4- Florence, premières expériences...

Chapitre 4
jeudi 7 avril 2011
par  Jean du Berry
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Florence et Jean, se retrouvèrent au matin pour leur marche quotidienne.
Jean remarqua de suite que Florence portait une culotte et avait remis un soutien-gorge.

Elle lui dit qu’elle avait remis un soutien-gorge parce qu’elle avait mal aux seins et serait certainement indisponible pour la semaine.

Elle s’excusa auprès de Jean, celui-ci la prit par l’épaule, la serra contre lui en lui faisant des bisous et lui assura qu’il comprenait.
Jean lui demanda si elle se sentait en état de marcher.

Elle le rassura et se lança dans un grand soliloque à son intention.
Entre autres, elle lui dit, que sa maison qui auparavant lui faisait presque horreur, lui paraissait maintenant toute autre, désormais quoiqu’il arrive elle aurait de nouveau de bons souvenirs à se remémorer dans sa chambre à coucher.

Elle n’aurait jamais pensé faire l’amour comme ils l’avaient fait hier dans sa chambre, elle n’en revenait pas que Jean la trouve belle, l’aime, et ce malgré sa guêpière, ridicule, elle en convenait.
Jean, lui dit qu’il avait parfaitement compris, qu’il approuvait, comprenait et la remerciait de ce qu’elle avait fait, ils prenaient tous les deux un nouveau départ, alors autant le prendre sur les décombres d’une vie antérieure et ne pas chercher à se mentir ou s’illusionner.
Il la félicitait d’avoir choisit de conjurer et d’effacer, du moins il l’espérait, ses mauvais souvenirs et la remerciait de lui en avoir parlé.
Ils n’étaient pas des premiers communiants, avaient eu une vie avant, leurs enfants respectifs en étaient la preuve vivante, mais il savait, que tous les deux, ils étaient prêts pour repartir ensemble.
Florence lui rétorqua qu’elle ressentait la même chose, l’aurait peut être dit différemment.

En tout cas, elle le remerciait d’une chose, grâce à lui, sa période « grosse vache » où elle se sentait moche, ridicule, grosse, pas baisable, inutile était terminée, elle se sentait belle, désirable, il lui avait prouvé qu’un homme pouvait l’aimer pour elle-même.
Elle qui vivait refermée sur elle-même, ne sortait plus, n’avait quasiment en dehors de sa famille plus aucune vie sociale, avait envie de sortir, de rire, d’avoir des amis chez elle, bref de revivre.
Elle regrettait, elle qui pensait qu’elle était faite pour les grands blonds, au regard bleu acier et à la carrure d’athlète... (elle éclata de rire à la fin de sa phrase), de s’être fait avoir par ça... (elle le montra du doigt).

« Il est beau mon Roméo, transpirant pour perdre ses bourrelets, j’aime les grands blonds, il est brun, plutôt petit, si ça se trouve, il sent des pieds... non je l’aurais déjà senti et en prime c’est une boule de vice, qui ne pense qu’à me fouetter les miches ou les nichons, bravo ma grande, tu sais ce que tu veux.. et en prime tu l’aimes, pourquoi pas ?... »

Jean, chantonna : « … et je l’aimeu... c’est mon hommeu... ».

« Toi l’escroc, ça va ! »

« J’aurai du rester avec mes copines de table, vachées toute la journée à attendre de maigrir, mais non, il a fallu que je fasse la maline, que j’aille marcher avec « Mossieur », comme j’avais perdu l’habitude de marcher et que « Mossieur » est serviable, il m’a aidée, m’a attendue, a marché à mon rythme, m’a écoutée, m’a encouragée, m’a soutenue, et moi grosse gourde, j’en suis tombée amoureuse, et il fait quoi le « Mossieu », il me fout à poil, me flanque des coups sur le cul, m’encule, se fait sucer, me saute... et le pire c’est que j’aime ça..., en prime il m’annonce que je vais servir également de « vide-couilles » à une bande de sadiques comme lui, et moi brave pomme, je marche, dis oui... et en redemande, y a pas, j’suis pas normale... »

Jean applaudit.

Elle se rapprocha de lui, l’embrassa, lui enfonça sa langue dans l’oreille, puis lui chuchota « je t’aime, mon Nounours ! ».

Comme ils avaient, pris un sac à dos avec des bouteilles d’eau, et pas mal bu, pour ne pas faire mentir le proverbe « buvez, éliminez », il décidèrent de s’arrêter pour se soulager.
Florence, descendit son jogging l’enleva, enleva également sa culotte et offrant son sexe à la vue de Jean, dirigea son jet en urinant ;

« Tu adores ça, gros cochon, régale-toi, prends en plein les yeux... »

« Tu veux que, je... »

« Non, mais j’aimerais faire une chose « sale », j’aimerai te tenir le sexe quand tu pisses... »

Jean, un instant désarçonné par cette demande pour le moins insolite, accepta.

Il urina, le sexe guidé par Florence, qui lui secoua le sexe après qu’il eut fini sa miction en imitant la mère qui parle à son enfant « il a fini son gros pipi, le gros Nounours cochon » et elle entrepris de le branler.
Ils revinrent à la clinique, pour le déjeuner.
Après le repas, ils se rejoignirent dans la chambre de Florence pour leur sacro-saint café.

Ils décidèrent de s’allonger un peu et d’aller marcher ensuite.

Le portable de Jean sonna, « nous arrivons » fut sa seule réponse.

Florence demanda « qu’est ce qu’il y a ? ».

« Charles et Chantal sont en bas, ils sont passés me voir à l’improviste ».

Florence, répondit « Nounours, tu veux que je vienne ou que je reste dans la chambre », une claque sur les fesses fut la réponse, « c’est ça, et en attendant je te mets une burqa et te boucle, file te préparer et mets-toi à ton avantage, dans 10 minutes en bas, dans le parc, n’y passe pas l’après-midi... », un baiser appuya ces paroles.

Elle retrouva Jean et ses amis.

Charles était plus grand que Jean, plus massif, plus gros en fait, Chantal par contre était une petite femme blonde, menue, elle ne devait pas mesurer plus d’un mètre soixante et avait une silhouette de jeune fille, elle était vêtue d’un sweet largement échancré, d’un boléro, d’un bermuda qui la moulait.

Jean, la présenta, ils l’embrassèrent comme s’ils l’avaient toujours connue.
Ils décidèrent d’aller boire un verre dans un hôtel isolé, connu de Charles,
Ils montèrent dans son 4x4, les hommes devant, les femmes derrière.
Une fois le véhicule en route, Jean demanda : « mais au fait, vous n’êtes pas censés bosser vous le lundi ? ».

Chantal répondit que Charles devait passer des examens médicaux le matin et qu’elle n’avait pas de cours à assumer le lundi après-midi, (Chantal était prof).
Chantal prit le bras de Florence et lui demanda « alors c’est toi Florence, sa Peggynette d’amour, c’est donc toi qui a réussi à capturer le fauve, nous finissions par désespérer, et pensions devoir le supporter encore durant des années, le trip de l’ami de la famille...nôtre Tanguy... » elle éclata de rire.

Florence sentit la jalousie qui lui avait pincée le cœur, lorsqu’elle l’avait vue, avec sa silhouette de minette et la pensée qu’elle et Jean..., s’évanouir, cette femme était sympathique, drôle, charmante.

« Il respecte le régime ? » questionna Chantal.

Florence lui confirma qu’ils respectaient scrupuleusement de régime maison, sauf durant les deux derniers week-end, où ils avaient faits une entorse.

Chantal rigola, « ce n’est pas comme mon « Goretto d’amour » qui planquait de la bouffe dans le coffre de son auto, lorsqu’il était ici, bouffe que lui apportait son pote, assis à ses côtés, et oui les gars, j’étais au courant ».

Les deux hommes baissèrent la tête et prirent un air coupable.

« Nous avions une nouvelle à vous annoncer, vous êtes de mariage dans un mois et demi...

« Qui se marie ? » questionna Jean

« Sylvain et Lætitia, ils se sont décidés, je vais être grand-mère et ils préfèrent régulariser avant la naissance du bébé.
Sylvain est notre fils dit-elle à Florence, bien évidemment tu es invitée, Christelle pense qu’elle pourra venir avec Terry, ils espèrent rester environ un mois. »

Elle prit Florence par le bras et lui expliqua que Christelle était sa fille, qu’elle vivait au Canada, elle se destinait à être prof d’anglais, était en séjour linguistique pour sa licence et avait rencontré l’amour là-bas, du coup elle était restée, mais maintenant était prof de français, elle éclata encore une fois de rire... Elles continuèrent à bavarder et échanger des confidences.

Ils arrivèrent à l’hôtel, s’installèrent sur une terrasse et commandèrent des consommations.
Alors qu’ils se rendaient de la voiture à la terrasse, Florence n’arrivait pas à s’imaginer cette femme menue, presque frêle en soumise, elle avait jusqu’à présent pensé que les soumises étaient des femmes de sa corpulence, elle ne pouvait cependant s’empêcher d’envier la silhouette de sa nouvelle amie, car elle savait qu’elle avait désormais une nouvelle amie. Mais la savoir entre les mains, de ces deux costauds, voire d’autres hommes, dominée et elle y avait goûtée, sans qu’elle se casse en deux, la laissait incrédule...

Charles interrogea Florence, se renseigna sur sa vie, lui demanda comment elle envisageait l’avenir.

Florence répondit.

Ils avaient fini leur consommations, réglèrent et reprirent la voiture.
Ils prirent ensuite un chemin de terre et s’arrêtèrent dans un bosquet au sommet d’une colline.
Ils descendirent, Chantal dit à Florence, « aide moi ! »

Elle ouvrit le hayon du 4x4, elle sortirent une table de camping, quatre fauteuils, disposèrent le tout, Chantal attrapa une glacière, elle l’ouvrit et elles disposèrent des assiettes et des couverts.

« Je vous ai fait une salade de fruits, ne vous inquiétez pas, il n’y a pas de sucre, juste une larmichette de rhum, en boisson de l’eau ! »

Florence fut encore une fois touchée par la gentillesse profonde de cette femme, sa compréhension des choses.

Tout en mangeant, ils abordèrent le sujet qu’ils avaient en commun, le sm.

« Jean, nous a raconté comment vous vous étiez rencontrés et entendus, mais je pense que son récit est incomplet, il nous téléphone le soir pour nous donner de tes nouvelles, il est amoureux, il est pincé, l’ex-talonneur, c’est un gros sensible amoureux, ton « Nounours », tu peux nous donner ta version Florence ! »

Florence, raconta, raconta tout, répondant aux questions, elle expliqua, argumenta son désir de devenir une soumise, et surtout l’amour qu’elle éprouvait pour Jean qui lui avait rendu sa dignité.

Chantal s’exclama « dis donc, il y avait des trous dans ton récit, ’Nounours’.., draguer une femme en lui proposant de lui claquer le cul, t’es vraiment un gros malade toi.... ».

Elle se leva, prit une couverture dans le coffre, l’étendit et entreprit de se déshabiller.
Florence fut stupéfaite de voir ses seins percés et annelés, son sexe annelé auquel pendait une médaille et surtout sa silhouette quasi parfaite,en fait elle était beaucoup moins frêle que le laissait supposer son apparence.

Chantal s’allongea sur la couverture, « viens, Florence ! ». Lire la suite

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