MII

Episode 20
mardi 18 août 2009
par  lahoule
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MII n’a aucune conscience du temps passé au moment de son réveil. Elle s’est endormie dans le noir et se réveille dans le noir. Cela fait tellement longtemps qu’elle n’a plus vu la lumière qu’elle a presque l’impression que sa vie se déroule dans cette obscurité à la fois inquiétante et à la fois bienheureuse. Inquiétante par les incertitudes et la dépossession d’elle-même et bienheureuse parce que tout ce qui lui arrive, elle le vit comme dans son imagination. Cela pourrait être des fantasmes, les effets de ce qu’elle subit dans sa soumission sont bien réels. Ses mains immobilisées, ses jambes en permanence ouvertes toutes les nuits, son sexe disponible à qui le veut, les battements de son cœur dans son sexe, dans son œillet sont très éloignés du fantasme et constituent une réalité bien tangible. Elle est dans sa condition, l’a subie au début, s’est un peu révoltée par la suite et soudain, tout a basculé…

Elle est capable de se délecter de ce qu’elle est devenue en l’espace de si peu de temps. A l’évocation du chemin parcouru, elle en frisonne et se trouble.

— Comment se peut-il que je me retrouve si vite esclave de mon maître dans un château aux confins de l’Ecosse, alors que je suis sensée attendre mon amant pour partir en vacances… ?

— Alors, on a bien dormi ? entend-elle alors qu’elle sent un doigt fouiller son intimité.

— Mmmmm, déjà trempée ! Bravo, l’éducation a du bon ! Mais si tu es mouillée, c’est que tu as eu des pensées cochonnes !

— Non, pas le fouet !

— Et tu parles en plus ! Sur ce côté-là, tu n’as pas beaucoup progressé ! Au travail, José !

Et déjà les coups pleuvent sur les fesses de MII qui avaient retrouvé un peu de calme. Immédiatement les brûlures communiquent avec son sexe, son œillet et en bien peu de temps, c’est une première jouissance qui la saisit !

— Ahhhhhh ! Arrêtez, prenez-moi, je brûle !

— Magnifique ! Vous voyez, José, à quelle vitesse elle s’embrase ! On en a fait une avide, une goulue...

— Une belle goulue, Monsieur !

— Vous voulez la prendre ?

— Je ne sais si j’ose, vous savez, avec mon sexe !

— Pas de problème, allez-y, ce sera difficile au début, mais je vous parie que très vite elle en redemandera, c’est devenu une vraie cochonne !

MII se sent libérée aux jambes et on la force à se mettre à genoux !

—  Alors on veut être prise, alors tu vas être servie !

—  Allez José, comblez sa demande !

MII est saisie à la taille par des mains de bûcherons et n’a pas le temps de réaliser que déjà elle hurle !

—  C’est trop gros, vous allez me déchirer !

—  Tu voulais qu’on te prenne et tu es satisfaite !

—  - Ne ralentissez pas José quels que soient ses cris !

—  Aaaaahhhhh ! Aaarrêtez ! C’est troooop groooos !

—  Poursuivez José !

—  Aaaaaahhhhh !

Et progressivement, l’énormité poursuit son œuvre. Heureusement que MII était si troublée, sans cela la pénétration serait un supplice. Peu à peu, à force de contorsions, de mouvements des reins, des hanches, le sexe trouve sa place en la distendant complètement !

—  Aaaaaahhhh ! C’est troooop ! Arrêtez, je n’en peux plus !

—  Alors, on se rebelle encore ?

—  Non, je ferai tout ce que vous voulez !

—  Bien ! Alors José, poursuivez avec énergie !

—  Je peux, Monsieur ?

—  Faites et prenez votre plaisir !

Le sexe, si difficile à pénétrer glisse maintenant entre les lèvres proches de la rupture, et le sexe qui taraude MII se fraie un chemin qui commence à nouveau à la troubler….

—  C’est pas possible ! Oh, nooooon ! Je ….

—  Quoi, on ne te comprend pas !

—  Je ….

—  Tu ?

—  Aaaaahhhhhh ! Ce n’est pas poooossiiiiible !

—  Vous voyez, José vous avez bien fait d’insister, elle coule, elle jouit comme une traînée !

—  Oh, Monsieur, c’est tellement bon, il y a tellement longtemps que je n’ai pu enfiler ma queue dans un sexe, tellement ma queue est grosse !

—  Il ne faut jamais dire jamais, José ! Il fallait trouver à votre taille simplement ! Allez, José, profitez-en !

—  Merci, Monsieur !

Et José de se précipiter dans le tréfonds de MII. Il ressort complètement du sexe qui reste béant avant de replonger tel un soudard sur son adversaire !

—  Aaaaa hhhhhh ! C’est …..

—  C’est comment ?

—  Aaaaahhhhhh ! C’est boooon ! Affreusement booon, je jooouis ! Aaaaaaahhhhhhh !

José se laisse alors totalement aller, crispe ses mains sur la taille de MII et poursuit sa pénétration infernale qui mène MII au bord de la folie…

—  Ca y est, Monsieueueueueueueuer !

Un torrent de sperme inonde le sexe de MII en pleine jouissance !

C’est le moment que choisit le maître pour redonner du fouet sur les fesses !

—  Aaaahhh ! C’est fort, mais c’est boooon ! J’aiiiiiime ! N’arrêtez pas ! Oooooooh mon dieu ! Où suis-je ? Au secours, je n’arrive plus à respirer ! C’est trop fort ! trop bon ! Ne me laissez pas ! Encooooore !

—  - Tu as compris maintenant ce que tu es ?

—  Oui, je suis à vous pour toutes les minutes, les heures, les jours que je vis ! Je ne veux plus rien d’autre que ces folies !

—  Alors tu acceptes ton destin ?

—  Ouiiiiiii, crie MII dans une nouvelle jouissance, au moment où les lanières du fouet atteignent son clitoris !

—  José, vous pouvez vous retirer.

—  Monsieur, pourrai-je encore l’enfiler, puisque c’est la seule qui est en mesure de m’accepter ?

—  Sans doute, oui, quand elle reviendra au château, parce qu’elle va nous quitter, les premières étapes de son éducation sont achevées !

—  Dommage, Monsieur, je l’aurais prise au moins dix fois par jour pour rattraper tout le temps que je n’ai pu faire l’amour à une femme !

—  J’en conviens, mais c’est comme cela ! Venez, maintenant, laissons-la aux mains des servantes qui vont la préparer pour la dernière soirée qui promet d’être inoubliable !

—  Elle est belle comme cela, attachée, ouverte dégoulinant de mon sperme. Elle en a partout, ses fesses luisent et le rosé du fouet lui va à ravir !

—  Vous êtes un esthète, José ! Allons, venez, laissons-là aux mains de Carmen qui va la préparer pour tout à l’heure !

MII retrouve le silence de sa nuit, les infinies sensations qui la traversent, son étonnement toujours renouvelé face à ses capacités de tolérance et les troubles de son corps. Cependant, les jouissances ont été telles qu’elle est incapable de faire autre chose que de vivre en elle, dans ce corps qui est à même de la transporter dans des sphères jusque là inconnues. Elle ne bouge plus, respire à peine, tout en écoutant son cœur battre dans les parties les plus intimes de son être, celles qui ont été si sauvagement mises à contribution. Elle a l’impression de vivre par son sexe perpétuellement distendu, sa peau si chaude d’avoir été fouettée.

—  Alors, encore en train de rêver ?

—  Carmen, ils vont me rendre folle tellement ils arrivent à tirer de mon corps des sensations fortes !

—  Tu ne fais que réaliser quelle femme tu peux devenir lorsque l’on se charge de toi efficacement !

—  Je ne suis pas pire qu’une prostituée !

—  Bien sûr que si, la prostituée le fait pour de l’argent, toi tu le fais par plaisir !

—  Mais, j’ai honte de moi !

—  Allez, la honte est vite passée, quand le plaisir est si fort !

—  …..

—  Trève de plaisanterie ! On va te libérer pour te préparer !

Carmen entreprend de défaire MII, l’aide à se lever pour l’entraîner vers la salle de bain.
Rituellement, elle rattache MII aux barres fixées au carrelage et l’arrose copieusement à l’eau glacée, comme elle le lui fait d’habitude.
Jamais MII n’arrivera à se faire à ce grossier traitement et elle ne peut s’empêcher de hurler de froid !

—  Je déteste ! Vous êtes des sadiques !

—  Allez, un dernier effort avant le massage !

Jusqu’au bout MII doit supporter ces effets glacials sur sa peau si douce.

Carmen la prend par la main pour l’étendre sur la table de massage ! Table est un bien grand mot pour une espèce de grande croix qui la force à être toute ouverte, face au miroir ! Elle peut contempler sa peau légèrement rose en raison des réactions à l’eau froide, son mont de Vénus, pratiquement glabre, ses lèvres qu’elle aperçoit et qui sont comme un rideau de soie sur son sexe. Elle les observe minutieusement et ne peut s’empêcher de repenser aux émois qu’est capable de lui procurer cette région apparemment si fragile, mais en même temps si résistante aux frottements, aux caresses appuyées dont elle a été l’objet et surtout aux lanières du fouet qui si souvent ont léché la cyprine qui ne manque de couler à la moindre émotion sexuelle. Même maintenant qu’elle y pense, elle sent la sève monter, le désir revenir !

—  Je suis sûre que tu es de nouveau en train de rêver !

—  …….

Carmen joint le geste à la parole et glisse un doigt examinateur dans sa rose !

—  Ce n’est pas possible, tu es à nouveau mouillée ! T’es une vraie cochonne, tu ne penses qu’à ça !

—  Ce n’est pas ne ma faute, tout ici n’est fait que pour me troubler, me contraindre et finalement me faire jouir. Chaque pensée, chaque geste, ne font que me ramener à ça !

—  Magnifique, décidément ton maître a de la chance, il va vivre de folles aventures avec une femelle comme toi ! Ne bouge pas, je te crème le corps maintenant !
Le lent massage de chaque recoin de sa peau avec la pommade diabolique commence. Immédiatement le corps de MII réagit et sa peau se dilate, elle s’ouvre comme une corolle.

—  Ce n’est pas possible, tu me rends folle, ça me chauffe partout. J’ai déjà envie !

Alors Carmen tire à elle un petit chariot sur lequel est disposé un nouveau corset.
MII n’en a jamais vu comme celui-là. Il est immense, rigide comme une armure.

—  Tu veux me faire enfiler cela ?

—  Je t’en pose des questions, moi ?

—  Donne tes poignets !

MII est attachée les bras écartés à l’étrier de la salle de bain.

—  Bon ne bouge plus maintenant !

Carmen se saisit du terrible corset et le ceint autour du corps de MII. Elle le ferme d’abord autour de la taille sur les buscs qui courent du pubis jusque sous le cou. Ses seins sont soulevés, pigeonnent et progressivement emprisonnés à l’exception de ses tétons. Le corset se ferme complètement autour de son cou. Sans avoir été encore lacée, MII est devenue totalement statufiée.

—  Je vais maintenant te lacer !

—  C’est terrible !

—  C’est pour te rendre plus belle encore !

—  Je ne vais plus pouvoir bouger !

Carmen se saisit alors de deux énormes faux sexes.LIRE LA SUITE

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