Harcèlement au bureau 1

lundi 14 avril 2003
par  Radar
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Chapitre 1

C’est le milieu de la matinée. Tu es dans ton bureau, plongée dans un dossier. Le téléphone sonne... C’est ton grand patron.

— Bonjour, Christine, voudriez—vous monter me voir ?

— Bien sûr, monsieur. A quel sujet ?

— Je vous le dirai quand vous serez là...montez donc.

— Bien, monsieur ; à tout de suite.

Tu es un peu étonnée, il est rare que le grand patron t’appelle, d’habitude tu as toujours affaire à ton chef de service ; il est arrivé que tu lui donnes des précisions sur des chiffres, des données, mais cela reste exceptionnel. Que veut—il cette fois—ci ? Peut—être une nouvelle tâche à te proposer...

Tu frappes à la porte de son bureau, son « Entrez ! » est un peu sec.

— Fermez la porte, asseyez—vous, je vous prie.

La voix est un peu plus agréable. Il est, comme à son habitude, habillé très élégamment, ses yeux bleus et ses cheveux grisonnants concourent à son charme de quinquagénaire. Si ce n’était pas ton patron... Toutefois, tu es quand même un peu inquiète, c’est un gestionnaire efficace mais peu sensible. Mais comme tu n’as rien à te reprocher...

— Je voudrais vous parler de la journée du 8 mars....

Le 8 mars ? qu’est—ce qui s’est passé ce jour—là ? Il y a plus d’un mois ?

— Oui..., tu acquiesces sans comprendre, étonnée. Il y a un problème ?

— Oui, Christine, il y a un problème. Vous ne voyez pas ce que je veux dire ?

Non, tu ne vois pas. A moins que... oui, c’était le jour où....mon Dieu, il ne doit pas savoir...

— Je...non, monsieur..

— Vous avez reçu quelqu’un, ce jour—là.

— Vous savez qu’il m’arrive de recevoir quelques fournisseurs de temps en temps...

— Celui—là était, semble t—il, très spécial pour que vous fermiez à clé la porte de votre bureau...

Mon Dieu ! IL SAIT ! Il sait ce qui s’est passé ce jour—là ! Tu rougis instantanément, ce qui trahit ton émotion au souvenir de ces moments—là...quand ton amant t’a couchée sur le bureau et t’a doucement sodomisée...Ton trouble est immédiatement mis à profit par le patron :

— Je vois que vous avez de meilleurs souvenirs...Pouvez—vous me donner une explication ?

Tu baisses les yeux et dis d’une voix faible :

— Je...je vous assure que cela ne se reproduira pas, monsieur ; je suis...désolée.

— Pas autant que moi, Christine, pas autant que moi...d’autant que ce jour, vous êtes rentrée en retard, et que vous avez reproduit cette...visite...deux fois depuis...le soir...est—ce exact ?

Tu es abasourdie. Comment sait—il ? Tu tentes de minimiser l’incident ;

— Je...oui, mais c’était en dehors des heures de travail...

— Mais vous avez omis d’aller pointer, n’est—ce pas ? Donc vous avez fait des heures supplémentaires et je vous ai payées pour baiser...

Le mot te choque ; c’est pourtant vrai ! Tu as été payée pour baiser. Tu ne cherches plus à dissimuler ton trouble : de grosses larmes coulent sur tes joues et tu balbuties des mots d’excuse qui sonnent creux :

— Je suis désolée...je vais mettre un terme à cela...je vous prie de m’excuser...

— Assez pleurniché, Christine ! Vous me mettez dans une situation inconfortable : Que vais—je faire de vous ? Dois—je garder une employée qui passe une partie de son temps de travail à baiser ? Dois—je vous licencier ? Qu’en pensez—vous ?

Licencier. Ca y est, le mot est lâché. Tu trembles d’appréhension. Ces moments de plaisir volés au bureau ont un prix...malgré tout, tu ne veux pas perdre ton emploi :

— Je...je ne sais pas, monsieur. faites...ce que vous voulez.

Il te regarde avec un léger sourire :

— Eh bien, je vais créer un nouveau poste d’assistante de direction. Et j’aimerais que vous acceptiez ce poste.

Etonnement, stupeur. tes larmes s’arrêtent, tu ouvres de grands yeux en le regardant. Il plaisante ou quoi ?

— ...Je.……..

— Bien entendu, vous serez augmentée, d’environ 30% sur le brut.

Tu restes bouche bée. c’est pas possible, tu vas te réveiller, il ne parle pas sérieusement...tu soupçonnes une entourloupe.

— Mais...en quoi consistera mon travail ?

Il se lève et fait le tour de son bureau, pour arriver près de toi, et pose la main sur ton épaule.

— Vous allez me sucer la pine, Christine, dit—il d’une voix froide en débouclant sa ceinture. Et vous allez tout avaler comme la bonne salope que vous êtes. Dépêchez—vous avant que je ne vous punisse plus efficacement. LIRE LA SUITE



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