Rendez-vous

jeudi 29 novembre 2012
par  domfel69
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Ton téléphone vibre. Tu sursautes. C’est un SMS : « je t’appelle dans 5 minutes, sois dispo ! ». Aïe, tu n’avais pas prévu que je t’appelle aujourd’hui. L’excitation se mêle à une certaine peur. Tu sais que je peux te demander n’importe quoi...
Tu t’arranges pour être seule et tranquille. Ton téléphone sonne, tu décroches sans hésiter.

— Bonjour toi, en forme ?
— Oui, ça va, et toi.
— Parfait. T’es habillé comment ?
— (Petite voix) Jean, Tee-shirt, chaussures plates.
— Aie. Ça va te coûter cher ! J’imagine que dessous c’est à l’avenant ?
— Oui...
— Et tu as mon rosebud ?
— Oui dans mon sac.
— Tu rigoles, tu crois que je te l’ai offert pour que tu l’enfouisses au fond de ton sac ?
— ...
— Alors écoute-moi : tu vas aller chercher ton rosebud, tu vas aller aux WC, tu te le mets, t’en profites pour enlever ta culotte et ton sous-tif. A midi je passe te prendre.
— Oui
— A tout à l’heure.

Une fois raccroché, tu retournes à ton bureau, tu prends ton sac, direction les toilettes. Une collègue te demande « ça va ? tu as l’air toute chose ». Machinalement tu réponds « Oui oui », mais au fond une petite boule se pointe. Tu sais qu’à 10h tu as une réunion avec ton chef et 2 ou 3 autres cadres. Sans culotte et avec un rosebud dans le petit trou c’est déjà pas facile, mais sans soustif tu sais que tous les mâles en présence n’auront d’yeux que pour tes tétons.

Mais impossible de passer outre, tu sais que tu n’arriverais pas à me mentir. Et puis surtout tu adores ça, susciter l’excitation autour de toi.

La fin de matinée approche. La réunion s’est passée tant bien que mal. Ton minou palpite a chacun de tes pas. Tu sors, je t’attends à la sortie. Sans un mot tu me suis.

Au premier hall d’immeuble, je te prends par le bras et t’attire à l’intérieur. Ma bouche trouve la tienne. Je te souffle « Bonjour ma belle ». Puis je te retourne face au mur. Mes mains se posent sur tes seins. Je sens tes tétons bien tendus. « Bien, vérifions en bas maintenant... ». Mes mains glissent, je fais sauter ton bouton de jeans. Une main devant, une autre derrière, l’assaut provoque chez toi un sursaut, tu pousses un petit cri. « Et bien ma cochonne, t’es prête à ce que je vois, mais va falloir un peu patienter, j’ai réservé une table avant »

Nous ressortons dans la rue. Direction le resto. En chemin tu me racontes ta réunion. Ton excitation monte encore d’un cran.

Au resto on a une table à l’écart. Je n’arrête pas de te titiller. Avant de partir je te dis « Je vais payer, en attendant tu vas aller aux toilettes. Tu enlèves ton rosebud, tu me le ramènes. Mais à la place tu mets ça ! » Et je te tends un petit sac. Je t’empêche de regarder dedans.

Tu te diriges vers les WC. Tu fermes la porte et tu baisse ton jeans, tu enlèves tout doucement ton rosebud. Puis tu ouvres le sac et tu découvres de belles boules de geisha, d’une bonne taille. Tu te demandes si elles vont entrer ? Tu te cambres un peu, tu présentes la première, tu appuies dessus doucement, elle s’enfonce. Arrivée au milieu tu grimaces un peu, donnes une dernière poussée avec le doigt et, magie, la boule disparaît. Tu recommences avec les 2 suivantes, tu te dépêches un peu pour ne pas te faire gronder. Cette fois elles y sont toutes. Tu refermes ton jeans. Ton premier pas est un supplice, tu gémis et te dis que tu n’arriveras pas à marcher sans éveiller les soupçons. Mais tu es forte, tu me rejoins l’air juste un peu plus crispé qu’à l’habitude.

Je t’embrasse et souhaitons bonne journée à la compagnie.

Une fois dans la rue, tu me confies ton trouble. Heureusement nous ne sommes pas loin de chez toi. Nous entrons sans tarder, tout juste ais-je commencer à te déshabiller dans l’ascenseur.

La porte a peine refermée je t’arrête : « Déshabille-toi ! » Tu ne te fais pas prier. Une fois nue devant moi, je te tourne afin de voir ton cul. Magnifique ! « Mets-toi à quatre pattes ! » Tout doucement tu obtempères. « Bras à plat, visage contre le sol ! » Ainsi, les fesses pointées vers le ciel, je te regarde. Le petit anneau attaché au fil des boules de geisha pendouille gentiment contre ta chatte.

Je passe à côté de toi et je vais m’asseoir dans le canapé. « Viens ici, à quatre pattes, et n’hésite pas à tortiller des fesses ! » Tu relèves la tête mais sans lever les yeux. Tu avances doucement et tu n’as pas beaucoup à te forcer pour remuer les fesses, les boules t’y aident beaucoup. Tu arrives devant moi et tu t’arrêtes.

« Regardes moi ! » Tu lèves les yeux, je me penche et t’embrasse goulûment. Je me redresse et fais sortir ma bite déjà bien dure. « Mange-moi mais sans les mains ! » Ta bouche experte avale mon sexe, ta langue commence ses mouvements de succion, ta tête monte et descend, vite, puis doucement. Je pose ma main sur ta tête et la maintiens, mon sexe est entièrement dans ta bouche. Je te tiens ainsi quelques secondes, puis je relève ta tête d’un coup en tirant sur tes cheveux. Je te regardes, tu es tout simplement belle ainsi, la bouche grande ouverte pour reprendre ton souffle, un peu de bave te relie à mon sexe.

Je me lève et repose ta tête sur le canapé. J’attrape une corde et un foulard. Je t’attache les bras dans le dos et te masque les yeux.

Puis je me déshabille, m’accroupis derrière toi. Sans prévenir ma langue plonge dans ton sexe, aspire ton clito. Tu jouis ! Avec mon doigt je tiraille un peu sur l’anneau des boules de geishas. Tu jouis encore.

Je me relève et je te pénètre. Mes mains écartes tes fesses pour bien que je vois ce fil disparaître dans ton petit trou. Je commence mes mouvements, et en même temps je tire un peu plus fort sur le fil. La première boule se présente. J’arrête de bouger, tire encore sur le fil, la boule arrive au milieu, et hop elle sort d’un coup, et dans la même seconde je redonne un coup de rein. Je continue ce petit jeu jusqu’à ce que toutes les boules soient sorties.

Une fois ton cul libéré, je te fais basculer. Tête en bas, tes fesses en appui sur le canapé, tes jambes de chaque côté de ta tête. Ton petit trou bien ouvert me fait des clins d’œil. Je t’encule sans autre forme de préparation. Tu jouis à nouveau. Tout en défonçant ton petit cul, je branle sévèrement ton clito. Je finis par éjaculer à l’orée de ton trou.




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