Un nouveau monde
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Quand la porte s’ouvre, il faut la vigueur des deux gardes pour contenir les bonds que fait alors Françoise pour se soustraire aux nouvelles épreuves qui l’attendent. Sophie Tréteau est déjà en place, les instruments prêts à être posés sur l’esclave.
« Pitié ! Pitié ! Maîtresse, je serai soumise, je répondrai à toutes les questions, ne m’attachez pas Maîtresse je vous en supplie ! Je ferai tout ce que vous voulez ! » Sophie et les gardes éclatent de rire.
« Bien sûr que tu feras tout ce que je veux, tu es une esclave, et obéir reste ta seule chance de ne pas être punie ! »
Françoise est en pleine crise de nerfs, elle trépigne, elle pleure, elle s’arc-boute. Rien n’y fait, maîtrisée, domptée à coups d’aiguillons électriques, elle finit par accepter son sort et se laisse de nouveau attacher sur son instrument de supplice, pinces aux seins, les cuisses ouvertes en plein écartement. De nouveau les gants sont fixés et connectés, le casque sanglé sur la tête. C’est alors que la porte s’ouvre. Françoise ne peut voir de qui il s’agit.
« Ha ! Entrez donc ! Nous vous attendions pour commencer ! » C’est alors que la personne s’approche et prend place à côté de Sophie Tréteau. À sa vue, Françoise ou plutôt F4910, s’agite dans tous les sens, tente de fermer les cuisses, ce qui lui vaut une violente décharge électrique dans les seins et au cou.
« Non ! Non ! hurle-t-elle, pas elle ! Vous n’avez pas le droit ! Hooo ! Quelle abomination ! » L’esclave s’effondre dans ses liens et sanglote amèrement.
« Mais je vois que vous vous connaissez ! Je ne fais donc pas les présentations. Madame Joëlle Traceur, que tu connais donc ESCLAVE F4910, est ici sur ordre du gouvernement, pour le compte de notre journal national, pour suivre ton interrogatoire, qui va porter sur les premières années du Centre, qui, je crois, vous appartenait alors ! Il est inutile de discuter, et rappelle-toi, au moindre manquement… flagellation publique ! As-tu compris ? »…
« Je répète as-tu compris ? » Décharge électrique dans les seins.
« HAAA ! Oui, oui maîtresse, l’esclave F4910 a compris, je répondrais, je répondrais, pitié, plus ! Plus ! HHHAAAA ! » Françoise Brunant se tord de douleurs, elle étouffe aussi de rage, d’être montrée, nue, devant une fille d’esclave !!!! »
« Au fait comment vous connaissez-vous, si je ne suis pas indiscrète ? » demande Sophie à Joëlle Traceur »
« Cette esclave me connaît depuis ma naissance, elle m’a vue naître, alors qu’elle dressait ma mère qui avait été condamnée à l’esclavage perpétuel. Et surtout, cette salope l’a vendue, mais je n’ai jamais su à qui, et depuis je n’ai jamais eu de nouvelles, mais peut-être m’en dira-t-elle plus ? »
« Assez bavardé ! F4910 tu vas être interrogée sur le fonctionnement du centre de formation et le début de ta vie avec M4902. Fais très attention à tes réponses, en ce moment ton ex-mari est interrogé sur les mêmes questions ! Sois très précise ! LIRE LA SUITE
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