Les pénitences de Marguerite

mardi 8 mars 2005
par  Remy
popularité : 1%
5 votes

Cette série de texte n’est pas de moi et date de 1997. Je l’avais trouvé sur un site situé au Québec. Ce site n’existe plus et je n’ai trouvé ces textes nulle part ailleurs sur le net. Il est dommage que ces textes se perdent.

Chapitre 1

Bonjour mon nom est Marguerite. Aujourd’hui je commence l’écriture de mon livre de chevet dans lequel je vais vous raconter ce qui m’est arrivé dernièrement. Mais d’abord laisser moi vous parler de moi. Je suis une femme de 38 ans mariée depuis 10 ans à un homme que j’aime. Je mesure 5’5’’ et on me dit toujours jolie. Malgré mon âge mes gros seins lourds aux aréole foncées et mes fesses ont su garder leurs fermeté.

Le travail de mon mari l’amène à voyager beaucoup et c’est justement lors d’un de ces voyages que mon aventure commence. Mon mari devait s’absenter pour une dizaine de mois. Il m’était impossible de le suivre à cause de mon travail. On avait alors décidé de louer la chambre que nous avions au sous—sol de notre maison d’Outremont ceci afin d’avoir quelqu’un pour me tenir compagnie. Le début des classes arrivait et comme nous sommes situés près de l’université de Montréal, on savait qu’il serait facile de trouver quelqu’un ou plutôt quelqu’une puisqu’un commun accord on avait décidé que la chambre serait louée à une étudiante seulement.

On avait placé l’annonce depuis deux jours lorsqu’une jeune fille de 20 ans nommée Julie c’est présentée à la maison. Cette jeune fille avait l’air bien et sérieuse. Elle était à sa dernière année en histoire à l’université et elle cherchait quelque chose de pas trop cher afin d’économiser de l’argent pour pouvoir voyager à la fin de ses études. On c’est plu mutuellement et trois jours plus tard elle aménageait. Six jours plus tard mon mari me quittait. Dans les jours qui suivirent une certaine proximité s’installa entre Julie et moi. Je n’avais jamais été attiré par les femmes mais je dois admettre que je la trouvais plutôt jolie. On partageait la même salle de bain et le même horaire, alors il n’était pas rare qu’on se retrouve toutes les deux nues en même temps. Je me surprenais à la regarder. Elle devait mesurer 5’7’’, les cheveux bruns aux épaules, des beaux yeux verts et sa peau était d’une belle couleur miel. Mais ce qui me frappait le plus c’était ses seins. Ils n’étaient pas très gros, quoi qu’elle n’avait rien à envier aux autres, mais sa taille de guêpe les faisaient très bien ressortir. J’avais moi—même une bonne paire de seins mais les siens sur sa taille menue me fascinaient. Ils étaient assez lourds et avaient à leurs centre de belles grosses aréoles foncées qui ressortait très bien sur sa peau couleur miel. J’étais loin de me douter à ce moment qu’un jour j’aurais à mériter ces seins qui me fascinaient.

C’était un vendredi soir un mois et demi après l’arrivé de Julie, cette dernière était sortie pour la soirée. Je m’ennuyais du sexe de mon mari, alors je m’étais étendue nue sur mon lit et je me masturbais avec un vibrateur que j’avais acheté peu après son départ. Le demi bouteille de vin prise au souper et les nombreux digestifs aidant je me sentais très chaude. Je m’amusais à pénétrer mon vibrateur dans mon sexe chaud de désir tout en étirant mes seins en tirant sur mes mamelons longs et durs. J’osais même m’enculer chose que je n’avais jamais permise à mon mari. J’aimais la sensation de ce vibrateur dans mon anus brûlant de désir. Je m’installais à quatre pattes sur le lit les fesses vers la porte et tout en masturbant mon gros clitoris je m’enculais avec le vibrateur. J’étais justement dans cette position lorsque j’ai soudainement senti une présence dans la chambre. Je me suis retourné et quelle ne fut pas ma honte de voir Julie qui était rentrée plus tôt que prévu

— Julie : alors madame passe une belle soirée

Dans son attitude j’ai tout de suite compris qu’elle avait tout comme moi pris quelques verres. Je me lève sans répondre pour aller passer une robe de chambre frustré de m’être fait surprendre juste avant de jouir

— Julie : ou vas—tu ? Pas question que tu passes une robe de chambre reste à poil et viens vers moi

Je suis outragé par sa demande, mais la boisson aidant et peut—être la frustration de ne pas avoir joui quoiqu’il en soit je me dirige nue vers elle qui est maintenant assise sur le bord du lit

— Julie : couche toi à plat ventre sur mes genoux

et sans attendre ma réaction, elle empoigne un de mes mamelons avec sa main et me tire vers elle. La douleur me surprend

— Marguerite : aille ! tu me fais mal lâche mon sein

Mais Julie plutôt que de répondre à ma requête continue de tirer sur mon sein et me force à me coucher sur ses genoux.

— Julie : on va punir ce beau cul que tu t’amusais à sodomiser. C’est pas une chose qu’une femme de bonne famille doit faire alors tu dois être punie par où tu as péché

Et sans attendre SCHLAAAAKKK Julie frappe mes fesses avec sa main droite. Même mon père ne ma jamais frappé de cette façon et encore moins mon mari.

— Mais arrête tu me fais mal qu’est qui te prend ?

Mais Julie ne m’écoute pas, SCHLAAAKKK, SCHLAAAKKK elle frappe fort mes fesses qui commencent à rougir. Je crie de douleur, les fesses me brûlent mais une chaleur bizarre commence à m’envahir. Je sens mes mamelons toujours durs de plaisir frotter sur le pantalon de Julie. Cette sensation m’excite, je sens ma chatte qui mouille de plaisir. J’ai honte de l’admettre mais si Julie continue je vais jouir dans cette position. Je me surprends à soulever les fesses afin de lui faciliter la tâche mais sans avertissement elle arrête de frapper.

— Je crois que madame est assez punie. Tes fesses sont maintenant d’un beau rouge vif. Ça t’apprendra à t’enculer comme une vrai salope. Allez lève toi je vais me coucher je suis fatiguée.

Je me lève et regarde Julie s’en aller sans jeter un regard en arrière. Le tout n’a pas duré plus de dix minutes et si ce n’était pas de mes fesses qui me font souffrir, on pourrait croire que j’ai rêvé tout ça. Je suis une seconde fois frustrée de ne pas avoir joui. Je regarde mes fesses rouges vifs dans le miroir, je repense à la sensation que m’a procuré cette correction. Jamais quelqu’un a été brusque avec moi, j’aime la sensation que cela m’a procuré. Je prends un mamelon est commence à tirer dessus. Je suis tellement chaude que c’est comme une décharge électrique qui me frappe. J’en peux plus, je me couche sur le lit et enfonce mon vibrateur le plus loin possible dans mon cul rouge de douleur ou de désir je ne sais plus. J’imagine que Julie me surprends de nouveau et qu’elle me corrige. C’est avec cette image en tête que je jouis comme jamais je n’ai joui avant.

Toute la nuit j’ai de la difficulté à dormir. Des images de femmes qui se font dominer se promènent dans ma tête. Je me réveille souvent en sueur chaude de désir, je me masturbe et me rendors après avoir jouis de ces images. Ce n’est qu’aux petites heures du matin que je réussis à dormir un peu d’un sommeil agité. En me réveillant le lendemain matin, je sens mes fesses qui me font encore mal. J’entends Julie qui est dans la cuisine probablement en train de déjeuner. J’ose pas me lever, j’attends qu’elle soit retournée au sous—sol pour enfin aller déjeuner. En arrivant dans la cuisine je remarque un message sur la table. Il y est écrit : « nous nous reverrons petite salope signé : Julie ». Je suis encore à me demander ce qu’elle veut dire en espérant même secrètement que ce « reverrons » signifie maintenant lorsque j’entends la porte extérieure se refermer.

Nous sommes samedi et Julie travaille toute la journée alors peut—être ce soir.LIRE LA SUITE


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Commentaires

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vendredi 27 août 2021 à 20h07 - par  Henic

C’est un peu outrancier, mais cette descente dans la débauche est plutôt bien contée.
Dommage que le mari n’ait pas trouvé comment s’introduire dans le désir de soumission de sa femme.

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