3 - Le plaisir dans la soumission

mardi 13 février 2007
par  Pégase
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Ce jour-là, je m’étais rendu chez Marc, mon maître es-bondage, espérant obtenir de lui de nouveaux conseils afin de pimenter nos séances sado-masochistes. Je n’avais qu’une crainte, c’est que Sabrina finisse par se lasser et recherche auprès d’un autre des sensations nouvelles. Je lui fis part de mes appréhensions.

— Un jour ou l’autre, en effet, me dit-il, on se heurte à ce problème et il faut alors franchir une nouvelle étape.

— Laquelle ? demandai-je.

— Tôt ou tard, votre soumise va éprouver le désir d’être vue, nue et attachée, non pas seulement par vous ou vos miroirs, mais par d’autres hommes ou d’autres femmes. Vos seules flagellations ne lui suffiront plus. Elle voudra se livrer à de nouveaux maîtres quel que soit l’amour qu’elle vous porte. C’est inexorable."

J’étais atterré, mais il poursuivit :

— J’ai connu les mêmes problèmes, mais il y a une solution. Je fais partie d’un Club SM. Maîtres et esclaves s’y retrouvent une fois par mois et réalisent leurs fantasmes devant le groupe réuni. Quoi qu’elles disent, toutes les femmes sont exhibitionnistes et, devant un groupe de spectateurs, elles jouissent davantage que dans l’intimité. Vous devriez essayer. Parlez-en à Sabrina. Mais je vous préviens : la cotisation annuelle est assez élevée. Nous tenons, de la sorte, à éliminer les curieux et à ne garder que des gens très motivés, de véritables amateurs de plaisirs extrêmes. Réfléchissez bien tous les deux. En adhérant à notre charte, vous renoncez à toute prétention de propriété sur Sabrina. Elle devra se soumettre à tous les membres du Club qui en exprimeront le désir ; de la même façon, toutes les femmes vous seront soumises sans aucune restriction. En tant que parrain, je devrai, le premier, vérifier les bonnes dispositions de Sabrina en la flagellant et en la possédant devant tous. Si vous vous décidez, téléphonez-moi et je passerai vous prendre samedi à 21 heures

L’idée de devoir partager Sabrina avec d’autres m’était insupportable, mais la partager c’était la garder encore un peu alors qu’autrement je risquais de la perdre à jamais. Je lui parlai donc de l’existence de ce club en espérant qu’elle allait protester et me dire : « Non, Bernard chéri, nous nous suffisons l’un à l’autre ! Nous nous aimons ! » Mais, avec amertume, je l’entendis s’exclamer joyeusement :

— Bernard chéri, c’est formidable. Tu penses à tout ! Voilà une excellente idée ! Quand commençons-nous ? Dis, ce sera comme dans « Histoire d’O » ?"

Les dés étaient jetés, je ne pouvais plus faire marche arrière. D’ailleurs, pour être tout à fait sincère, l’idée de pouvoir faire danser d’autres femmes sous le fouet, la perspective de m’enfoncer dans d’autres corps, de les couvrir de sperme et d’urine, n’était pas pour me déplaire.

Le samedi, à 21 heures précises, la BMW de Marc s’arrêta devant notre porte. Je le fis entrer et lui présentai Sabrina. Il la salua et la regarda avec une gourmandise non dissimulée. Il me sembla que, ce soir-là, elle était plus rayonnante que jamais. Elle portait une robe rouge très moulante qui mettait ses courbes en valeur, le décolleté était profond et le dos était nu jusqu’à la raie des fesses dont on pouvait voir le début.

— Vous êtes superbe ! s’exclama Marc, en connaisseur. Mais avez-vous bien réfléchi ? Etes-vous sûre de vouloir nous rejoindre ? Bernard vous a-t-il dit que je serai votre premier bourreau ?

Sabrina était brûlante d’impatience.

— Oui, je le veux, proclama-t-elle d’une voix que l’émotion rendait encore plus troublante.

— Bien, fit Marc, mais, avant que nous partions, je dois faire un test. Selon qu’il sera positif ou négatif, je vous emmènerai à notre Club ou pas. A genou, belle esclave !

Sabrina obtempéra. Marc se déshabilla prestement et lui présenta un sexe long et fin, très dur.

— Suce et bois tout ce que je te donnerai. J’ai bien dit : tout. Sinon, je m’en vais, sans toi.

S’agissait-il vraiment d’un test ou Marc profitait-il de la situation ? C’était la première fois que je voyais la bouche de Sabrina se refermer sur un autre sexe que le mien et, ma foi, c’était très excitant. J’en oubliais même d’être jaloux ! Marc se retirait presque entièrement, puis enfonçait son membre long jusqu’à ce que ses couilles viennent heurter le menton de la belle fellatrice. Je me demandais comment elle faisait pour l’avaler tout entier. Le visage de Sabrina était fascinant, mais j’y vis soudain une expression de surprise intense et elle commença à déglutir tandis que des larmes lui noyaient les yeux. Au bout de quelques secondes, comme je la voyais avaler de plus en plus rapidement, prête à suffoquer, et que le sexe mâle restait immobile, je réalisai ce qui se passait : Marc était en train de lui pisser dans la bouche ! Peu d’hommes sont capables de pisser tout en bandant, Marc était de ceux-là. Je l’enviais un peu, bien décidé à lui demander, plus tard, comment il s’y prenait. Quand il eut fini de se soulager, il reprit ses mouvements de va-et-vient. Sabrina n’avait laissé échapper que quelques gouttes d’urine qui coulaient à la commissure de ses lèvres, ce qui me la faisait paraître plus désirable encore. Sa langue se remit à courir sur le membre qui la pénétrait, ses joues se creusèrent jusqu’à ce que le sperme, enfin, jaillisse au fond de sa gorge en flots épais.

— Test parfaitement réussi ! s’exclama Marc en se rhabillant. Bravo, Sabrina ! On y va !

Une heure plus tard, nous arrivions devant une villa cossue entourée de hauts murs. Dans l’allée, cinq voitures stationnaient déjà. Marc nous conduisit dans le bureau du propriétaire qui, en voyant ma pulpeuse Sabrina dans sa tenue divinement sexy, ne put s’empêcher d’émettre un sifflement d’admiration. Je lui remis la somme convenue et il fit signer divers papiers à ma compagne selon lesquels elle déclarait adhérer de son plein gré aux statuts du Club et s’engageait à ne jamais porter plainte en cas de dérapage.

— Rassurez-vous, chère Sabrina, nous n’avons jamais eu d’accident, mais il faut penser à tout. Soyez persuadée que tous ceux qui sont ici, ce soir, ne sont là que pour le plaisir de chacun et de chacune. Sachez aussi que nous n’utilisons pas de bâillons. Nous aimons entendre les cris des flagellées. C’est très excitant. Et cela vous laisse la possibilité de crier « Stop » à tout moment si vous en avez assez. Venez, je vais vous présenter

Il nous introduisit dans un salon où une demi-douzaine de couples devisaient de façon très conventionnelle en buvant du champagne et en grignotant des gâteaux. Ce cocktail me rappela celui où, il n’y a pas si longtemps, j’avais fait la connaissance de Sabrina. Que de changements depuis ! À l’exception d’une seule que je jugeais assez quelconque, les femmes étaient très belles et avaient beaucoup de classe. Toutes portaient au cou un collier clouté muni d’un anneau rappelant que, si elles étaient là, c’était pour le plaisir de se soumettre, de n’être que des objets sexuels à l’usage de tous les mâles présents, y compris moi, désormais. Cette perspective me faisait déjà bander. De suite, deux d’entre elles avaient attiré mes regards : une superbe Noire dans un fourreau de soie bleue qui la dénudait plus qu’il ne l’habillait et une ravissante blonde à qui j’aurais donné quinze ans si je l’avais rencontrée dans la rue mais qui en avait, je l’appris plis tard, près du double. Le maître des lieux nous présenta en quelques mots :

— Chers amis, voici Sabrina qui deviendra une nouvelle esclave si elle réussit son examen de passage, tout à l’heure. Dans ce cas, nous lui ferons porter le collier des soumises et elle sera baptisée selon nos habitudes. Alors, Messieurs, buvez, buvez !LIRE LA SUITE

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