14- Pierre, Agnès et les autres

Chapitre 14 - La délivrance
mardi 3 novembre 2009
par  herpin
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— Elle est crevée, on n’en tirera plus rien…Sandrine, viens par ici…détache ta sœur, et cajole la un peu ; elle a besoin d’être réconfortée. Pour notre part, ce n’est pas une raison pour ne pas continuer à nous amuser. Vanessa, je crois que tu n’as pas encore eu l’occasion de vérifier pour quelle raison j’ai surnommé mon valet « Nessus »…et bien tu vas voir qu’il y a une certaine ressemblance avec l’antique centaure.

Ayant pressé un timbre discret afin de faire venir cet énigmatique domestique, Florence entraîna son amie jusqu’à un sofa où elles s’abattirent, reprenant leurs ébats saphiques. Pendant ce temps Sandrine s’était empressée auprès de son aînée. Lui déliant les chevilles, elle avait soutenu ses jambes rendues douloureuses par l’élongations qu’elles avaient subi si longuement, pour les reposer doucement à terre. Ensuite, détachant ses poignets, elle avait aidé sa sœur à se redresser, et l’avait soutenue pour la faire s’allonger sur la moquette. Parcourue d’ondes de feu, qui prenant naissance dans ses seins et son ventre, se répandaient dans tout son corps, la malheureuse ne reprit que progressivement conscience de son état. Découvrant sa poitrine tuméfiée par les coups de cane, recouverte de cloques blanches, ressentant d’infernales démangeaisons aussi bien dans ses globes mammaires que dans son sexe, elle était agitée de sanglots, n’ayant même plus la force de protester contre le traitement inhumain qu’elle avait subi. Alors que Sandrine tentait de la réconforter, cette dernière vit apparaître le valet, comprenant alors l’allusion mythologique. Si l’homme avait conservé son gilet, sa chemise et son nœud papillon, il était par contre intégralement nu à partir de la taille, et exhibait un sexe, qui même au repos s’apparentait plus à un dard chevalin qu’à une verge humaine. Sur un signe de sa maîtresse, il s’approcha de la jeune fille, lui présentant son impressionnant membre qui pour l’heure reposait mollement sur deux bourses qui pendaient lourdement entre ses cuisses.

— Sandrine, ma chérie, voudrais-tu être assez aimable pour permettre à Nessus de nous honorer toutes les trois.

Comprenant ce que l’on attendait d’elle, elle saisit d’une main hésitante la verge, la massant doucement, ramenant délicatement la peau en arrière, pour dégager un gland violacé. Ces premiers attouchements semblèrent appréciés, car la pine commença à enfler ; elle se déplia et se redressa tel un reptile prêt à jaillir. Parcourant la colonne d’une langue gourmande, elle descendit jusqu’aux couilles qu’elle prit tour à tour dans sa bouche, s’amusant à les faire rouler contre son palais, cette initiative provoquant des sursauts du membre ainsi sollicité. Noyant le gland de salive, elle le prit dans sa bouche, le flattant de la langue. Tout en continuant les stimulations manuelles le long de la hampe, elle alterna les sucions et les léchages de la tête, jusqu’à obtenir une érection parfaite, le membre une fois libéré, venant battre contre l’abdomen masculin.

— Nessus, bel étalon, ne perdez plus de temps, nous sommes deux femelles avides de jouissance. J’entends toutefois que fassiez preuve d’endurance et que vous conserviez toutes vos forces vives afin de rendre ensuite hommage à cette charmante enfant qui a su développer votre esprit conquérant.

Ainsi sollicité, le serviteur se dirigea vers le sofa où les deux jeunes femmes l’attendaient, agenouillées côte à côte, la croupe offerte, et les cuisses largement ouvertes. S’étant positionné derrière Florence, il dirigea son épieu d’une main ferme vers la fente ruisselante de désir et sans la moindre difficulté, il investit les lieux, arrachant à la femelle un râle de plaisir. Une main posée sur les reins de la pouliche, il entama un lent chevauchement, tandis que son autre main s’aventurait sur les fesses de Vanessa, ses doigts parcourant le sombre sillon séparant les hémisphères joufflus, avant de gagner la crevasse dégoulinante de jus. Ce fut alors un déchaînement des trois partenaires. Passant de l’une à l’autre, les enfilant tour à tour, il déclencha chez ses partenaires des vocalises à la hauteur des sensations enivrantes qui les submergeaient.

Etrangère à ce tumulte érotique, Sandrine, sitôt sa tâche achevée, s’était rendue dans la salle de bains d’où elle était revenue avec un pot de pommade apaisante. Ayant disposé sa sœur allongée sur le ventre, elle entreprit d’en enduire la croupe cramoisie à l’aide de l’onguent. Parcourant délicatement les chairs tuméfiées, elle laissa ses doigts s’insinuer entre les fesses pour débusquer l’anus qui n’avait pas été épargné par la flagellation. Déposant une noix de crème sur le fragile œillet, elle débuta le massage de l’anneau qui ne tarda pas à se rendre, s’ouvrant, palpitant avide de recevoir le visiteur qui le sollicitait ainsi. Satisfaite de voir Agnès répondre aussi favorablement à ses caresses, Sandrine mit pourtant fin à celles-ci, son but n’étant pas de faire jouir sa sœur, mais seulement de l’amener à un stade d’excitation et de désir frustré, qui la rendrait à nouveau prête à tous les excès pour connaître enfin la délivrance de l’extase. Dans ce but, elle la fit se retourner, se penchant sur le visage encore déformé par la souffrance qui persistait malgré tout, et couvrant la face de baisers, elle vint s’emparer des lèvres de son aînée, insinuant une langue pointue et ferme, dans la bouche entrouverte, y versant sa salive, l’aspirant, l’absorbant tel un nectar. Les gémissements de plaisirs qui vinrent couronner cette initiative confirmèrent la « résurrection » de la jeune femme.

Toute à son action réparatrice, Sandrine ne s’était pas rendue compte que Florence et son amie repues de plaisirs, avaient décidé de mettre fin à leurs ébats.

— Ma chérie, tu as été parfaite, aussi à titre de récompense, tu vas avoir le privilège de conduire notre ami au plaisir. Prends place au dessus de ta sœur…voilà, écarte bien les cuisses et cambre toi de façon à ce qu’elle ne perde rien du spectacle.

De fait, placée comme elle l’était, Agnès voyait à quelques centimètres au-dessus de son visage, la fente béante de sa sœur d’où s’écoulait la liqueur attestant de l’état d’excitation dans lequel se trouvait cette dernière. Sans plus attendre, l’homme s’agenouilla à son tour derrière Sandrine, lui écartant les fesses afin de bien dégager les lieux qu’il s’apprêtait à investir. Se collant à la croupe de l’adolescente, il engagea son membre dans le sillon, le faisant aller et venir pour bien l’humecter de cyprine. Subjuguée par la vision de ce superbe phallus, Agnès ne pu résister à l’érotisme de cette scène, et saisissant le sexe masculin, elle le décalotta pour enfin positionner le gland à l’entrée de la grotte palpitante. Elle vit alors l’énorme champignon, s’enfoncer entre les lèvres qu’il contraignit à s’ouvrir, la colonne de chair disparaissant à sa suite dans la mystérieuse crevasse, jusqu’à ce que les bourses viennent battre contre la croupe de sa sœur. LIRE LA SUITE

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