Soumise malgré elle

Chapitre 1
lundi 22 septembre 2014
par  Kanaria
popularité : 1%
8 votes

Un jour alors que j’étais sur le net, je reçus un mail d’une personne que je ne connaissais pas. J’étais dans ma chambre, hésitais entre le lire ou le supprimer. Son titre ? « Photo. ». Je l’ai finalement ouvert et ce que j’y ai vu à changer ma vie. Ces photos étaient de moi, me voyant embrasser un garçon, il ne fallait pas que mon copain soit au courant.
Le mail disait : « Tu m’appartiens. ».
A ce moment là, je suis dans tous mes états, mélangée entre la peur, la colère, et l’excitation de savoir qui m’a envoyé ce mail ? Que me veut-il ? Je décide alors de le lui demander, je réponds : Qui êtes-vous et que me voulez vous ? J’attends quelques minutes et comme pas de réponse, décide d’aller me coucher.
Cette nuit la, je ne pus m’endormir que très tard. Le matin en me levant je vis un sms qui disait : « Ce soir 20h RDV au parc municipal. ». Il était hors de question que j’y aille ! J’ignorai le sms et allai me laver.
Dans ma douche je me posais beaucoup de questions. Cette personne était un homme ou une femme ? Pourquoi me faire cela ? Que me voulait-elle exactement ? Qu’allait-il m’arriver si j’allais à ce rendez-vous ? Je terminais de me laver quand je reçus un nouveau sms : « Ne porte pas de sous-vêtement aujourd’hui, petite cochonne. ». Je me dis à ce moment que cette personne est vraiment folle. Je sortis de la douche, m’essuyai, m’habillai (en mettant des sous-vêtements) et descendis.
Jason était levé (Jason c’est mon copain), il vit que je n’avais pas l’air dans mon assiette et commença à me demander :
— Bonjour Lucie, comment vas-tu ?
— Bonjour mon cœur, ça va et toi ?
— Ça va merci. Tu as l’air bizarre tu es sure que ça va ?
— Oui, oui, ça va. Bon on déjeune ? J’ai faim.
Je n’avais pas du tout envie de parler de mon problème avec lui, en même temps, je ne me vois pas lui dire qu’une personne m’a envoyé des photos de moi embrassant un autre homme et que cette personne me « harcèle » depuis hier soir.
Toute la journée me parut longue très longue. Je ne savais toujours pas ce que j’allais faire. Je me posais des tas de question. J’étais très curieuse mais j’avais aussi très peur. Et si c’était un coup monté ? Et si on me faisait du mal si j’allais à ce rendez-vous ?
20h, Je décide finalement d’aller au parc afin de voir mon « tortionnaire », j’arrive il est 20h20 cela me laisse un peu de temps. Je reçois un sms : « Va jusque la Statue de l’Empereur ». J’y vais, là se tient un homme. Un homme que je connais. Il s’agit de mon meilleur ami, J-P, je ne comprends pas ce qu’il se passe quand il dit :
— Tu tiens à ton copain n’est-ce pas ?
— Oui bien sur.
— Tu es prête à n’importe quoi pour qu’il ne sache rien de toute cette histoire et que vous puissiez vivre pleinement heureux ?
— Oui.
— Alors à partir de ce jour et aussi longtemps que je le voudrai tu seras à mes ordres. Tu feras ce que je te dis et quand je le dis. Tu ne m’appelleras plus J-P (sauf devant les autres) mais bien Maître. Compris ? Si tu ne respectes pas ça tu seras punie. Et si tu te rebelles trop j’enverrai les photos à Jason.
— Oui.
— Oui qui ?
— Oui Maître.


A Suivre


ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
- d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
- d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)

ALLOPASS OU PAYPAL
OFFRE DECOUVERTE (1 jours)
ABONNEMENT 7 JOURS
ABONNEMENT 15 JOURS
ABONNEMENT 1 MOIS





ABONNEMENT 3 MOIS





ABONNEMENT 6 MOIS





SE DESABONNER


Entrez votre pass abonné

OFFRE DECOUVERTE (code valable 1 jours seulement)


Commentaires

Logo de Henic
lundi 22 septembre 2014 à 18h55 - par  Henic

C’est curieux comme on emploie trop souvent à tort et à travers l’expression « meilleur ami ».

Navigation

Mots-clés de l’article

Articles de la rubrique

  • Soumise malgré elle