi répondre ! Je lui mis alors le marché en main : ou elle devenait ma soumise ou je divorçais. Me regardant avec des larmes dans les yeux, elle me dit qu’en aucun cas, elle ne voulait divorcer et qu’elle acceptait de m’être soumise.

— Attention, lui dis-je ta situation va changer, de gentille petite femme au foyer, tu vas devenir mon esclave !

— J’en suis consciente et au fond de moi j’ai toujours eu envie d’être une femme soumise.

— Bien, maintenant au lit, nue et ton contrat démarre demain matin.

Sans un mot, elle se leva et partit. Environ une heure plus tard, j’allai me coucher et elle dormait déjà. Elle était bien nue et je fus satisfait de mon premier ordre.

Le lendemain matin, alors qu’elle dormait encore, je sortis du sac caché sous le lit une paire de menottes. J’en fixai une à son poignet et l’autre à la tête de lit. Nous étions un vendredi et je terminais à midi. Il était 8 h, donc elle ne resterait pas entravée très longtemps. Je finis de me préparer et partis au travail.

Je rentrai chez moi vers 12 h 30 et bien entendu je me rendis directement dans la chambre. Ma femme était bien sur réveillée, ses yeux noirs de colère !

— Mais ça ne vas pas la tête !!!

— silence esclave, désormais, c’est moi qui décide ! Je vais te détacher et à partir de maintenant dans la maison, tu seras toujours nue.

— Mais si quelqu’un vient ? Je ne peux pas recevoir à poil !

— Tu es désormais une esclave, tu assumes.

Elle partit sans demander son reste préparer à manger. Le repas se passa normalement, mis à part qu’elle déjeunât nue et dut bien sur me servir ! Je sortis après le repas et ne rentrais que vers 16 h. Elle était sur le canapé, vêtue d’une jolie robe à bretelles

— Tu fais quoi habillée ? J’ai dit désormais ici c’est à poil ! Allez tout de suite.

Elle s’exécuta sans un mot et entièrement nue, me regarda d’un air peureux. Il ne fallait surtout pas baisser la garde et bien lui faire comprendre ce qu’était désormais sa condition. Pour aujourd’hui, j’avais prévu de lui remplir l’anus avec un plug de taille relativement modeste (20 x 5) mais qui serait humiliant pour elle car elle n’aimait pas la sodomie.

— Esclave vient ici et à quatre pattes sur le tapis !

— Pourquoi faire ?

— Et d’une je ne t’ai pas autorisé à poser de questions et de deux, tu ne dois m’appeler que Maitre et me vouvoyer. Suis-je assez clair ?

— Oui Maitre

— Alors sur le tapis tout de suite !

Une fois qu’elle fut en position, je me plaçai derrière elle et lui écartant les fesses je crachai dessus et ensuite, j’en fis autant sur le plug. Elle comprit enfin ce qui allait se passer et se mit à serrer son anneau culier. D’une tape sèche, je lui dis de cesser ce « jeu » et de pousser comme pour déféquer.

Voyant son anus se détendre, je profitais pour enfoncer l’objet dans son fondement. Ce ne fut pas chose aisée mais j’obtins gain de cause et c’est ainsi que ma femme se retrouva avec l’anus rempli. Par pur sadisme, le plug ayant un anneau, j’y accrochais une clochette et lui dis :

— Tu vois grâce à cette clochette, je saurai toujours ou tu es !

A suivre …

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