3 - Les aventures de Thérèse

samedi 22 avril 2006
par  Imax
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DEBUT DE L’ACTE 3

En fait ma journée n’était pas terminée. Alors que je me trouvai dans un semi-engourdissement, je sentis une douce succion sur mes seins martyrisés. J’ouvris alors un œil et je vis une frêle jeune fille, penchée sur moi, qui tétait l’un de mes tétons. De ce que je pouvais voir, il me semblait qu’elle était entièrement nue. Je m’éveillai alors complètement et je découvris que l’on m’avait changée de pièce. J’étais maintenant dans une immense chambre allongée sur un lit rond qui se trouvait au centre de la pièce. De très gros projecteurs fixés au plafond éclairaient à giorno cet endroit.

Je me laissai aller à ce doux instant qui contrastait fortement avec ce que j’avais vécu auparavant. Sa bouche alternait d’un sein à l’autre tantôt aspirant, tantôt mordillant légèrement le bout. Puis sa bouche délaissa mes seins pour entamer une longue descente vers mon sexe ou tout du moins crus-je ce qu’elle allait faire…

Au fur et à mesure de sa progression, ses fesses se tournèrent vers moi et je découvris alors que deux énormes plugs étaient plantés en elle : l’un dans son cul, l’autre dans sa chatte. Ma première réflexion fut de me demander comment de si gros engins pouvaient envahir un si petit corps sans le déchirer.

Alors que la progression de ma jouissance s’amplifiait, elle s’arrêta brusquement dans son mouvement.

Avant que j’ai pu dire un mot, elle se tourna vers moi, les yeux pleins de larmes, en me disant ceci : « J’aimerais te faire jouir et j’en ai grande envie, mais il m’est interdit de le faire où je serai doublement punie. Tu peux d’ailleurs voir que je subis un traitement particulier dû à mes nombreuses désobéissances. Mon maître ne veut plus de moi et m’a confiée à un maître sud-américain pour que je participe à des spectacles particuliers réservés à des initiés à Bogota. Tout ce que je sais c’est que mon anus et mon sexe doivent être capables de supporter des intromissions très importantes. En plus de ces plugs que je dois porter en permanence, je suis fistée régulièrement et je subis des doubles pénétrations anales, mais aussi vaginales. »

— Mais… n’as-tu jamais prononcé le mot de passe pour arrêter ces supplices ?
— Non ! Cela ne me viendrait jamais à l’idée ! Je suis une vilaine fille et je mérite ces punitions !
— Mais… quel âge as-tu ?
— J’ai 25 ans et je suis sous la domination du seul homme que j’ai connu.

C’était mon maître de conférences à la Fac avant de devenir mon Maître à part entière. Je m’appelle Lydie.

Au fur et à mesure de son récit, l’horreur emplit mes yeux et je me jurai que je serai toujours obéissante pour ne pas subir un tel châtiment !

Lydie venait à peine de terminer sa narration que la porte de la chambre s’ouvrit sur un homme que je n’avais jamais vu jusque là. Il était vêtu d’une combinaison moulante noire d’une seule pièce dont la particularité était qu’elle laissait apparaître un sexe au repos déjà de taille importante. Je ne pouvais voir son visage car il était recouvert d’une cagoule rouge. Il fit un signe et Lydie quitta la pièce. LIRE LA SUITE

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Commentaires

Logo de Rêves de femme
vendredi 1er juillet 2022 à 14h44 - par  Rêves de femme

Le nombre beaucoup trop important de fautes tant grammaticales que d’orthographe de ce récit m’a conduit à en suspendre la publication. L’auteur n’ayant pas fait l’effort, malgré ma demande, l’effort de les corriger. J’avoue n’avoir pas eu le courage de le faire à sa place.

Logo de Henic
vendredi 1er juillet 2022 à 10h37 - par  Henic

C’est du brutal... Plus exactement, les sévices - pardon, l’entraînement - vont crescendo, au point qu’on se demande si les orifices, en particulier celui qui était initialement le plus petit, ne sont pas définitivement déformés. Ce serait dommage : il est toujours dommage d’abimer ce qui est beau.
Sur la forme : des erreurs d’orthographe, et surtout, une confusion entre passé simple et imparfait du subjonctif qui émaille tous les chapitres.