MARTINE et le sulky

Chapitre 4
mardi 10 mai 2016
par  Pierre René
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L’opération fut très simple : il a suffi de faire passer les deux branches de chaque coté de la pouliche et de fixer chacune d’elles par une sangle et un mousqueton à l’anneau situé sur la ceinture, de chaque coté du torse. C’est là que je compris pourquoi les branches étaient incurvées : attachées par leur extrémité à la ceinture au niveau de la taille, leur forme courbe permettait ensuite de contourner les rondeurs de la croupe de chaque côté des hanches. Les sangles courtes et tendues rendaient le couple sulky pouliche très solidaire. Le système était très étudié
Chacun prit place successivement sur le sulky pour essayer : doté d’un siège et de repose-pieds, nous étions positionnés suffisamment bas pour pouvoir profiter de la vue exceptionnelle sur l’arrière train de la pouliche et en particulier sur la chatte bien dégagée sous la queue dont les lanières étaient tirées vers le haut et dont on voyait le manche enfoncé dans le cul. C’était génial
Il fallait se pencher assez fort pour que l’embout de cuir de la cravache atteigne la croupe de la pouliche, en appuyant sur les repose-pieds. Ce faisant, les branches du sulky appuyaient sur les sangles, poussant la taille vers le bas et faisait cambrer la croupe : effet terrible.
Marc m’avait demandé la permission de filmer, je l’avais autorisé compte tenu du fait que l’on ne pouvait reconnaitre la femme ainsi attelée au sulky. Il s’engagea à ne pas filmer les males présents et commença immédiatement son porno-perso
J’avais attrapé une trique phénoménale, je sentais le sang battre dans ma queue comprimée dans mon slip. Je suppose que mes compères devaient être dans le même état
Jean nous expliqua alors ce qu’il avait imaginé : il alla placer trois « chapeaux de clown », ces cônes blancs et rouges utilisées par la DDE, dans le hall d’exposition. L’objectif étant de les contourner, sans les toucher, successivement par la gauche puis la droite et de réaliser le circuit dans le meilleur temps. Chaque driver aurait le droit à une saillie de la pouliche pendant son circuit. Le gagnant pourrait alors extraire la queue et profiter du petit trou bien préparé (quid de Pierre et son gros engin).
Aucune remarque, ni des drivers ni de la pouliche, tout le monde était donc d’accord
C’est Jean qui prit le premier départ. Il avait si bien préparé son scénario qu’on avait l’impression qu’il l’avait répété : coup de cravache bien senti et qui claqua comme un coup de fusil sur la fesse droite, cri strident de la pouliche mélange, je pense, de surprise et de douleur mais qui eut pour effet de faire démarrer l’attelage. Un deuxième coup, plus modéré sur l’autre fesse l’encouragea à accélérer un peu et ce fut très efficace
Les seins, non sollicités par les rênes ballotaient librement sous le torse. La croupe, décorée sur la fesse droite d’un triangle qui rougissait, souvenir du triangle de cuir garnissant l’extrémité de la cravache, promenait la queue de droite à gauche à chaque pas, tel un métronome. C’était un spectacle vraiment extraordinaire, la caméra de Marc n’en perdait pas une séquence
Au bout d’environ 5 mètres il fallait contourner le premier obstacle sur la gauche : Jean fit ralentir la pouliche par de petites tractions simultanées sur les deux seins. Très obéissante elle ralentit puis commença à tourner à gauche lorsque la traction se fit uniquement sur le sein gauche.
Il fallut quatre tractions pour effectuer totalement le quart de tour nécessaire pour reprendre la trajectoire vers le prochain obstacle, sans avoir touché le chapeau de clown. Disposer d’une telle surface pour évoluer était génial.
La pouliche répondait parfaitement aux sollicitations des rênes sur les seins, elle était très obéissante et, il semblait, bien dressée (elle avait bien écouté ou avait-elle répété ?). C’était vraiment un excellent choix d’avoir opté pour ce mode de pilotage par les seins qui se révéla très intuitif tant pour le driver que pour la pouliche
Avant d’atteindre le second obstacle, Jean fit stopper le sulky en tirant sur les deux rênes, les mamelons ainsi étirés allongèrent les seins, presque à toucher le ceinturon. Cette traction continue devait faire mal au niveau des aréoles et des pinces. Martine s’arrêta sans manifester le moindre cri ni aucune protestation - commencerait-elle à se sentir réellement dans la peau d’une esclave soumise à son maitre sans conditions ?
Jean descendit du siège et vint se positionner, à genoux, entre les branches du sulky, derrière la croupe qui se fit accueillante, se cambrant pour présenter une vulve qui me paraissait bien humide, à voir les poils brillants collés sur les lèvres. Jean attrapa la base de la queue et la remonta pour découvrir un peu mieux la couronne de petits poils entourant l’anus et l’entrée du vagin.
Il enfourna son sexe turgescent d’une seule poussée entrainant un AH !! Énorme émis par la pouliche qui se mit sur ses coudes pour bien profiter de la pénétration. A chaque poussée profonde au fond du vagin on entendait un gros soupir accompagné d’un râle, presque un ronronnement. Il fallait que Martine jouisse fortement pour se manifester ainsi. Jean voulait certainement profiter au maximum de sa saillie car il ralentissait régulièrement, se retirait, avant de replonger de plus belle. Quant à la pouliche elle devait apprécier à la fois la présence du male dans sa chatte et de la queue dans son rectum, profitant ainsi d’une double pénétration (à ma connaissance une première expérience pour Martine).
Comment pouvais-je laisser faire cela à ma femme ? Comment pouvait-elle se laisser traiter de cette façon, subir de telles humiliations un tel avilissement ? Je crois que sur l’instant nous ne nous sommes même pas posé la question
Par sa respiration accélérée et ses petits cris saccadés on pouvait deviner que la femelle approchait de l’orgasme. Jean accéléra son rythme faisant balloter en tous sens les seins dont les tétons frôlaient de temps en temps le carrelage faisant tinter les pinces. Puis, libre de toute contrainte, il déchargea dans le vagin déclenchant un cri rauque et prolongé, jamais entendu auparavant de cette femme en plein orgasme.
Après cette saillie, Jean remonta sur le sulky et obligea sa pouliche à écourter son orgasme pour reprendre la course par un coup de cravache bien senti sur chacune des fesses qui ne provoquèrent aucun cri, peut-être que les coups de cravache commençaient à se faire accepter et le dressage à se confirmer. Il termina ensuite son circuit en contournant sans soucis les deux derniers obstacles avec une totale maitrise de l’attelage et du guidage par les seins. Après avoir contourné le dernier, il y avait une ligne droite de 6 à 7 mètres pour revenir au point de départ. Jean en profita pour accélérer au maximum en distribuant de bons coups de cravache sur la croupe, prenant à chaque fois appui sur le marchepied et creusant à chaque fois le dos de la pouliche qui, à part quelques petits cris lorsque la cravache tapait plus fort, faisait de son mieux pour aller le plus vite possible.
Jean avait réalisé un temps de 17 mn tout compris, sans pénalité.
Nous avions convenu de laisser un temps de repos de 10 mn à la pouliche pour reprendre son souffle. Elle avait l ‘ensemble de la croupe rosie par une multitude de petits triangles qui se superposaient mais rien de bien méchant. Elle fut détachée de son sulky mais resta harnachée et eut la possibilité de se coucher sur un matelas gonflable prévu par Jean. Elle préféra rester à 4 pattes. Elle eut droit à une boite de Perrier posée au sol et qu’elle but avec une paille. Elle n’avait pas l’air trop fatiguée mais, je vous l’avais dit, c’est une sportive.
Marc continuait à filmer consciencieusement la pouliche ainsi au repos, à quatre pattes, aspirant avidement son Perrier avec sa paille, cadrant la croupe en zoomant la vulve aux grandes lèvres serrées entre les cuisses jointes, laissant ressortir légèrement l’ ourlet des petites lèvres, couvertes de poils collés, et la queue fichée dans l’anus.
Ce film nous fera un superbe souvenir
Après la période de repos, c’était le tour de Pierre. La pouliche fut de nouveau attelée au sulky mais, au lieu de prendre place sur le siège, Pierre se mit à genoux derrière la croupe, ne pouvant plus tenir son érection plus longtemps. LIRE LA SUITE

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