Elizabeth mise en esclavage au bout d’un mois

mercredi 15 mars 2017
par  FRANKIE
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Les 2 récits d’Elizabeh40 « Élisabeth, future esclave » parus en 2013 étant malheureusement restés sans suite depuis 4 ans, je me permets de continuer cette histoire d’un couple amoureux ( ?) dont la femme se soumet du jour au lendemain à celui pour lequel elle a eu le coup de foudre.
Pourquoi penser à l’esclavage ? Aurait-elle commis une faute dans le passé ; en quoi cela concerne-t-il Youssef ?

Pendant un mois, la vie de notre couple devint routinière, surtout marquée par les diverses contraintes qu’avait mis en place, Youssef, l’étudiant sénégalais duquel j’étais tombée amoureuse dès le début de sa présence dans ma maison : le petit-déjeuner apporté au lit pour lui seul, alors que je lui servais de support-plateau, puis lui faisais une fellation, le sperme qu’il m’obligeait à avaler me servant de petit-déjeuner.
Une fois terminé, il m’enlevait « l’attirail pénitentiaire » qu’il m’avait imposé dès le deuxième soir : collier et chaine, laquelle reliée aux deux paires de menottes, une paire pour les chevilles, une autre pour les poignets ; et en plus une paire de menottes pour le dos afin de faire ressortir la poitrine !
Départ au travail pour moi après qu’il m’eut donné les habits à mettre (sans soutien-gorge ni culotte) et vérifiée la tenue une fois ceux-ci mis. Youssef était toujours à la maison quand je partais, mais ce qu’il faisait dans la journée, pas moyen de le savoir.
Le premier jour, obligation de revenir après un passage chez l’esthéticienne pour une épilation complète. Les autres soirs dès que je rentrais du travail, tout de suite à poil, remise en place par lui-même de « l’attirail pénitentiaire » que je lui apportais ; puis il m’ordonnait de lui préparer son repas, et de le servir, le mien étant toujours pris après, à ses pieds comme une petite chienne, à même la gamelle, les bras dans le dos.
La soirée, pour lui devant la télévision, et là encore, pour moi, c’était à ses pieds une fellation ; puis mise au placard pour la nuit avec aucune possibilité de se relever vu qu’un cadenas reliait une chaine fixée au sol à mon collier.
Non ce n’était pas une vie de couple, mais chacun de son côté l’un en liberté, l’autre contraint ; mais bizarrement mon amour pour lui était toujours intact, et certains s’en sont étonnés ; cependant j’avais l’impression que tous les deux nous formions encore un couple !
Mais au matin du dernier jour du mois, au moment où j’allais partir au travail, il me dit : " ce soir, en rentrant tu enlèves tous tes habits et tu mets le vêtement que tu trouveras sur le dossier du fauteuil, et tu viendras te mettre à genoux devant moi, les mains sur la tête ; nous avons à parler tous les deux ; tu ne te préoccupes pas de ton attirail de contrainte. Je hochais la tête de haut en bas pour lui montrer que j’avais compris, vu que je n’avais pas le droit de parler.
Toute ma journée de travail fut perturbée par ces consignes reçues, très lapidaires.
Je rentrais donc en hâte, Youssef m’ayant fixé comme heure 18 h 15 précises.
Arrivée chez moi, dès que j’entre dans la salle à manger, j’aperçois une robe évasée rouge , qui me fait penser à un habit de « pute » Mais je n’ai pas le temps de me poser des questions , je me mets à poil devant lui et enfile cette robe, puis comme ordonné le matin je m’approche de Youssef, yeux baissés, et me mets à genoux , mains sur la tête ;et en faisant tous ces gestes, j’étais toute troublée : pourquoi une robe de pute, je n’ai jamais cherché ailleurs, même après la mort de mon mari ! Et troublée aussi par la demande de Youssef qui m’amenait à me comporter comme me le demandait ma mère quand je me conduisais mal même adolescente : venir chercher ma punition comme si j’étais une petite fille ! Je lui dis donc : « bonjour Youssef. » Il ne me répond pas ; donc j’attends quelques instants avant qu’il parle.
« Tu m’aimes toujours Elizabeth ? »
« Oui, Youssef ! Je t’aime toujours malgré les contraintes que tu m’imposes. »
« Pourquoi un tel amour ? »
« Je ne sais pas Youssef, mais j’ai comme l’impression que toutes ces exigences sévères que tu as envers moi, sont une manière, pour toi, de me punir de quelque faute au moment où nous avons fait connaissance, mais je ne vois pas laquelle. »
« Tu as vu juste, Elizabeth, mais avant de commencer par la faute, parlons donc de la manière dont on s’est connue ; maintenant tu peux parler, je t’y autorise ; par contre tu recevras 20 coups de badine ce soir avant de te coucher, car lorsque je t’ai posé des questions, tu ne m’as pas demandé l’autorisation de parler pour te répondre ! »
« Je suis d’accord pour être punie, Youssef ! »
« Bon alors, te rappelles-tu comment nous avons fait connaissance tous les deux, et par l’intermédiaire de qui ; quelle personne est intervenue pour que tu m’acceptes comme locataire ? »
« Oui, Youssef, je me rappelle que j’avais mis une annonce à la fac comme quoi je pouvais louer à bas prix une chambre, plus l’accès à la cuisine et les commodités, à une étudiante pas très argentée. J’avais déjà reçue plusieurs réponses, et je m’apprêtais à faire mon choix , quand un professeur, en résidence à la fac pour quelques mois, et que j’avais eu l’occasion de rencontrer, je ne sais pourquoi, m’a contactée, et m’a demandée si mon offre de location ne s’adressait qu’aux jeunes filles ; je lui ai répondu que non ; c’était possible pour un garçon ; et alors elle m’a parlée de toi, qui n’avait pas beaucoup de moyens financiers comme étudiant, et qui de plus devait revenir dans sa ville d’origine tous les week-ends , vu qu’il était en quelque sorte » soutien de famille «  ; j’ai tout de suite acquiescé , étant donné que cette dame m’avais fait une bonne impression. Je lui ai donc donné mes coordonnées, qu’elle t’a aussitôt transmises, et deux jours après, tu te présentais ici. Et là, cela a fait tilt ; tu étais un garçon avenant, très poli, charmeur, attentif à mes recommandations ; et si bien que je suis tombée amoureuse de toi, et quelques jours après, nous décidions de vivre en couple, d’autant que j’étais en manque d’un compagnon après 2 années de veuvage ; mais dès le lendemain de notre vie commune, tu as changé, tu es devenu autoritaire, et tu m’as imposé de plus en plus de contraintes les jours suivants ; je t’ai obéi sans rien dire, pensant qu’il y avait une raison et que tu ne resterais pas très longtemps sans me mettre sur la voie ; mais voici un mois où je continue à t’obéir sans comprendre pourquoi tu as changé d’attitude, mais mon amour pour toi est toujours le même ! »
« Tu vas vite comprendre ; cela tient au fait que tu as repris le cabinet de ton mari tout de suite après sa mort brutale, sans avoir une formation très adéquate. De ces débuts comme notaire, tu en as un souvenir heureux ou malheureux ? »
« Non, je n’en garde pas un très bon souvenir, à cause de mon manque de formation ; mais j’ai fait face et maintenant c’est avec plaisir que je fais ce travail. »
« Tu n’as pas souvenir d’un évènement qui t’aurait marqué plus qu’un autre ? »
« A première vue non ; il faudrait que je réfléchisse un peu plus et fasse appel à mes souvenirs. »
« Quand je me suis présenté, il y a un mois, tu m’as demandé ma carte d’étudiant pour relever mes nom, prénom et date de naissance, et la carte étant un peu froissée, tu l’as prise dans tes mains, et plusieurs fois tu as dit : Youssef Yassoko ! Youssef Yassoko ! Youssef Yassoko ! ; Cela ne t’a rappelée aucun souvenir désagréable ? » Il y a un mois, redire ce nom plusieurs fois, effectivement cela m’a évoqué un souvenir, mais vraiment lointain c’est tout ! «  » Eh bien, je vais te rafraichir la mémoire, et je vais te rappeler une grave faute antérieure, que tu évoquais il y a quelques instants, et qui te vaudras une punition, et celle-là tu la garderas en mémoire longtemps, crois-moi !
Car Yassoko est aussi le nom d’un plus jeune frère, Yanis, marié à une jeune femme Inès, ayant 2 enfants en bas âge à cette époque ; ces 2 jeunes gens avaient tous les deux un projet professionnel, lui dans les technologies d’avenir grâce au numérique, elle dans la recherche de nouveaux produits cosmétiques ; ils étaient déjà assez avancés dans leurs projets, et étaient à la recherche d’un local assez grand pour ces 2 projets. Or inopinément, ils apprirent qu’une maison était à vendre, maison peut-être un peu grande au départ, mais très proche de leur domicile, ce qui leur permettraient de travailler tous les deux, tout en s’occupant de leurs enfants sans faire appel à une nourrice.
De plus toute la famille, dont je fais partie, ravie de leurs deux projets, étaient prête à les aider pour financer leurs deux rêves de jeunes. Donc ils prirent rapidement contact avec une femme mature de 38 ans, qui venait de reprendre le cabinet de son mari décédé, sans beaucoup de formation il est vrai, et qui s’appelait Elizebeth….. !!!!
Dès le début, cette notaire, un peu décontenancée par le dynamisme de ces 2 jeunes, ne cherchait pas à leur faciliter l’achat ; mais bientôt toutes les démarches administratives étant closes, et les fonds nécessaires prêts à être versés, une date fut prise pour le compromis de vente.
Mais pataras, quelques jours avant, Elizabeth, sans prendre conseil autour d’elle notamment d’une clerc, de 28 ans, déjà ancienne dans la profession (5ans) ni auprès de notaires chevronnés, décida de repousser le compromis de vente, suite à une décision des vendeurs de ne pas vendre au jeune couple, sous prétexte qu’il y aurait eu des mots entre eux. Effectivement, quelques années auparavant, les 2 couples étant voisins, il y avait eu un différend entre eux ; et des mots ont été échangés, et mon frère aurait traité ces voisins de racistes. Mais c’était de l’histoire ancienne, et mon frère et ma belle-sœur ne pensaient absolument pas que des broutilles puissent empêcher une vente. Mais la notaire, ayant pris parti pour le couple des vendeurs, décida de sursoir à la vente, et se dépêcha de faire affaire avec un autre couple qui plaisait aux vendeurs, en arguant d’une question de priorité dans les dossiers, puisque ces derniers avaient pris des renseignements, mais sans prendre d’option, avant le jeune couple. Donc raison fallacieuse. Ce refus de vente eut des conséquences désastreuses, puisque n’ayant pas de locaux adéquats, les 2 jeunes durent abandonner leurs projets ; ma belle-sœur fit une profonde dépression nerveuse, dont elle ne commence qu’à en sortir, et mon frère dut se mettre à la recherche d’un autre travail : une famille qui aurait été facilement anéantie si mon frère n’avait pas heureusement gardé son énergie, d’autant que le comportement des enfants commençait à poser problème dans cette atmosphère déplorable. Voilà le résultat de ton incompétence, et surtout de ton manque d’humanité ; parce qu’’autant tu as pris plaisir à écouter les balivernes des vendeurs, autant tu n’as pas cherché à comprendre quels étaient les projets prometteurs de mon frère et ma belle-sœur !
Suite à cette mascarade aux conséquences néfastes, toute la famille a cherchée à se venger ; et c’est moi qui décidé, avec leur accord, de prendre cela en charge. Au départ, j’ai pensé à faire tomber en faillite ton cabinet, Elizabeth ; ce qui aurait été facile, si la chambre notariale avait été mise au courant de tes fautes professionnelles ; mais j’ai pensé que les premières victimes en auraient été les salariés de l’étude.
Aussi j’ai procédé autrement : habitant la ville voisine, je suis venu m’installer dans cette ville ; je me suis renseigné pour savoir si c’était toujours toi qui dirigeait ce cabinet ; les renseignements pris sur toi étaient positifs, et on voyait que tu t’étais mieux formée et aussi que tu avais acquis plus d’humanité au fil de ses deux ans ; je suis venu me renseigner jusque dans le cabinet, un jour où tu n’y étais pas ; le personnel avait l’air assez positif , sauf une clerc de notaire. Nous en reparlerons dans quelques instants.
Et la chance m’a souris quand tu as communiquée sur ta location de chambre ; je suis allé m’inscrire à la fac pour avoir une carte d’étudiant, et autre fait positif, j’ai rencontré cette professeur qui te connaissait et qui s’est fait fort de m’avoir cette location , d’autant qu’elle était en colère contre la façon dont tu avais gérée cette vente de maison ; ne comprenant pas que tu ais pu agir avec si peu d’humanité !
Et donc quand j’ai fait ta connaissance, j’ai pris mon masque d’homme charmeur, enjôleur, amoureux ; et tu es tombée dans le panneau ! Toi tu es peut-être amoureuse de moi depuis un mois malgré les exigences de plus en plus fortes que j’ai eu envers toi ; mais moi je ne suis absolument pas amoureux de toi !
Mon seul souci c’est de te faire payer ta faute, pour compenser un peu le désastre que tu as provoqué dans cette famille.
Venons–en maintenant à la punition que j’ai imaginée pour toi ; elle sera terrible pour toi car elle va te priver de liberté pendant cinq ans, encore plus forte que la privation de ce mois-ci ; oui pendant 30 jours, j’ai simplement voulu me rendre compte si tu étais capable d’obéir à des ordres un peu durs et donc d’être soumise.
Donc le résultat est positif.
C’est pourquoi , je vais dès ce jour te faire entrer en esclavage pendant cinq ans ; mais avant de te dire comment cela va se passer, je vais te laisser réfléchir toute seule, et dans une demi-heure je reviendrais pour savoir si tu es d’accord avec mon projet. Saches cependant que tu n’as pas tellement le choix, car si tu refuses, je prendrais dès demain contact avec la chambre des notaires pour la mettre au courant de tes fautes professionnelles d’il y a deux ans ; je me suis déjà renseigné : des conséquences pour toi seulement, pas pour le personnel du cabinet qui serait repris par un autre notaire.
Donc dans une demi-heure je reviens prendre ta réponse ; si tu acceptes, je ferais entrer 2 témoins qui assisteront à la signature du contrat entre nous, car n’ayant pas confiance en toi, je ne voudrais pas que tu te retournes contre moi et les 2 témoins dans 5 ans ou même avant ; puis devant eux je te dirais en détail en quoi consistera ton esclavage, et notamment quelle sera une journée-type.
A présent, avant que je ne sorte, lèves-toi et mets-toi à poil ! Tu poses cet habit de « pute » sur la chaise à côté ; Je vais te remettre ton « appareil pénitentiaire » et tu vas te tenir pendant une demi-heure au piquet ! " LIRE LA SUITE



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Commentaires

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jeudi 1er mars 2018 à 21h47 - par  germanotti

belle histoire.j’espère que vous écrirais une suite...

Site web : lucien germanotti