Elisabeth, future esclave 2

samedi 18 mai 2013
par  elisabeth 40ans
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Bonjour,

Voici la suite de mon histoire de future esclave.
Je suis allée à mon étude, anxieuse des regards sur ma poitrine ballotante. La journée de travail ordinaire m’a semblé une torture, attendant avec effroi le soir et mon retour à la maison en sachant que je devais être épilée.
Je pris un rendez vous dans un salon que je ne connaissais pas, ayant trop honte d’aller chez mon esthéticienne habituelle.
A la sortie du travail, je m’y rendis donc et me présentant je demandais une épilation intégrale redoutant les sourires.
Mais plus de peur que de mal.
L’épilation se passa bien, malgré le laser qui brulait un peu et je me sentis totalement nue.
Je rentrais donc à la maison où m’attendait Youssef.
A peine rentrée et face à Lui, les quelques courses faites posées sur la table, il me dit « relève ta jupe. » Ce que je fis, contente de Lui faire plaisir.
Il parut satisfait, me disant ce qui me fit honte et me vexa « Là tu commences à ressembler à quelque chose ». Et il rajouta, « ôtes tes fringues et vas préparer à bouffer. »
Je me déshabillai donc devant Lui ne gardant que mes bas et mes escarpins et allai préparer le diner. Une fois prête, j’appelai Youssef pour passer à table, mais lorsqu’il arriva et vit les deux couverts je reçus une gifle magistrale qui me fit tomber par terre et il me hurla dessus : « Mais tu es stupide vieille peau tu ne manges pas avec moi tu me sers, toi tu manges après compris ».
Je répondis en pleurnichant :« Oui Youssef, pardon ».
Et il rajouta :« Vu que tu es par terre, tu boufferas par terre ».
Ces mots me glacèrent le sang. Manger par terre comme un animal. Il me considérait comme cela, moi qui l’avais pris sous mon toit.
Tirée par les cheveux, je me relevai et fis le service redoutant le moment pour moi de passer à table.
Et ce moment arriva dés qu’il eut fini le dessert.
Il me fit prendre un saladier et mélangea tous les plats et le posa par terre.
Se retournant vers moi, il me dit : « Si tu as pas faim, tu le mets au frigo et ce sera pour demain ».
Je me mis donc à contre cœur à genoux et là il me dit : « tu te sers pas de tes mains, compris ! »
J’obéis en essayant avec un haut le cœur et une honte certaine de déguster mon diner. Je ressortis le menton et le nez salis de nourriture. Ce qui le contenta.

Une fois relevée, je fis la vaisselle et le rejoignis au salon devant la télévision, mais bien sûr pas à ses cotés, mais par terre à le sucer. Je finis mon diner par son sperme.
Une fois son sperme avalé, il me dit de prendre un sac sur la table basse, ce que je fis et le lui tendis. Il en sortit des menottes et des chaines. Je frémis en les voyant.
Il me dit « tu sais que j’ai pas beaucoup de fric alors c’est un beau cadeau que je te fais. »
J’en croyais pas mes oreilles, mais n’osai rien dire. Il me posa donc ces menottes : d’abord aux chevilles, elles étaient séparées par une chaine d’une trentaine de cm, puis aux poignets elles aussi séparées par la même longueur. Le froid de l’acier me glaça le sang et me fit frémir la peau ce qu’il remarqua et le fit rigoler. Le fait de le voir rigoler me rassura un peu. Puis il me fixa un collier en acier au cou et une chaine partant de celui-ci reliant les deux paires de menottes. Une fois apprêtée, il me fit déambuler devant Lui, ce que je fis.
Je marchais pas trop mal et il me félicita en ajoutant « tu vas voir tu vas t’y habituer. »
Un fois revenue près de lui il me fixa une autre paire de menottes dans le dos pour mes coudes, ce qui fit ressortir ma poitrine.
Me tirant par la chaine du collier, il m’emmena dans la chambre où je vis le placard mural en tout cas le bas débarrassé des quelques affaires y étant. « Voilà ta couche, allez au lit ! » dit il en rigolant.
Les larmes aux yeux et bredouillant : « je dors pas avec vous » je me mis a genoux pour me glisser dans le bas de l’armoire murale. Une fois à peu près allongée, il cadenassa une courte chaine fixée au sol par un crochet à mon collier.
Il me répondit : « Ce soir, je sors. Donnes moi ton code CB ! » Ce que je fis, vu ma position !
Il referma la porte du placard et me dit bonne nuit et sortit de la maison.
Il ne rentra que vers 5h du matin et me détacha pour que je me prépare à aller bosser.
Je n’avais pas fermé l’œil de la nuit mais j’allais m’y habituer.
A bientôt.

PRECEDENT ........................................................... A SUIVRE



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Commentaires

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mercredi 22 mai 2013 à 03h58 - par  Bizber

Bonjour
Cette histoire n’est pas une histoire de domination /soumission. A aucun moment de ce récit, je perçois le plaisir qu’Elisabeth trouve dans ce qu’elle vit. Cela ne semble donc pas être le jeu d’adultes consentants mais plutôt l’exploitation brutale d’une certaine naïveté.

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lundi 20 mai 2013 à 16h42 - par  flagellis

Merci pour ce texte , vraiment trés captivant, je n’ai qu’une hate, de voir comment cela évolue !!!!
Vite, le suite !!!!

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dimanche 19 mai 2013 à 22h23 - par  da45

La soumission... parfait,
L’obéissance... tout a fait normal et obligatoire de la part d’une soumise,
L’humiliation de sa soumise... parfaitement légitime,
La contrainte et les punitions... des actes liés ensemble nécessaires à l’éducation de la soumise en devenir
Mais pour moi, le vol (en l’occurrence celui de la CB), ne fait pas vraiment partie des pratiques SM. Inadmissible et contraire à ce que doit être l’attitude d’un maitre. Cela ressemble plutôt à l’attitude d’un « souteneur » !!!

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