« Eh bien, mes petites putes. Combien d’argent avez-vous gagné pour moi ? »
Nous donnons nos enveloppes à la Maîtresse et elle demande à Monica de compter l’argent.
« Kristy a deux cent quarante dollars de plus que Lynne, Maîtresse. »
Le visage de Kristy s’illumine.
« Un autre point pour toi, Kristy, lui dit la Maîtresse en lui tapotant affectueusement la tête. »
Puis elle saisit une poignée de cheveux de Kristy et la tire vers elle. Kristy crie, de peur autant que de douleur.
« Comment as-tu gagné ton argent, petite pute ?
— Comme danseuse, Maîtresse, et…
— Et comment t’avait-on dit de gagner de l’argent ? Qu’est-ce qu’on t’avait ordonné d’être ? »
La voix de Maîtresse est basse et en colère.
« Une serveuse, Maîtresse, une serveuse aux seins nus… »
La Maîtresse la jette au sol.
« Espèce de petite pute désobéissante. »
Le point est à moi. D’après ce que j’ai pu comprendre, Kristy a encore un point d’avance de moi. Mais ce concours est loin d’être terminé. Si Kristy continue à merder comme ça, je devrais gagner facilement. La Maîtresse est à nouveau absolument furieuse contre elle.
Nous nous douchons dans des salles de bain séparées, revêtons nos petites tenues blanches d’esclaves et on nous ramène dans nos cages. Il est tôt le matin, et lorsque que je suis allongée sur ma couchette, il me vient à l’esprit que les femmes comme nous sont des créatures nocturnes, nous dormons toute la journée et sortons la nuit pour être utilisées. Je suis fatiguée, trop fatiguée pour entrer dans une autre discussion de salopes avec Kristy.
« Tu es une stupide putain de salope, Kristy, dis-je avec dédain, et je me retourne pour ne pas avoir à la regarder. »
Je m’endors en écoutant Kristy qui sanglote doucement, allongée sur sa couchette. Je me suis réveillée par la morsure de la cravache de Monica.
« Lève-toi salope, grommelle-t-elle grogna en me frappant sur les cuisses et le cul. »
Puis elle entre dans la cage de Kristy. Kristy est réveillée et assise sur sa couchette, elle apprécie le bruit de la cravache sur mon cul, et prend plaisir à me regarder me tortiller et à m’entendre crier.
« Salut Monica, dit Kristy, les yeux pleins de désir. »
Je connais bien l’expression passionnée sur le visage de Kristy. C’est la façon dont elle me regardait quand nous étions amantes ; mais tout cela semble si lointain, maintenant.
« Mets-toi par terre, espèce de salope stupide, lui dit sèchement Monica.
— Quoi… »
Monica tire Kristy de sa couchette par les cheveux et la jette par terre.
« Mets-toi à genoux quand on te l’ordonne, saloperie de pute.
— Oui Mademoiselle… répond Kristy, effrayée par le regard dans les yeux de Monica. »
Monica fait mettre Kristy à genoux et dispose son cul en l’air. Kristy gémit à chaque fois que l’extrémité en cuir de la cravache mord la peau douce de son cul.
« Tu as encore merdé, espèce de putain de salope, crie Monica en la fouettant. Ne déconne plus, Kristy !
— Je ne le ferai plus, je suis désolée, crie Kristy alors que la cravache la frappe quinze ou vingt fois en coups rapides et cuisants. Merci de m’avoir punie, Mademoiselle. Je mérite d’être punie. »
La cravache laisse sa marque partout sur son cul. Kristy sent l’extrémité de cuir courir doucement sur sa peau. Elle la frappe d’un autre fort coup cinglant, puis Monica la brandit d’un air menaçant devant son visage.
« Embrasse-la. »
Kristy passe sa langue sur le bout de cuir et l’aspire dans sa bouche.
« Tu vas passer beaucoup de temps à genoux avec le cul en l’air si tu déconnes encore, Kristy.
— Je ne merderai plus, Mademoiselle, répond Kristy alors que sa langue effleure le bout en cuir. Je promets que je ne vous décevrai plus… Et si je gagne le concours et que la Maîtresse me garde, je serai toujours à vous aussi. Je vous l’ai promis et je le pense, Mademoiselle. Je serai à vous pour faire ce qu’il vous plaira si je gagne. Vous aurez votre esclave personnelle quand la Maîtresse ne nous utilisera pas.
— Tais-toi, salope stupide, l’interrompt Monica en frappant Kristy à l’extérieur de sa cuisse. »
Kristy jure de douleur.
« Je ne vais plus tout foutre en l’air, Mademoiselle, je vous promets, je ne vais plus tout foutre en l’air… »
Je regarde Kristy plaider pour qu’on lui pardonne et pour qu’on arrête de la fouetter. Elle a proposé d’être « l’esclave sur le côté » de Monica si elle gagne. Ma première pensée est de le dire à la Maîtresse ; mais elles le nieront toutes les deux et je serai punie. Je ne peux rien faire sur ce point. Mais cela me conduit à me demander quelles autres astuces emploient la petite salope pour gagner le concours. LIRE LA SUITE