Pour un coup d’essai...
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La décoration simple de la chambre de David séduit Louis.
David dépose l’étui de cuir sur le plateau de sa commode, l’ouvre tout en commandant à l’homme :
— Va t’allonger sur le lit, en largeur, jambes en dehors, cuisses écartées.
Louis obtempère, apprécie la fraîcheur du dessus de lit en cuir bleu clair, il a presque envie de désobéir et de s’allonger à plat dos, certain que le cuir rafraîchirait ses fesses chaudes. « Point trop n’en faut », pense-t-il.
David, premier plug luisant de gel en main s’approche, dépose le gode sur le meuble, ouvre le tiroir de la table de nuit, en extrait un tube de gel, bascule le bouchon, cueille une bonne dose sur un doigt, se penche vers les fesses, les écarte d’une main, étale le gel au fond de la vallée, tartine copieusement l’orifice ridé, en ajoute pour pénétrer dans le canal serré, repose le tube, alloue deux claques de sa main libre :
— Décontracte-toi !
— J’ai peur.
David penche son torse vers le lit, visage près de celui de Louis, dit d’une voix suave :
— Dois-je te fesser de nouveau pour te faire comprendre qu’il ne faut pas avoir peur et ne pas résister ?
Louis secoue négativement sa tête, répond :
— Non ! Non !
Il se force à se décrisper, regarde le doigt ajouter du gel, quitter sa vue et pénétrer doucement son cul, étaler le gel.
David prend le plug, pose le sommet sur l’anneau rectal, s’allonge à côté de Louis, le regarde droit dans les yeux :
— On y va ?
Louis hoche affirmativement la tête.
La main ferme de David pousse sur la base du plug, qui commence à percer l’orifice.
Louis ouvre la bouche, effet normal de tout individu pénétré par le cul, et ne peut retenir un petit cri :
Aaaaaaaïe !
David entoure son cou de son bras libre, approche sa bouche de celle de l’homme, dit :
— Reste détendu ! Ça va faire un peu mal, mais ne t’oppose pas.
La percée se poursuit, douloureuse pour lui, mais le gel permet une avancée à laquelle Louis ne peut s’opposer alors que la bouche de David s’empare littéralement de la sienne en un ardent baiser.
Du coup, Louis se relâche, répond au baiser alors que son cul est pénétré davantage par le plug d’acier. La douleur augmente, il crie dans la bouche de David qui n’interrompt ni son jeu de langue ni la poussée du plug qui réussit à rentrer complètement dans les fesses, la rondelle terminale se fixe sur l’anneau rectal.
David se recule, dit :
— Ça y est, tu as tout pris.
Louis grimace :
— J’ai mal ! J’ai l’impression d’être complètement envahi.
David répond :
— C’est le cas…
Il caresse le corps nu dans un but d’apaisement des sens. Sa main descend jusqu’à la bite bandée de Louis qu’il commence à branler doucement, il poursuit :
— … Tu ne jouiras qu’avec ton cul plein, car c’est seulement ainsi que je t’autoriserai à jouir. Pour l’instant, tu dois t’habituer à cette présence en toi.
Il claque légèrement le cul :
— … Debout ! LIRE LA SUITE
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