Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (chapitre 09)

9. Année 1784 - Au camp des Maures - (suite du chapitre 7)
vendredi 31 janvier 2014
par  Marquis d’Evans
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Le Pacha invite ensuite ses deux nobles invités à s’installer parmi les épais et riches coussins de sa tente... Toujours à sa suite, les deux esclaves femelles viennent prendre place aux pieds de leur Maître, prenant bien garde à garder les reins cambrés et la croupe relevée, en signe de totale disponibilité.
Sur un claquement des mains du Pacha, une file d’esclaves nues portant de lourds plateaux pénètre dans la tente... On dispose les plateaux couverts de victuailles devant les trois hommes... puis les esclaves s’éclipsent, tête baissée ...

— « Servez vous mes Chers Invités, invite Le Pacha, ce sont là les plus savoureuses spécialités de mon pays »
— « Tout cela est fort bon et semble délicieux, en effet » approuve Le Marquis d’Evans, tandis que Le Marquis de Sade hésite...
— « Euh, je ne vois point de couverts ? »
— « Ah Monsieur, s’amuse Le Pacha, sachez qu’en mon pays, on mange avec les mains » et joignant le geste à la parole, il s’empare d’une pièce de viande luisante et mords à pleines et belles dents blanches..., il sourit...
— "Rassurez vous, pour essuyer vos mains, nous disposons des plus délicieuses serviettes... et Le Pacha essuie sa main dégoulinante de jus de viande dans la coiffure crépue de Sa belle esclave noire... tandis que deux autres esclaves femelles sont amenées et placées chacun auprès de chacun des Marquis

— « Ces chevelures sont idéales pour un tel usage... Vous pouvez naturellement leur faire lécher vos doigts souillés... Et des pots d’eau parfumée vont également être mis à votre disposition... régalez-vous mes Nobles Invités, prenez quelques forces pour la longue nuit qui nous attend ! »

Ainsi, le banquet est entamé dans la bonne humeur, Les deux Marquis et leur hôte le Pacha savourant les délices culinaires de l’Orient sans négliger d’autres plaisirs que les belles femelles noires leur prodiguent entre deux plats... car des doigts, les félines esclaves se trouvent rapidement occupées à lécher et sucer d’autres appendices bien plus imposants !

Le Marquis de Sade, gros mangeur mais aussi gourmand d’autres saveurs, n’hésitant pas à disposer de l’esclave attribuée à son service pour de vifs ébats, qui ne tardent pas à entraîner la participation des autres convives, mis en appétit par des ébats sans retenue. Ce n’est donc qu’à l’issue de maintes et maintes pénétrations que les trois Seigneurs décidèrent de renvoyer les esclaves, épuisées des multiples sollicitations, aucune partie de leurs corps n’ayant été négligés par les assauts virils des trois Hommes...

Après une rapide toilette, Le Pacha propose à ses invités de le suivre...

— « Monsieur le Marquis d’Evans connaît les détails de ma visite, mais je vais Vous l’expliquer à nouveau afin d’en informer Votre ami... Une grande vente d’esclaves, la plus grande de l’année, va avoir lieu en El Djazaïr... Il ne s’agit pas seulement d’alimenter les marchés aux esclaves communs, pour qu’ils deviennent domestiques ou soient envoyés aux mines ou aux galères…. Non, c’est un événement exceptionnel, avec des esclaves exceptionnels, un marché unique auquel sont conviés les plus hautes autorités d’Orient ainsi que quelques hautes personnalités des royaumes chrétiens. Je viens justement de faire le tour de quelques hauts lieux connus des seuls initiés et le Domaine du Marquis d’Evans en est l’ultime étape avant mon embarquement à Marseille pour rejoindre El Djazaïr »...
— « Je n’avais jamais entendu parler d’un tel événement » s’étonne Le Marquis de Sade, « pourtant j’ai beaucoup oeuvré dans ce domaine »
— « Hélas, Marquis, je m’apprêtais à Vous adresser un courrier lorsque Vous avez connu quelques déboires avec la justice royale (voir le premier épisode des Origine …). Je n’ai donc pu mener à bien ma démarche, et je me réjouis grandement de vous rencontrer en ce jour, car je connaissais certains de Vos écrits et Le Marquis d’Evans qui est l’un des piliers de notre petit monde en Europe m’avait parlé de Vous en des termes fort élogieux... Mais suivez moi donc, je crois que vous ne serez pas déçus de ce qui va suivre »...

...


Le Pacha entraîne les deux Seigneurs à travers le camp de toiles... Près d’un feu, les Janissaires ont déjà mis le mâle « en perce ». L’esclave offert par le Marquis d’Evans étant bâillonné, et fortement ligoté... renversé sur un chevalet, il se fait enculer par un troisième soldat qui prend plaisir à faire durer les choses, donnant de violents coups de reins, tout en flagellant de son ceinturon de cuir la croupe de l’esclave ainsi besogné...

Sans un regard pour la scène, Le Pacha poursuit son chemin vers la plus vaste des tentes, qui est aussi la plus simple, dépourvue d’ornements, mais dont les gardes armés d’impressionnantes hallebardes semblent bien plus vigilants que leurs homologues. Deux de ces gardes écartent les pans de toile qui masquent l’accès à l’intérieur. Les trois hauts personnages entrent dans un très vaste espace, largement éclairé par de nombreuses torches donnant à l’ensemble de reflets d’orange nuancés...

Le lieu est divisé en diverses stalles organisées autour de hauts poteaux... Dans chaque stalle, une silhouette enchaînée, debout... Le Pacha se saisit d’une cravache qui pend parmi d’autres instruments de cuir luisants...

— « Veuillez me suivre Messeigneurs, que je Vous présente quelques’unes des pièces maîtresses de cette vente qui constituera l’un des temps forts de cette année. Ces créatures seront toutes mises en vente lors de ce rendez-vous exceptionnel, mais ce n’est qu’un échantillon de tout ce qui sera offert en cette occasion… Enfin... offert aux bourses les mieux remplies, bien sur ! »... dit-il en éclatant de rire tandis qu’ils approchent de la première stalle.

Le Pacha s’approche de la créature enchaînée au poteau... Une belle femelle plantureuse, bien proportionnée mais à la poitrine démesurée, dont les seins énormes sont décorés par des diamants enchâssés sur de longues aiguilles, directement plantées dans les tétons saillants... Le Pacha s’approche et fait redresser la tête à la blonde.

— « Cette femelle vient des contrées glacées d’hyperborée. C’est une fille de roi, capturée par un clan rival... Je l’ai achetée pour une importante quantité d’or à ces barbares car les femelles d’une telle blondeur sont très appréciées dans les harems d’Orient... Mais cette particularité (et là le Pacha soupèse en souriant l’énorme sein gonflé de l’esclave) va faire monter les enchères vers de véritables sommets, j’en suis convaincu... Tenez palpez, je Vous en prie... »

Les Marquis s’approchent de la femelle, admiratifs face aux énormes seins transpercés par les aiguilles diamantées... Ils palpent les lourds globes que leurs deux mains ne suffisent pas à contenir. Les seins sont lourds, la peau très pâle, agréablement souple et une petite goutte de sang perle sur le téton lorsqu’on en presse les bords autour de l’une des aiguilles qui les transpercent de part en part... L’esclave blonde grimace subrepticement, tandis que Les deux Marquis soupèsent et malaxent sa poitrine hypertrophiée, avant que de glisser vers son ventre, ses fesses larges, ses cuisses épaisses, sa chatte qui a été volontairement conservée pileuse. Car les poils en sont d’une blondeur très claire, presque blanche, une preuve utile que ne manqueront pas de vérifier les futurs acheteurs, lorsque la femelle sera mise à la vente...

Délaissant la blonde esclave, le trio passe à la stalle suivante, où sont enchaînées deux beaux esclaves se ressemblant fortement... le Pacha poursuit sa présentation...

— « Voici une pièce exceptionnelle ! Une femelle et un mâle... jumeaux parfaits ! Voyez l’incroyable ressemblance ! Leurs vieux parents, de pauvres paysans des Balkans me les ont vendus pour une bouchée de pain ! (Il éclate de rire...) quand je pense qu’ils se vendront pour une petite fortune ! Imaginez, l’homme et la femme, semblables en toutes choses, à l’exception de leurs entrecuisses... venez, venez le constater de plus près... »

De Sade et d’Evans s’approchent et comparent les deux esclaves... Leurs crânes rasés ne laissent deviner aucune différence entre leurs traits fins et bien dessinés. Leurs corps parfaitement imberbes sont parfaitement identiques, à l’exception de la verge qui pend entre les cuisses du mâle. Le Marquis de Sade saisit l’appendice et le presse entre Ses doigts, jusqu’à obtenir un gémissement de l’esclave. Le Seigneur s’amuse à faire gonfler le sexe... avant de l’abandonner

— « Quelle extraordinaire ressemblance ! » s’exclame le Marquis d’Evans, « jamais je n’ai vu si parfaite similitude ! »
— « En effet (s’exclame le Pacha) Imaginez les formidables combinaisons que l’on pourra imaginer pour ces esclaves ! Je les ai fait raser les cheveux pour accentuer encore l’impression de double. Ils sont liés l’un à l’autre en permanence et ne peuvent effectuer aucun geste, accomplir aucun acte, sans que l’autre n’accompagne le mouvement. manger, déféquer ou être pénétrés, ils font tout en même temps, tout en double... »

Le Pacha laisse sa phrase en suspens tout en s’éloignant pour gagner la stalle suivante où un esclave mâle est enchaîné en position agenouillée, bâillonné, les bras étirés vers le haut...

— « Un sujet qui devrait vous intéresser » souligne le Pacha à l’intention des deux Seigneurs...
— « C’est étrange, cet esclave ne me semble pas inconnu » s’étonne le Marquis d’Evans qui scrute le visage du mâle dont le regard éperdu le fixe ardemment...
— « Rien d’étonnant à cela, Marquis (s’amuse Le Pacha), il s’agit du Comte d’Amboise ! »

Les deux Marquis, interloqués regardent avec plus de précision ce mâle enchaîné dans la plus humiliante des positions.. Tentant de reconnaître en lui le plus apprécié des mathématiciens de La Cour. Ce Seigneur plutôt pédant et sûr de son fait, qui rayonnait fréquemment à Versailles en compagnie d’une épouse qu’il se plaisait à exhiber pour sa beauté et à moquer pour son manque cruel de culture...

— « Mais il avait disparu depuis plusieurs mois, son épouse n’a cessé de faire le siège Du Roi pour supplier Sa Majesté de diligenter des enquêtes. Ce que Notre Souverain n’a d’ailleurs pas manqué de faire », précise le Marquis d’Evans
— « Certes, (précise Le Pacha) mais cette épouse si dévouée est en fait à l’origine de sa situation. Lasse de ses humiliations incessantes, elle a payé quelques coquins pour s’emparer de lui et le ligoter dans une cave n’osant mettre fin à ses jours, la Dame était bien encombrée de ce fardeau. Mais ayant eu vent de mes pérégrinations, elle m’a écrit et l’idée m’a plu... certes, il ne sera pas le plus facile à vendre. Mais nul doute que sa réputation scientifique en fera un précepteur. Et puis un Noble de France et en plus de la Cour Royale, c’est une bonne référence pour la vente ! Il sera des plus appréciés dans une noble famille de l’Orient lointain... peut-être même jusqu’en pays Zhong, ce que vous nommez je crois la Chine... Pour le rendre parfaitement adapté, dès notre arrivée en El Djazaïr, il sera offert en pâture aux soldats du Sultan (le prisonnier muet lance un regard désespéré vers Les Marquis qui le regardent goguenards). Mais pour être ainsi utilisé, il aura une grande valeur et je ne désespère pas d’en tirer un bon prix, à ajouter à la coquette somme que son épouse éplorée a eu le plaisir de me verser afin que je la débarrasse de ce fardeau, tandis qu’elle remue ciel et terre, aux yeux de la Cour pour qu’on le retrouve mort ou vif ! Ha ! Ha ! Ha ! »
Les trois Hommes éclatent de rire...

...

Et la visite de la tente aux esclaves de se poursuivre ainsi, à la découverte de quelques pièces de grande valeur, tel un formidable étalon africain, un fin et élégant mâle britannique destiné à agrémenter les plaisirs des Maîtres et Maîtresses, ou quelques femelles aux corps parfaits, venues des contrées les plus diverses... brunes ou blondes, africaines ou asiatiques, menues ou plantureuses... le cheptel du Pacha est riche, varié, et plein de surprises

— « Mon cher Pacha, cette visite a fini de me convaincre ! (lance Le Marquis d’Evans) C’est dit ! Je me rendrai à votre vente, dans quelques mois, en compagnie de mon ami le Marquis de Sade. Et il n’est pas dit que je n’y fasse quelques emplettes, même si mon cheptel est fort bien pourvu en femelles et mâles de qualité. Peut-être, d’ailleurs, me ferais-je accompagner de quelques esclaves que j’y mettrai en vente afin d’alourdir ma bourse et de faciliter quelques achats. Mais nous allons vous quitter, car dès demain, une nouvelle aventure nous attend » dit-il en regardant le Marquis de Sade qui, déjà, salive à l’idée de cette perspective.

Et prenant ensuite congé du Pacha avec tous les honneurs qu’ils se doivent, les deux Marquis déjà chevauchent vers Le Château en pensant à l’organisation du lendemain... La brune si exaltée lorsqu’ils l’ont à tour de rôle honorée, demain ils la livreront à tous les mâles de la contrée, afin de mesurer au bout de quelle longueur de sexes mâles elle demandera grâce !

De retour du camp des Maures, les deux Marquis éprouvent le besoin de souffler un peu. Avec Le Pacha, ils ont déjà réglé les principaux points de leur futur voyage en El Djazaïr, où ils feront partie de l’élite des invités, triés sur le volet, qui assisteront à la plus grande vente d’esclaves de l’année. Celle où seront proposées les femelles les plus belles, les mâles les mieux membrés, toute une ribambelle d’esclaves venus des quatre coins du Monde, offrant la plus vaste palette qui se puisse imaginer de tailles, de couleurs de peau et de cheveux, de mensurations ou de talents « très spéciaux »...

Après avoir donné quelques instructions pour les derniers préparatifs nécessaires à la longue journée qui s’annonce, le Marquis d’Evans a regagné sa chambre, où il s’endort profondément. Le Marquis de Sade, avant de l’imiter, se rend dans les cachots, où Juliette demeure enchaînée depuis le matin... où elle a été saillie maintes et maintes fois par les valets du Château.

Dans la pénombre, Le Marquis pousse la porte et s’approche de son esclave lovée sur le sol. Du bout de sa chaussure, il appuie sur la chair meurtrie de la femelle afin de la réveiller. Elle sursaute et découvrant son Seigneur et Maître, se prosterne immédiatement, visage au plus près des chaussures à large boucle de son Maître, révélant dans sa posture les traces marqués des flagellations subies au cours de la journée. Visage dans la poussière, elle se tient immobile, révélant sa totale vénération pour Celui qui dispose comme bon lui semble de sa misérable vie. Oubliée, à tout jamais, la jeune aristocrate qui voyait tous les prétendants espérer ses faveurs... elle n’est plus qu’une petite bête meurtrie, mais tellement heureuse d’appartenir corps et âme à Celui Auquel elle a choisi de vouer chaque instant de son existence, Auquel elle a livré son corps en pâture, offert en sacrifice sa virginité et ouvert ses orifices pour qu’Il en use, en abuse... et les offre à qui bon Lui semble.

Elle n’a jamais espéré aucun égard. Pour Lui, pour Cet Homme qu’elle a tant admiré et que désormais elle vénère, elle sait qu’elle n’est qu’un objet, un jouet dont il pourrait un jour se lasser... et pour qu’Il consente encore à lui accorder de ramper devant Lui, elle se prosterne encore... elle lèche la poussière qui souille le cuir de ses chaussures... elle s’offre humblement, non comme un trophée, il y a bien longtemps qu’elle n’en est plus un, mais comme une pauvre chose qui n’aspire qu’à ramper dans Son Ombre. Le Marquis de Sade n’ignore rien des sentiments qu’éprouve juliette... depuis qu’il a fait d’elle son esclave, Il a pu voir l’évolution de la femelle. Passant de la jeune aristocrate frivole à l’esclave docile, rompue à satisfaire tous ses désirs les plus extravagants... Il ne le lui dira jamais, mais il conserve une forme de tendresse pour cette femme qui a renoncé à tout pour le bonheur ineffable d’être maintenant à Ses Pieds, asservie, avilie, battue, souillée mais encore et toujours reconnaissante. Il envisage, un jour, de convoquer quelques uns de ces prétendants qu’elle a éconduits pour Le leur préférer et de la leur livrer, exigeant d’elle qu’elle leur prodigue des « soins » que seule la plus rouée des catins saurait leur offrir. Oui, il fera cela un jour... Il montrera à ces nobliaux ce qu’Un Maître tel que Lui a su faire de celle devant laquelle ils étaient prêts à s’entretuer, de duels en duels...

Mais cela sera pour une autre fois. Maintenant, sans un mot, le Marquis de Sade délaisse juliette en son cachot et s’en va rejoindre justine dans Sa chambre. juliette se recroqueville sur la paille qui recouvre le sol du cachot. Le goût du cuir des chaussures de son Maître emplit sa bouche, elle va s’endormir heureuse, sachant qu’Il a pensé à elle avant que de se coucher.

Dans sa chambre, le Marquis de Sade, en effet, pense à juliette et à la façon dont il pourrait organiser cette orgie avec quelques uns de ses anciens prétendants... Pour se détendre, il a fait venir justine entre ses cuisses et la deuxième esclave s’applique à sucer le sexe de son Maître... les lèvres serrées à la base de la Tige de son Seigneur, sa bouche s’active, allant et venant autour de l’érection du Marquis, dont le gland épais heurte régulièrement le fond du palais de l’esclave, appliquée à sucer son Maître avec douceur et passion... à peine Sade a-t-il joui et qu’un flot épais a envahi la bouche de justine, que déjà Il s’endort... une longue journée se prépare...

Le lendemain matin, les deux Marquis se retrouvent dès potron-minet dans le grand salon du Château de la famille d’Evans. La vaste et belle pièce a été débarrassée de tous ses meubles. Au milieu trône un chevalet... Une planche inclinée, avec un système de poulies permettant de manipuler des cordes... A proximité, deux larges fauteuils couverts de luxueux velours cramoisi ont été placés... tandis que les deux Seigneurs s’installent, une longue file d’hommes, valets, gardes, paysans... attend avec une sorte d’impatience mal dissimulée. Sur un signe du Maître des lieux, deux portes latérales s’ouvrent et deux gardes entrent, tenant en laisse l’esclave brune qui a tant comblé peu de jours auparavant, les désirs extrêmes du Marquis d’Evans et de son amis de Sade. Cette belle brune plantureuse, aux hanches généreuses et aux seins lourds, au regard canaille et aux lèvres lippues, est entièrement nue. Elle avance docilement à la suite des gardes qui viennent la présenter aux Marquis.

Arrivée face aux deux fauteuils, l’esclave brune s’agenouille et touche le sol de son front en signe d’humble reconnaissance... le Marquis d’Evans claque des doigts et la brune redresse la tête, se tenant alors à genoux, la tête bien droite mais les yeux rivés au sol... Le Marquis se lève...

— « Récemment, nous avons pris beaucoup de plaisir en te possédant de toutes les façons que la nature t’a accordé pour offrir du plaisir à tes Maîtres. Sous mes assauts et ceux de mon très cher Ami, tu nous a ouvert tes orifices avec la plus totale impudeur... tu as su nous contenter de ton con, de ton cul et de ta bouche... maintes fois ! Tu n’es pas une simple femelle, tu es la plus dépravée des putains. Une créature faite pour le sexe, pour être prise et prise encore, pour être remplie et nourrie du foutre des mâles. J’ai fort apprécié tes services, mais j’ai aussi constaté que tu semblais croire pouvoir en tirer quelque fierté ! Tu n’as nulle fierté à avoir (lance Le Marquis d’une voix forte). Tu n’es que trous, destinés à s’ouvrir au gré de mes fantaisies ! Aussi j’ai imaginé une petite cérémonie afin de te ramener à la réalité de ta condition. Tu vas être installée sur ce chevalet préparé selon mes indications et tu seras offerte à tous les hommes qui le voudront... ils te prendront, à tour de rôle, aussi longtemps qu’il y aura des volontaires... et nous mesurerons la quantité de sexes mâles que tu peux ingurgiter avant que de demander grâce ! Ainsi nous saurons quelles sont tes capacités... Et lorsque nous trouverons d’autres catins de ton acabit, nous leur imposerons une identique épreuve, afin de déterminer laquelle est la plus gourmande. Et maintenant, gardes, présentez cette putain à ceux qui vont la saillir durant des heures. Ils peuvent toucher, afin d’attiser leurs appétits, mais pas trop ! Allez... »

Et tandis que Le Marquis se réasseoit, les gardes entraînent la brune, docile, pour la faire avancer lentement, devant les dizaines d’hommes qui se pressent déjà en une longue file qui fait le tour de l’immense pièce. Qui lui effleure le con, qui lui pince un téton... qui flatte furtivement sa croupe rebondie... l’esclave brune se plie humblement à tous les attouchements qu’elle subit de la part des ces hommes qui dans un instant, ou plus tard, vont être sur elle, emplir son sexe, son anus ou sa bouche et y cracher leur jus de plaisir, les uns après les autres.

Docile, elle tremble presque de désir, car cette brune, comme l’a pressenti Le Marquis d’Evans, si expert en catins et autres femelles, est une amoureuse du sexe masculin. Elle aime être prise, pénétrée, possédée... à l’idée de ces dizaines d’hommes qui vont abuser d’elle, elle salive de désir... elle veut se sentir totalement remplie, car c’est pour cela qu’elle est venue dans cette contrée. Issue d’une famille de basse extraction, elle a su très tôt que son destin serait sombre. Trop d’enfants à la maison, trop de bouches à nourrir... Dès qu’elle fut en âge adulte, elle s’enfuit et trouva dans le sexe la façon la plus facile de subsister. Et c’est ainsi qu’elle a découvert son goût irraisonné pour le sexe... C’est par plaisir qu’elle a ensuite fait carrière dans un bordel, faisant la fortune de La Mère maquerelle, avant qu’un client ne lui évoque le Château d’Evans et le destin des esclaves qui y vivent...

Elle a donc pris ce chemin, venant s’offrir au Marquis, qui l’a longuement et bien souvent testée, avant de juger qu’elle serait à sa place au sein de Son harem, comme la préposée à l’accomplissement de ses plus profonds appétits. Aujourd’hui, elle désire plus que tout faire honneur à son Seigneur et Maître, en comblant autant d’hommes qu’il lui en sera imposé. Manifestement, plusieurs dizaines !

Une fois le tour des mâles en rut effectué, la brune esclave est menée au chevalet. Elle est allongée sur la planche, les bras étirés vers le haut, les chevilles entravées et les planches sur lesquelles reposent ses cuisses et ses jambes écartées, afin de rendre parfaitement accessibles son cul et sa chatte... La tête, légèrement renversée en arrière, elle est ainsi totalement accessible et chacun pourra choisir à loisir l’orifice qu’il désire investir pour y cracher sa semence. Une fois l’esclave en place, le Marquis d’Evans se lève. Il s’approche, défait sa culotte de cavalier et libère son Dard tendu, investissant brutalement le sexe de la femelle offerte... il la pénètre, la baise, longuement, jusqu’à consentir à livrer en elle sa Noble semence... Puis le Marquis de Sade prend le relais, baisant brutalement l’esclave... et à sa suite, les hommes réunis dans le salon prennent le relais. Le sexe de chacun est mesuré et la taille reportée sur une feuille, afin de pouvoir à l’issue de la journée, mesurer précisément la longueur de sexes étant entré dans la femelle...

Lorsque les Marquis l’ont pénétrée, la brune a violemment, puissamment joui de plaisirs... gémissante et tremblante, ne pouvant retenir le filet de bave qui s’est échappé par la commissure de ses lèvres... Oui, elle a joui avec bonheur d’être ainsi prise par Ces Deux Nobles Seigneurs. Et, si l’intensité est différente avec les gens du commun, elle jouit cependant encore et encore ... une fois, deux, trois, dix fois, vingt fois... lâchant mainte fois des cris de jouissance, de spasmes, elle n’a jamais autant eu d’orgasmes aussi fort en elle…

Les uns après les autres, les hommes se succèdent, pénétrant son cul, sa chatte, sa bouche... Elle dégouline maintenant de la semence de ces dizaines d’hommes qui la bourrent, qui la besogne sans ménagement sous le regard amusé et intéressé des deux Marquis, qui commentent les extraordinaires capacités de cette femelle...

Et c’est encore dans un formidable cri qu’elle ne peut réprimer, que la belle brune esclave libère son cinquantième orgasme ! Tandis que plus de soixante-dix hommes l’ont déjà saillie à la file. Son corps est couvert de sa transpiration et de celle des hommes qui depuis des heures l’ont besognée et besognée encore. Les deux Marquis échangent un regard entendu... Cinquante orgasmes ! La brune est hors du commun ! Mais Les deux Seigneurs sentent bien qu’elle est à bout. Son corps tremble, les liens qui la maintiennent totalement offerte commencent à meurtrir ses muscles, son corps est secoué d’irrépressibles tremblements ... Elle bave sans pouvoir s’en empêcher, et désormais lorsqu’un sexe s’enfonce en elle, elle gigote dans la mesure cependant très limitée que lui autorise sa position attachée... Alors elle gémit, haletante, telle une chienne à l’issue d’une interminable chasse à courre. Ses cheveux sont collés, son visage est maculé de sperme, ses orifices dégoulinent du jus de tant d’hommes qui ont giclé entre ses fesses, entre ses cuisses...

— « Pitié !! Pitié Maître », hurle soudain l’esclave, c’est trop bon mais j’en peux plus… Pitié …

Le Marquis interrompe alors les ébats et s’approche de la « sacrifiée aux plaisirs du sexe »

— « Qu’y a-t-il catin ? tu n’en veux plus ? » demande-t-il
— « Ooh Maître, pitié, je Vous en supplie ! je Vous implore ! je n’en puis plus, je suis épuisée »
— « Vraiment ? tu renonces chienne ? »
— « Maître par pitié... mon corps brûle, mon sexe et mon cul sont en feu ! pitié... mais c’était trop bon… »
— « Soit ! », Le Marquis d’Evans claque dans Ses mains, « Allons, quittez tous cette pièce... Allez, des collations vous seront servies en Mes cuisines »

Docilement, tous les hommes présents saluent humblement le Maître des Lieux et quittent le salon, laissant seuls Les Deux Marquis et l’esclave sur le chevalet encore entravée.

— « C’est bien catin... je suis fier de toi. Tu vas rester ainsi, bien ouverte, l’un des mes esclaves mâles va venir nettoyer tes trous de sa langue râpeuse. Mais saches déjà que tu as reçu dans tes orifices un peu plus de onze mètres de sexes mâles et que nous avons, avec Mon Ami de Sade, compté cinquante orgasmes sur les 83 pénétrations que tu as eu le plaisir évident de subir. Je crois que ce sera là une performance bien difficile à dépasser et même à égaler »...

Et les deux Marquis de quitter la pièce, tandis qu’un garde entre, tenant en laisse un bel esclave noir musclé à la carrure impressionnante qui est tout de suite dirigé entre les cuisses de la femelle. Il met de suite sa longue langue râpeuse droit vers l’intérieur des cuisses de l’esclave brune et lape sur sa chair intime la saveur de tant de plaisirs qui dégoulinent...LIRE LA SUITE


Le château du Marquis d’Evans

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