INYAEL

samedi 14 août 2010
par  Monsieur Pat
popularité : 1%
3 votes

Après avoir connu de nombreuses filles, je rêvais de rencontrer celle qui me ferait flasher, et avec laquelle je voudrais finir ma vie. Le jour où j’ai rencontré Inyael, je ne pensais pas du tout que ce serait elle.

Elle venait régulièrement dans l’entreprise où j’étais concierge, standardiste, dépanneur, en fait homme à tout faire. Elle travaillait comme coursière, et livrait régulièrement courrier ou colis pour nos différents services. A force de nous voir, nous avions sympathisé, puis étions devenus amis, un peu plus tard intime, et pour finir amant. Nous vivions ensemble depuis quelques temps, lorsqu’elle fut licenciée. Mais Inyael n’était pas fille à se démoraliser, et avait rapidement trouver un job de secrétaire dans une PME. Elle ne me parlait que rarement de son travail, mais je voyais qu’elle y était heureuse.

Deux ou trois semaines plus tard, elle m’annonça que sa chef viendrait passer le week-end avec nous, ce qui me surprit beaucoup, car avec son caractère assez singulier, je ne lui connaissais aucune amie. Le vendredi suivant, elle revint du travail accompagnée d’une très belle femme avec beaucoup de distinction.

— Je te présente Marie Sophie, ma supérieure hiérarchique.

Marie-Sophie était aussi blonde qu’Inyael était brune. De même taille et de même stature l’une que l’autre, elles n’avaient rien à se jalouser physiquement. Toutes deux avaient de très captivants appâts, et attiraient le regard de tous les hommes sur leurs passages. La soirée très conviviale se passa agréablement, toutes deux devisant comme de vieilles amies, même si Marie-Sophie faisait assez vieille France, à l’opposé du caractère d’Inyael Lorsque j’abordai les visites que nous pourrions proposer à notre convive le lendemain, mon amie me coupa rapidement.

— A chaque jour suffit sa peine, nous verrons cela demain, maintenant il est l’heure de se coucher.

Il est vrai que pris par notre conversation, nous n’avions pas vu le temps passer. Marie-Sophie se rendit rapidement dans la chambre d’invité, que nous avions spécialement préparée pour elle. Exténués par une dure semaine, nous nous endormîmes rapidement.
Le lendemain en me réveillant, je trouvai un petit mot sur la table : « Nous sommes parties faire des emplettes pour le repas, et serons de retour pour le déjeuner. » N’ayant pas grand-chose à faire, je passai la matinée à écouter de vieux tubes, en attendant leur retour.

Elles revinrent un peu avant midi, Marie Sophie se rendit directement à la salle de bain, où elle resta un assez long moment. Elle retrouva enfin Inyael et elles se mirent rapidement à la préparation du repas. Marie-Sophie vint m’apporter un bourbon pour me faire patienter. Une fois à table, je fus surpris qu’à chaque plats elles se rendent toutes deux à la cuisine. Il n’était point besoin d’y aller à deux pour apporter le pain ou une carafe d’eau. Ce ne fut qu’après trois ou quatre allers et retours que je m’aperçus du changement.

Au moment du plat principal, Marie-Sophie était pieds nus et en soutien-gorge. C’est vrai que nous étions au mois de juillet et qu’il faisait une chaleur torride, mais Inyael avait gardé elle sa tenue d’origine. Après avoir débarrassé la table, Marie Sophie apporta le fromage sans sa jupe. Voyant mon air dubitatif, Inyael éclaira ma lanterne.

— C’est très simple, nous avons fait un pari, et Marie Sophie a perdu.

C’est vrai qu’Inyael était très joueuse, mais je ne voyais pas trop le rapport. Elle me donna de nouveaux éclaircissements :

— Celle qui perdait s’engageait à faire tout ce que l’autre lui demandait, comme elle a perdu, elle doit exécuter tout ce que je désire. A chaque voyage dans la cuisine, elle doit retirer le vêtement que je lui ordonne, tu vas voir.

— Marie Sophie, retires ton soutien gorge pour nous servir.

A peine quelques secondes plus tard, une magnifique poitrine, un peu voilée, s’offrait à notre vue, même si sa propriétaire semblait assez gênée.

— Retires tes mains, de toute façon tu n’as pas le choix, c’est le jeu.

Cette fois, les seins nous apparurent sans aucune retenue, ils étaient vraiment splendides, je ne sais vraiment pas ce qui la poussait à obéir ainsi. Après le passage suivant dans la cuisine, c’est en tenue d’Eve que Marie Sophie vint finir de nettoyer la table. Les deux filles se rendirent ensuite à la cuisine, au bruit qui ressortait, elles devaient commencer de mettre les plats dans le lave vaisselle. Après un certain temps, je m’inquiétai de ne pas les voir reparaître :

— Vous avez un souci, vous voulez que je vous aide ?

La voix d’Inyael me parvint rapidement.

— Non, non, c’est gentil, nous préparons le dessert.

L’instant d’après, elle me demanda de les rejoindre, une magnifique surprise m’attendait. Marie Sophie était allongée sur la table, avec pour unique parure une multitude de fruits et nombres d’autres choses exquises, qui n’attendaient qu’à être dégustées. Inyael m’annonça :

— Voici ton dessert, mon chéri, j’espère qu’il sera à ton goût. Moi je ne peux plus attendre. LIRE LA SUITE



ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
- d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
- d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)

ALLOPASS OU PAYPAL
OFFRE DECOUVERTE (1 jours)
ABONNEMENT 7 JOURS
ABONNEMENT 15 JOURS
ABONNEMENT 1 MOIS





ABONNEMENT 3 MOIS





ABONNEMENT 6 MOIS





SE DESABONNER


Entrez votre pass abonné

OFFRE DECOUVERTE (code valable 1 jours seulement)


Commentaires

Logo de Henic
mercredi 2 novembre 2022 à 12h13 - par  Henic

Ce récit vaut la peine d’être lu.
Selon le tempérament du lecteur, il peut choisir de se mettre à la place du protagoniste qui lui convient, et en profiter...