Nolwenn

jeudi 15 mai 2014
par  Talis Cat
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6 votes

Nolwenn avait bien grandi depuis le premier jour où je l’avais vue. Je me rappelle encore quand sa mère, Aline, était venue s’installer chez moi. Elle était devenue ma chienne. Je lui avais donné un nom, Alice. J’aimais le fait que les deux noms fussent si proches, me permettant de l’utiliser devant ses amis et même sa fille. J’avais souvent été tenté de faire de la fille le digne successeur de sa mère. Mais cette dernière avait toujours refusé. C’était son seul droit en tant que soumise et je l’avais respecté. Du moins jusqu’à ce jour…
Aline était encore au travail ce soir-là, un travail très spécial... Nous mangions face à face, Nolwenn et moi. Tout d’un coup elle m’a dit :
— Je pourrais être comme Maman ?
Je fronçais les sourcils :
— Que veux-tu dire ?
Elle s’est levée lentement, s’asseyant sur la table, à côté de moi. Elle avait une jupe très courte et ses cuisses m’appelaient. Je bandais déjà. Elle dit alors :
— Je sais ce qu’elle est. Je sais pourquoi tu l’appelles Alice…
— Je ne vois pas ce que tu veux dire.
— Comme tu veux. Ça n’a pas d’importance.
Nous sommes restés silencieux. J’ai continué à manger et elle me fixait du regard. Enfin elle a dit :
— Baise-moi.
— Je ne peux pas.
— Pourquoi ?
— C’est dans le contrat de soumission de ta mère. Je ne dois pas utiliser ma position pour te sauter.
— Et alors ? Tu n’utilises pas ta position : c’est moi qui veux devenir ta chienne.
Je réfléchis un instant. Ma main se posa sur sa cuisse et elle frissonna. Je murmurai :
— Je ne sais pas…
Elle souleva sa jupe : elle n’avait pas de culotte. La petite salope mouillait déjà :
— Et maintenant ?
— Montre-moi tes seins.
Elle obéit en souriant. Ses yeux pétillaient déjà de désir. Elle se massa la poitrine devant moi et dit en riant :
— Tu bandes déjà dur, mon salaud, j’en suis sûre. Ne te fais pas prier, depuis le temps que tu attends ça…
— Ta gueule, sale pute. Ne me donne pas d’ordre.
Elle se tut, mais je vis que mon ton avait eu l’effet escompté : la salope était déjà bien excitée… Je touchai distraitement sa chatte humide et elle gémit. Je demandai :
— Tu as déjà baisé ?
— Oui. Deux fois. Mais uniquement pour me préparer pour toi.
— Tu es une conne.
— Hein ?
— T’éduquer, ça je peux le faire. Mais récupérer ton pucelage… Tu es une conne.
— Je… Je suis désolée. Excuse-moi, Papa.
Je soupirais en la doigtant :
— Appelle-moi Maître.
— Comme tu veux… Maître.
Je la giflai violemment. Elle eut un cri de surprise et porta sa main à sa joue. Quand elle me regarda à nouveau une pointe de crainte perçait dans son regard. Mais aussi une admiration naissante et une excitation sans borne. Je dis juste en la doigtant de plus belle :
— Et ne me tutoie plus.
Elle dit d’une voix faible, craintive, soumise :
— Excusez-moi, Maître…
— Ce n’est rien, tu apprends.
— Maître ?
— Oui, ma pute ?
— J’ai gardé mon cul pour vous. Ma bouche aussi.
— Oh, vraiment ?
— Oui, Maître. Je voulais juste savoir ce que ça faisait de se faire baiser avant de vous appartenir. Connaître une autre queue avant la vôtre. Ce sera la dernière après tout. Je suis vraiment désolée. Je suis indigne de vous.
— Qui te dit que je ne t’offrirai pas à d’autres ?
— Vous le faites avec ma mère ?
— Pourquoi crois-tu qu’elle ne soit pas encore revenue ?
Elle resta pensive. Ses hanches bougeaient lentement autour de mes doigts. Elle murmura enfin :
— Moi je ne voudrais que votre queue… Et puis, même si d’autres me pénétraient, ces verges n’existeraient pas pour moi…
— Je vois… Tu es encore plus soumise que ta salope de mère.
— Peut-être qu’elle ne vous mérite pas…
— Peut-être.
Je me levai, sortis mon sexe et le glissai dans son vagin humide. Elle me serra contre elle alors que je la tétais. Je susurrai :
— Tu es bien chaude… Tu avais vraiment envie !
— Oui. Cela fait si longtemps que j’attends l’occasion de devenir vôtre. Je me touchais en pensant à vous. J’espionnais vos ébats avec ma mère, guettais ses cris…
— Salope. Tu es une salope.
— Oui, oui !
Je ressortis d’elle et me redressai en saisissant fermement sa nuque. Elle respirait la soumission :
— Suce-moi.
Elle glissa au sol et m’avala avec gourmandise. J’ajoutai :
— Touche-toi bien la chatte surtout.
— Merfi, Maîftre…
Elle s’agita comme une diablesse en gémissant. Je lui tendis une serviette et dis :
— Essuie.
Elle parut étonnée.
— Euh… Bien, Maître.
Elle commença à m’essuyer la verge, tentant de le faire en m’excitant le plus possible. Je lui demandai en souriant :
— Tu sais pourquoi tu fais ça ?
— Non, Maître.
— Tu as eu mal quand tu as été dépucelée ?
Elle rougit de honte, se rappelant sa stupidité :
— Oui, Maître…
— Je vais te le faire oublier. LIRE LA SUITE




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Commentaires

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dimanche 25 mai 2014 à 08h47 - par  Rêves de femme

J’ai effectué quelques recherches sur internet concernant Talis Cat mais je n’ai rien trouvé. Toutefois, dans le doute, personne n’étant approprié la rédaction de ce récit, je l’attribue à Talis Cat qui voudra bien éventuellement me contacter.

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dimanche 25 mai 2014 à 07h15 - par  love_in_pain

J’ai le texte original, sur mon ordinateur, Talis Cat me l’avais envoyé avec la presque totalité de ces textes. Ce texte date de presque 3 ans si ce n’est pas plus.

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samedi 24 mai 2014 à 16h41 - par  Rêves de femme

Merci pour cette précision. Auriez-vous des références plus précises ?

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samedi 24 mai 2014 à 11h41 - par  love_in_pain

Ce texte est de Talis Cat, et sauf si l’auteur peut prouver que c’est lui, c’est du plagiat.