Ma collaboratrice

Chapitre 4
vendredi 10 novembre 2006
par  Bluetit
popularité : 1%
7 votes

Arrivée chez elle, je repris donc les commandes afin de ne pas perdre la mainmise sur Delphine, et ainsi poursuivre son initiation à la soumission.
Pour ce faire j’exigeai qu’elle passe commande auprès d’un traiteur japonais afin que nous passions au plat de résistance, en d’autres termes s’occuper d’elle.
— Avant que notre dîner n’arrive, je voudrais que tu te prépares.
— D’accord, mais je présume que tu veux que je m’habille de manière osée. Non ?
— Regarde la tenue dans laquelle tu es. Le plus simple c’est que tu te foutes à poil tout simplement.
— Mais je ne vais pas accueillir le livreur comme cela tout de même ?
— Non bien sûr que non. C’est trop naturel et pas assez pervers je te l’accorde. As-tu un tablier dans la cuisine ?
— Oui.
— Alors tu vas enlever tous tes vêtements, même ton porte-jarretelles, mais conserver tes bas. Tu mettras par-dessus le tablier.
— Mais les bas vont tomber s’ils ne sont pas maintenus.
— C’est tout l’intérêt. Mais ne t’inquiète pas ce n’est pas la seule préoccupation que tu auras.
— Pourquoi vous dites cela ?
— Tu vois ce miroir, je vais le placer en face de la porte. Ainsi le livreur aura d’un coup d’œil le recto et le verso de la garce que tu es.
— Mais si je le connais, quelle image vais-je avoir dans le quartier ?
— Celui d’une femme dépravée. Mais rappelle-toi que c’est le type de femme que je recherche, alors acceptes-tu ou non de poursuivre, tel est la principale question ?
— Oui…, oui, je le ferais.
Elle commença alors à se dévêtir, n’osant lever la tête de peur de croiser mon regard et mon large sourire barrant mon visage. J’exprimai la joie de voir que la femme banale, que je côtoyais au bureau et que j’avais baisée le temps d’un séminaire, pourrait peut-être s’avérer être la femme que je recherchais. Certes, elle n’était pas un mannequin, mais du haut de son mètre soixante-cinq, avec ses seins en forme de poire, et ses fesses rondes et légèrement marquées par la cellulite, je commençais à ressentir une excitation profonde et diffuse.
Je percevais l’envie de pincer ses tétons ou de lui claquer ses « petites » fesses afin de la pousser à réaliser mes fantasmes les plus pervers. Et je ne sais trop pourquoi, je réalisai qu’elle n’attendait que cela. Certes elle avait peur, peur de le faire, mais aussi peur de goûter au plaisir de s’avilir ainsi devant moi.
Ces méditations passées, elle était désormais vêtue si l’on put dire de ses bas et s’apprêtait à aller chercher ledit tablier. Je revins à la charge.
— Attends !
— J’allais chercher le tablier.
— Avant tu vas me faire faire un tour de ta maison. J’ai envie d’un tour original je dirais même.
— Pourquoi cela ?
— Tu vas mettre les mains dans le dos. Je veux que tu gigotes tes nichons à droite ou à gauche avant de m’expliquer ce qui se trouve derrière la porte. De plus, chaque endroit où tu as fait l’amour tu devras me l’indiquer en me faisant une petite gâterie. Tu as compris ?
— Oui
— C’est bien, mais je n’ai pas fini. J’ai une autre volonté.
— Laquelle, Fabrice ?
— Arrivé à la salle de bain, tu te raseras la chatte. LIRE LA SUITE


ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
- d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
- d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)

ALLOPASS OU PAYPAL
OFFRE DECOUVERTE (1 jours)
ABONNEMENT 7 JOURS
ABONNEMENT 15 JOURS
ABONNEMENT 1 MOIS





ABONNEMENT 3 MOIS





ABONNEMENT 6 MOIS





SE DESABONNER


Entrez votre pass abonné

OFFRE DECOUVERTE (code valable 1 jours seulement)


Commentaires