J’obéis à mon mari

9 et Epilogue
jeudi 15 août 2019
par  Birgitt
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La madame me fit entrer dans son bureau en me disant qu’elle allait me mettre le collier. Sans réfléchir, je lui répondis bêtement oui.
En retour, elle me fila une gifle qui me cingla la joue gauche.
— - Ici, tu me dis toujours madame ! C’est oui madame, s’il vous plaît madame, etc... Tu as compris ?
Je répondis oui madame, j’ai compris. Elle s’assit à son bureau, je restais nue devant elle :
—  Quand tu es devant moi, nue, c’est avec les bras croisés dans le dos et les jambes écartées !
—  Oui madame, et je m’exécutais.
—  Et tiens-toi plus cambrée, que tes seins soient mis en valeur ! ». J’obéis.
Elle mit devant elle un collier de chienne, noir d’environ 2 cms de largeur, et fixa sur ses petites croches des lettres. Quand elle eut fini, elle se releva, me montra le collier puis le mit à mon cou. Dans le miroir de son bureau, je lisais à l’envers l’inscription du collier : LASSIE.
—  C’est comme cela que tu seras appelée ici, oublie Birgitt car maintenant tu seras là pour servir, et te faire couvrir, et donner du plaisir à nos hôtes ».
Ensuite, madame me dit qu’elle me faisait faire le tour du château : nous montâmes par l’escalier de service au 3° étage, qui était celui d’un vaste dortoir composé d’une dizaine de lits superposés. « C’est là que tu dormiras » ; effectivement, des filles dormaient ou lisaient des revues allongées sur leur lit, nues. En voyant madame, celles qui lisaient se levèrent et se mirent devant leur lit, bras dans le dos et jambes écartées et lui dirent en chœur « bonjour madame ». Je vis que toutes portaient un collier identique au mien.
—  Voilà une nouvelle qui commence demain dit-elle en me désignant.
Au bout de ce dortoir, il y avait 3 WC à la turque, sans porte ni séparation ; sur l’un d’eux une fille pissait et dit elle aussi « bonjour madame », qui s’arrêta un moment pour la regarder faire. La fille écarta un peu plus ses jambes pliées. 5 pommeaux de douche faisaient suite. Tu vois, Lassie, vous avez ici tout le confort qu’il vous faut me dit « madame ».
Nous redescendîmes d’un étage, occupé par une vingtaine de chambres :
—  Voilà les lieux de travail de nos pensionnaires, j’espère que tu en seras l’un des meilleurs éléments ! Une fois par semaine, tu passeras l’aspirateur le matin dans toutes ces chambres et fera la poussière, je tiens à ce que ce soient vous toutes qui mainteniez ces lieux dans un état irréprochable. D’ailleurs celle qui fait mal ce travail est punie, tu verras où ensuite ».
Au RDC, nous passâmes d’abord dans la cuisine où une femme de forte corpulence cuisinait. Deux filles nues l’aidaient, l’une épluchait des patates, l’autre lavait des plats dans l’évier.
—  Toi aussi, un jour par semaine tu viendras aider notre cuisinière, tu feras les taches quelle te demandera de faire. Si tu les fais mal, elle pourra te donner des coups de martinet.
La cuisinière arrêta un moment son activité pour me regarder, des pieds à la tête, sans faire de commentaire. Une grande table occupait le reste de l’espace avec une dizaine de chaises autour :
—  C’est là que vous prenez tous vos repas ; bien sûr à tour de rôle, vous mettez la table et la débarrassez ».
Puis nous entrâmes dans une très vaste pièce, avec un bar, des fauteuils en cuir et des canapés, une petite scène ronde surélevée et un podium de trois ou quatre mètres de long sur l’un des côtés. Trois filles en culotte blanche petit bateau, sans autre habit, avaient l’air de s’activer avec des chiffons, un aspirateur.
—  Toi aussi, 3 jours par mois, tu viendras nettoyer et tenir ce grand salon nickel ! Tu le feras quand tu auras tes règles et que tu es, comment dire, impropre à la consommation ! Montre-moi comment tu danse, car chaque soir vous dansez toutes à tour de rôle, il faut maintenir une atmosphère érotique pour nos hôtes, j’espère que tu sais être lascive car je ne veux pas de gourde ! »
Elle mit une musique « we can make it » de Donna Summer et sur la petite scène je me mis à danser comme je l’avais fait déjà dans le petit théâtre érotique de Saint Germain. Les filles s’arrêtèrent de nettoyer pour me regarder. La dernière minute de la chanson, je dansais à genoux, cuisses écartées, une main sur ma chatte que je frottais, l’autre sur mes seins que je triturais. A la fin de la chanson, j’étais en nage et excitée. Quand la musique s’arrêta, madame me félicita pour ma danse, elle toucha ma chatte pour constater qu’elle était mouillée, mes tétons dressés, puis me montra le podium.
—  Le plus important Lassie. Tous les quarts d’heures, vous êtes quatre à monter sur le podium et à vous montrer entièrement, devant et derrière, à nos hôtes. Ceux qui sont intéressés à ce moment-là viennent faire leur choix et les filles choisies montent avec eux à l’étage. Celles qui ne sont pas choisies retournent en salle pour servir à boire, danser, tenir compagnie aux hôtes jusqu’à la prochaine présentation. Et ainsi de suite jusqu’à la fermeture. Gare à la fille qui n’est pas choisie au moins cinq fois en moyenne par jour ! *
Madame ne m’en dit pas plus, je me demandais ce que signifiait cette menace.
Elle ouvrit une porte en sortant de ce grand salon, une dizaine de marches descendaient, je la suivis. En bas, elle ouvrit la première porte à gauche et me fit entrer dans une pièce de 10m² environ, éclairée seulement par un petit soupirail fermé par des barreaux. Au sol, un matelas et des anneaux scellés dans le mur. « l
—  La salle des punitions pour les filles qui manquent d’ardeur au travail, déplaisent au monsieur qui les a choisies, essayent de partir, etc.…J’espère pour toi que tu n’auras pas à séjourner ici ! ».
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FIN



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